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1698. (1949) La vie littéraire. Cinquième série

Sa gloire l’y accompagne. […] Cela, c’est la gloire. […] Quelle gloire ! […] Arsène Houssaye lui confier qu’Esquiros et Gérard de Nerval, dans toute leur gloire, gagnaient à peine dix-huit cents francs par an. […] — J’ai vu le sépulcre du Christ vivant, j’ai vu la gloire du Ressuscité. — Dis-nous, Marie, qu’as-tu vu sur ton chemin ?

1699. (1891) Lettres de Marie Bashkirtseff

— son impatience de la gloire. […] Ma gloire future m’empêche d’y penser sérieusement, il semble qu’elle me reproche les pensées que je lui consacre. […] L’un est le triomphe du moment, l’autre est la gloire éternelle ! […] Ai-je besoin de te dire que le Père Didon est le prédicateur dont la gloire grandit à vue d’œil depuis deux ans et dont en ce moment tout Paris s’occupe. […] X. et autres gloires ?

1700. (1894) La bataille littéraire. Sixième série (1891-1892) pp. 1-368

car l’effort artistique — si médiocre qu’il soit — implique, momentanément du moins, le désintéressement parfait, et tout ce qui n’est pas l’amour d’elle s’évanouit dans la gloire. […] Hélas, il faut bien qu’ils le sachent, le bourgeois ne s’étonne pas, ne sait plus s’étonner, il achète ou n’achète pas un livre, il acclame ou ignore un nom, et quoiqu’on dise ou qu’on fasse, malgré les brevets de génie qui se distribuent entre dix heures et minuit dans des brasseries, c’est encore lui qui décerne la gloire définitive ; pourquoi ? […] Qui descend dans sa gloire et meurt dans ses rayons. […] Les détails de cette dernière bataille, où Lannes devait recevoir une blessure mortelle, sont particulièrement intéressants ; le récit de sa discussion avec Bessières, des traits de caractère à côté de faits militaires jugés et expliqués par un militaire, augmentent l’intérêt de cette publication qui met en lumière une des plus grandes gloires de l’épopée impériale. […] On ne pense jamais qu’à lui reprocher le mauvais goût de son temps, quand il s’agit de Versailles ; on oublie que ce palais n’existerait plus sans l’intervention habile de Louis-Philippe, qui le préserva en le dédiant à toutes les gloires de la France.

1701. (1922) Nouvelles pages de critique et de doctrine. Tome I

Il fallut toute la gloire de Napoléon pour la “dessouiller”, comme il disait, avec sa rude familiarité soldatesque. Quand il tomba, cette gloire continua cette besogne de purification, et elle seule, d’abord. […] Le Mérimée des Nouvelles, — son vrai titre de gloire est là, — remplit l’une et l’autre condition. […] Le premier fut sans doute le légitime et noble désir d’une gloire qui lui survécût. […] Ce prince assoiffé de gloire est en même temps un hésitant.

1702. (1923) Les dates et les œuvres. Symbolisme et poésie scientifique

Ridiculisant à outrance, disant les « Ecrits » à la gloire de M.  […] J’en trouve la précision en une Réponse à un article de la « Pléiade » de Bruxelles qui ne laissait de parler de mon « avidité de gloire ou de tam-tam », tout en prédisant : « A notre avis il ne laissera guère de trace dans la poésie de ce temps, sinon pour avoir pressenti certains procédés secondaires que d’autres — après les avoir polis — appliqueront peut-être. » Je répondais : « Quant à la gloire ! […] « Hier soir, commence Victor de Cottens65, « Voltaire » 16 Février 1891), dans les tavernes où s’échafaudent les gloires modernes et les piles de soucoupes, dans les fumées de l’encens et la fumée des pipes, la grande colère de M.  […] L’immortalité, c’est vivre dans la reconnaissance d’autrui… La gloire, la seule gloire à vouloir, c’est, novateur, d’être digne du salut respectueux et reconnaissant des novateurs qui se lèvent. (« Revue Indépendante, mars 92, et « Ecrits », décembre 92). […] Et sera-t-il permis de voir ensuite que, par deux poètes surtout, a été vaincue, alors qu’ils demeurent pourtant en l’Art Mallarméen, son inaptitude à une évolution dans le sens de l’Evolution générale  et qu’ainsi, l’un d’eux surtout est la vraie et puissante gloire du « Symbolisme ».

1703. (1939) Réflexions sur la critique (2e éd.) pp. 7-263

La comédie de Molière est conçue dans la manière de la fresque (dont il a décrit sympathiquement les procédés dans son mauvais poème de la Gloire du Val-de-Grâce). […] On faisait un usage analogue du mythe solaire, au temps où il resplendissait dans sa gloire. […] Son assentiment ne fait nullement la gloire, mais il fait le succès. […] Et il se trouve que brusquement occupent une place centrale quatre gloires à retardement, Proust, Valéry, Gide, Claudel. […] Nous étions bien un millier qui les mettions au-dessus des gloires volumineuses : leur renommée n’en était pas moins une renommée à tirage restreint.

1704. (1817) Cours analytique de littérature générale. Tome II pp. 5-461

L’assemblage des leçons que je publie sur son art n’est donc pas moins un travail d’instruction qu’un monument en hommage à sa gloire. […] Redoublons de zèle en ces dissertations dignes de notre nouvelle Athènes, afin qu’elle éclipse, autant qu’il se peut, la gloire que se mérita l’ancienne au milieu de ses libres écoles et sous les chefs nombreux de son Lycée, qui sert encore de modèle au nôtre. […] Les victoires et les défaites les ruinent : leurs conquêtes n’enrichissent que leurs généraux : le peuple souffre et meurt de faim ; mais il se repaît de la fumée d’une vaine gloire, et se console de la mort des gens qu’on tue, en lisant leurs inscriptions sur des colonnes. […] Je ne lui reproche publiquement que cette tache à sa gloire : notre liberté nationale m’en donne le droit, et l’habile Périclès la respecte trop pour me l’ôter. […] Il commence par réfuter très sensément l’opinion qui attribue aux Français la gloire d’avoir inventé les pièces de caractère, c’est-à-dire celles où le ressort d’un caractère de tous les temps, ou du moment ; soutient et fait mouvoir la machine comique par sa seule action.

1705. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « M. Ampère »

Nous le verrons bientôt revenir à ces dernières sciences, y joignant physique et chimie ; puis passer presque exclusivement, pour de longues années, à l’idéologie, à la métaphysique, jusqu’à ce que la physique, en 1820, le ressaisisse tout d’un coup et pour sa gloire : singulière alternance de facultés et de produits dans cette intelligence féconde, qui s’enrichit et se bouleverse, se retrouve et s’accroît incessamment. […] Ampère était près, vers 1820, de produire une exposition de son système de philosophie, lorsque l’annonce de la découverte physique de M. œrsted le vint ravir irrésistiblement dans un autre train de pensées, d’où est sortie sa gloire. […] Jamais esprit de cet ordre ne songea moins à ce qu’il y a de personnel dans la gloire.

1706. (1889) L’art au point de vue sociologique « Chapitre neuvième. Les idées philosophiques et sociales dans la poésie (suite). Les successeurs d’Hugo »

Ce dernier se rattache, par trop de côtés, à cette pléiade de poètes qui, à l’école des Théophile Gautier, visent à être impeccables et se font gloire d’être insensibles, tout occupés qu’ils sont à polir froidement et à parfaire des vers de forme achevée. […] J’effondrerai des deux la voûte dérisoire, Par-delà l’épaisseur de ce sépulcre bas Sur qui gronde le bruit sinistre de ton pas, Je ferai bouillonner les mondes dans leur gloire ; Et qui t’y cherchera ne t’y trouvera pas. […] Nous te déchirerons ta chemise et tes bas Pour voir ce que tu vaux du haut jusques en bas… … et l’on verra ce qu’il faut croire De ta grandeur, de ta majesté, de ta gloire Déesse dont les, yeux étaient des firmaments, Quand tu ne seras plus qu’un paquet d’excréments.

1707. (1889) Écrivains francisés. Dickens, Heine, Tourguénef, Poe, Dostoïewski, Tolstoï « Charles Dickens »

Dickens est demeuré célèbre ; une part de la gloire littéraire de ce temps lui appartient presque en tous pays. […] Les mobiles de la conduite des personnages sont encore purement fantastiques ; c’est tantôt une bonté stupide, tantôt la méchanceté pure, tantôt une rapacité ou un désintéressement également extrêmes, au contraire, les grands intérêts passionnels ou spirituels humains, l’amour, ce pivot de presque toutes nos œuvres d’imagination, l’ambition, la soif de science, de gloire, de pouvoir, de jouissance, ne jouent aucun rôle presque dans ces singuliers livres. […] Dans un pays où l’on sait se faire gloire d’être un parvenu, il eut singulièrement toute sa vie la honte de sa misérable enfance et le ressentiment de ses débuts pénibles.

1708. (1856) Cours familier de littérature. I « IVe entretien. [Philosophie et littérature de l’Inde primitive (suite)]. I » pp. 241-320

Si une flotte dont on attend le retour montre, au coucher du soleil, les étages successifs de ses voiles surgissant une à une, comme un troupeau de moutons qui monte une colline au-dessus de la courbe de l’horizon, on songe aux canons qui ont grondé dans ses bordées, aux vaisseaux qui ont sombré sous les boulets des ennemis, aux morts et aux blessés qui ont jonché ses ponts sous la mitraille ; toutes les images de la guerre, de la mort pour la patrie, de la gloire et du deuil, assiègent la pensée. — Émotion ! […] Ils se trompent même pour leur gloire. […] Malheur au peuple athénien qui riait de tout, même de ses gloires et de ses malheurs !

1709. (1840) Kant et sa philosophie. Revue des Deux Mondes

Plusieurs de ces conquérans rapportèrent dans leur patrie les habitudes de la conquête ; le despotisme militaire suivit les chefs victorieux et s’établit à la faveur même de leurs services et de leur gloire. […] Leibnitz, dont on ne peut trop admirer le génie, Leibnitz lui-même est un disciple de Descartes, disciple, il est vrai, qui a surpassé son maître, mais qui, malheureusement entraîné par une curiosité universelle, la passion de toutes les gloires et les distractions de la vie politique, n’a jeté que d’admirables vues, sans fonder un système net et précis. […] Mais la philosophie présida à tous ses travaux et finit par absorber tous ses goûts : elle devint sa vraie vocation et sa principale gloire.

1710. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Gui Patin. — II. (Fin.) » pp. 110-133

Tout sujet de lettres lui était bon comme matière à esprit et presque à éloquence : « un bouquet, une paire de gants, une affaire d’un écu ; prier le maire d’une ville de faire raccommoder un mauvais chemin, recommander un procès à un président », tout cela, sous sa plume, devenait un texte à belles pensées et à beau langage, et ne lui fournissait pas moins de quoi plaire « que toute la gloire et toute la grandeur des Romains ». […] « Scaliger a été, par ses bonnes parties, un des plus grands hommes qui aient vécu depuis les Apôtres. » Et le médecin Fernel, ce moderne héritier de Galien, Gui Patin a, pour l’honorer, des paroles sans mesure ; il disait un jour à une personne de cette famille, « qu’il tiendrait à plus grande gloire d’être descendu de Fernel que d’être roi d’Écosse ou parent de l’empereur de Constantinople ».

1711. (1870) Causeries du lundi. Tome XIV (3e éd.) « Charles-Victor de Bonstetten. Étude biographique et littéraire, par M. Aimé Steinlen. — III » pp. 455-479

« Inutile à mon pays, englouti sous les flots révolutionnaires, assourdi par les sons discordants de mille intérêts blessés, sans amis, entouré de haine et d’humeur, je quittai un pays qui, ne vivant que de souvenirs, était blessé à la fois dans sa gloire passée et dans ses intérêts présents et à venir. » Ainsi parlait Bonstetten de cette Berne où il s’était toujours senti dépaysé, mais qui dès lors n’était plus tenable après les événements de 1798. […] Ce qui est certain, c’est que le vénérable paralytique, quoi qu’on puisse lui dire, le paralytique éternel, et qui se fait gloire de l’être, s’obstine à ne, pas marcher, à ne pas bouger.

1712. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Journal et Mémoires, de Mathieu Marais, publiés, par M. De Lescure  »

Avec cela il aima vivement les Lettres et les alla prendre à leur source ; il aima et cultiva plusieurs des grands hommes de son temps en ce genre, Despréaux, Bayle, le président Bouhier, se fit estimer d’eux, leur fut des plus utiles comme auditeur plein de justesse et de savoir, comme informateur aussi et correspondant excellent ; il est si bien entré dans les intérêts de leur gloire et dans l’intelligence de leur esprit, qu’il est impossible de parler d’eux au complet, sans parler un peu de lui. […] C’est un bien si grand, c’est une gloire si relevée, que je n’avais garde de l’espérer.

1713. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Journal et Mémoires, de Mathieu Marais, publiés, par M. De Lescure »

Sénèques et Lucains du temps, apprenez à écrire et à penser dans ce poëme merveilleux qui fait la gloire de notre nation et votre honte. » Mais il se refuse bientôt à suivre le poète dans cette universalité de talents et d’emplois qu’il affecte ; « Il veut être à la fois poète épique, tragique, comique, satirique et, par-dessus cela, historien, et c’est trop. » Marais a cette idée mesquine et fausse, que j’ai vue à bien des esprits, d’ailleurs sensés et fins, en présence des poètes : «  Il va, dit-il, épuiser son génie, et bientôt il n’y aura plus rien dans son sac » ; comme si le génie ou le talent naissant était un sac, et comme s’il n’était pas bien plutôt une source féconde qui s’entretient et qui se renouvelle sans cesse en se versant. […] Les plus grands hommes ont été exposés à ces sortes d’injustices ; rendez donc au plus tôt vos ouvrages publics, et marchez à la gloire que vous méritez. » Voilà un noble langage.

1714. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « Chateaubriand — Chateaubriand, Vie de Rancé »

Voilà près d’un demi-siècle, voilà quarante-quatre années du moins que M. de Chateaubriand a inauguré notre âge par Atala, par le Génie du Christianisme, et s’est placé du premier coup à la tête de la littérature de son temps : il n’a cessé d’y demeurer depuis ; les générations se sont succédé, et, se proclamant ses filles, sont venues se ranger sous sa gloire ; presque tout ce qui s’est tenté d’un peu grand dans le champ de l’imagination et de la poésie procède de lui, je veux dire de la veine littéraire qu’il a ouverte, de la source d’inspiration qu’il a remise en honneur ; ce qu’on a, dans l’intervalle, applaudi de plus harmonieux et de plus brillant est apparu comme pour tenir ses promesses et pour vérifier ses augures ; il a eu des héritiers, des continuateurs, à leur tour illustres, il n’a pas été surpassé ; et aujourd’hui, quand beaucoup sont las, quand les meilleurs se dissipent, se ralentissent ou se taisent, c’est encore lui qui vient apporter à la curiosité, à l’intérêt de tous, un volume impatiemment attendu, et qui n’a, si l’on peut dire, qu’à le vouloir pour être la fleur de mai, la primeur de la saison. […] « L’illustre vieillard, s’enfonçant dans ses années, cesse d’être en rapport, excepté par la gloire, avec les générations qui s’élèvent ; il leur parle encore du désert de Ferney, mais il n’a plus que sa voix au milieu d’elles.

1715. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Du génie critique et de Bayle »

Cet idéal de tolérance universelle, d’anarchie paisible et en quelque sorte harmonieuse, dans un État divisé en dix religions comme dans une cité partagée en diverses classes d’artisans, cette belle page de son Commentaire philosophique, il la réalise dans sa république des livres, et, quoiqu’il soit plus aisé de faire s’entre-supporter mutuellement les livres que les hommes, c’est une belle gloire pour lui, comme critique, d’en avoir su tant concilier et tant goûter. […] Oui, à la gloire du génie critique, Bayle est resté et restera autant et plus que les trois quarts des poëtes et orateurs, excepté les très-grands.

1716. (1895) La musique et les lettres pp. 1-84

Le roulement, en les âges, de la gloire poétique d’un peuple ne se borne pas à la pure splendeur, il fournit, à côté, une caisse, avec les générations accrue — puisque les grands auteurs parviennent par des livres, qui se vendent. […]   Tandis que le regard intuitif se plaît à discerner la justice, dans une contradiction enjoignant parmi l’ébat, à maîtriser, des gloires en leur recul — que l’interprète, par gageure, ni même en virtuose, mais charitablement, aille comme matériaux pour rendre l’illusion, choisir les mots, les aptes mots, de l’école, du logis et du marché.

1717. (1868) Alexandre Pouchkine pp. 1-34

I Pouchkine et lord Byron sont morts l’un et l’autre dans la force de l’âge et la plénitude de leur talent, après avoir épuisé toutes les jouissances que peut donner la gloire des lettres. […] Je crois qu’il ne serait pas impossible de lui ravir la gloire de l’invention, et de remonter à l’antiquité pour découvrir des modèles, si, dans une œuvre de ce genre, le mérite de l’exécution n’était pas le plus important, disons mieux, le seul à considérer.

1718. (1890) L’avenir de la science « XXII » pp. 441-461

Notre Journal des Débats eût fait gorge chaude de ces gens-là, et cependant ils ont vaincu, et, quatre siècles après, les plus beaux génies se sont fait gloire d’être leurs disciples et, au XIXe siècle encore, des intelligences distinguées les tiennent pour des inspirés. […] Ce sont là les vrais fondateurs de l’unité allemande ; du moment où toutes les parties de ce beau pays se sont retrouvées dans la langue, la gloire et le génie de ces grands hommes, elles ont senti le lien qui les unissait et elles ont dû tendre à le réaliser politiquement.

1719. (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Émile Augier — Chapitre Premier »

» Il dit à l’homme : « Tu es une âme chétive portant un cadavre. » Il rit amèrement de ceux qui poursuivent la gloire, la volupté, la fortune : — « C’est comme si on se prenait d’amour pour les oiseaux qui passent en volant. » — Comme Macbeth, il compare l’existence à une farce tragi-comique : — « Ce que nous estimons tant, dans la vie, n’est que vide et petitesse. […] Son indolence tombe, comme un manteau, sous les pieds de son cheval ; la couronne repousse sur son front en casque d’éclat et de gloire ; ce n’est plus le prince moribond de Fontainebleau et du Louvre : c’est un héros de l’Arioste, rayonnant d’audace et de bravoure enflammée.

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