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18. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « IV »

Notre auteur ne « spécifiant pas », comment un écrivain français tel que Chateaubriand peut passer pour un écrivain étranger, « on ne sait que dire ». […] Albalat n’arrivera-t-il jamais à comprendre que La Bruyère, écrivain français, n’a pu, au sens réel et péjoratif du mot, imiter Théophraste, écrivain grec16. […] Il pousse, par exemple, la plaisanterie jusqu’à nous accabler avec le mot d’Ernest Hello : « Le grand écrivain donne son style, c’est-à-dire sa parole. […] L’écrivain visuel peut être aussi quelquefois émotif et il peut arriver à un écrivain émotif d’être visuel, et cela encore une fois « ne va pas bien ». […] Il fait intervenir à propos du style les écrivains sensoriels, la zoologie et l’imitation des vertébrés.

19. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « X »

En tout cas, pas une minute je n’ai eu l’idée de les destiner aux grands écrivains. Les grands écrivains se passent de guides, et leurs corrections doivent nous servir de modèle. […] Mais c’est précisément parce que leur pensée n’est pas la nôtre que l’exemple des corrections des grands écrivains peut nous être profitable. […] On n’est bon écrivain, selon vous, que si l’on corrige. […] De très bons critiques ne se sont pas mépris sur la portée de notre dernier livre et la part que nous faisons à l’inspiration : « C’est aux écrivains, eux-mêmes, dit M. 

20. (1887) La vérité sur l’école décadente pp. 1-16

Bien que sans autres titres que ma connaissance familière des œuvres de ces jeunes écrivains, je me sens poussé par l’indignation en face des injures ineptes où sont en but de sympathiques et consciencieux artistes à écrire quelques lignes de vérité. […] Les seuls poètes intéressants, les seuls vrais écrivains, — parmi tous les noms mis en avant depuis une année — les seuls Auteurs de quelque chose, les voici, et on peut m’en croire. Je ne parle ici que des écrivains qu’on eut voulu flétrir du sobriquet de Décadents et que d’après Jean Moréas il faudrait appeler Symbolistes ; comme ces écrivains sont très divers de manière et de talent je ne perçois pas, pour ma part, la nécessité d’une autre raison sociale à leur fortuite congrégation, que celle de Poètes. […] De ceux là Henri de Régnier Est un écrivain plein de distinction, bien que son vers un peu monotone ne soit pas encore complètement dégagé et n’apparaisse pas encore dans sa phrase définitive. […] Éphraïm Mikhaël dont nous avons remarqué L’Automne, et Rodolphe Darzens, je croirai avoir énuméré les principaux écrivains en vers de la nouvelle génération dont je conseille au lecteur de peser les œuvres avant de porter sur elle un jugement quelconque.

21. (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome I « Bibliotheque d’un homme de goût. — Chapitre IV. Des Ecrits sur la Poétique & sur divers autres genres de Littérature. » pp. 216-222

Ainsi plusieurs Ecrivains incapables de faire deux vers, & de composer une harangue, nous ont accablés de Traités sur la Poésie & sur l’Eloquence. […] Il y a dans cet ouvrage de la netteté, de la précision, & le style est d’un Ecrivain exercé. […] Ce lexique fait avec goût & avec méthode, présente d’une maniére claire & attrayante les principes qui forment le grand écrivain dans tous les genres. […] Ce livre est d’autant plus cher aux lecteurs françois, que presque tous les exemples sont tirés des Ecrivains de la nation. […] Les excellens Ecrivains lus & relus, contribuent plus à former le sentiment, le jugement & le goût que tous les écrits didactiques.

22. (1889) Histoire de la littérature française. Tome III (16e éd.) « Chapitre douzième. »

La Bruyère ne serait pas le seul exemple d’un homme simple ayant de la prétention comme écrivain. […] Où les mots égalent les pensées, c’est le même style que celui de tous les grands écrivains du dix-septième siècle. […] La matière fournit d’elle-même ses formes et ses couleurs à l’écrivain qui y est propre. […] La Bruyère donne l’exemple, trop souvent imité, des théories imaginées par les écrivains pour se mettre en paix sur leurs défauts. […] Il est trop souvent littérateur ; les autres ne sont qu’écrivains, c’est-à-dire hommes d’action par la plume.

23. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Macaulay »

L’écrivain, chez lui, l’écrivain dont la force poétique est toujours donnée par la comparaison, a la comparaison surtout ingénieuse, et il la suit longtemps quand il la trouve… En somme, si le critique défaille souvent pour les causes que j’ai dites, l’écrivain se soutient toujours, et c’est ce souci d’être toujours écrivain qui fait de lui un esprit, avant tout, littéraire et inaliénablement tel, alors même que le critique littéraire a disparu dans l’historien à prétention, dans le whig incessamment présent, dans l’utilitaire, dans le scholar ; car il est resté scholar aussi, d’habitude intellectuelle et même quelquefois de langage, cet homme qui n’a pas, malgré une force incontestable, su rompre ces emmaillottements ! […] aussi nombreux que je le voudrais ; mais, tels qu’ils sont, ils donnent une idée suffisante de la valeur et de la portée de Macaulay comme critique et comme écrivain. […] Or l’écrivain est, dans Macaulay, supérieur encore au critique. Le critique peut se tromper et défaillir, mais l’écrivain, lui, ne défaille jamais et rend toujours notre imagination heureuse. […] Guillaume Guizot nous révèle si justement, et auquel nous n’avons, en France, parmi nos meilleurs écrivains de journaux et de revues, personne à comparer exactement et à opposer.

24. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Deuxième partie. Ce qui peut être objet d’étude scientifique dans une œuvre littéraire — Chapitre II. L’analyse interne d’une œuvre littéraire » pp. 32-46

Comment l’écrivain que nous étudions reproduit-il la ligne, le contour ? […] Il s’avouait écrivain pittoresque et plastique. […] § 2. ― L’analyse des sentiments exprimés par l’écrivain est plus riche encore en résultats. […] Mais il est rare qu’un écrivain se borne à retracer une seule espèce de sentiments. […] Dans quel domaine l’écrivain nous entraîne-t-il avec lui ?

25. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre sixième. »

Pourquoi Montaigne a-t-il un goût particulier pour certains écrivains de la décadence latine. — § VI. […] Plutarque n’était-il pas un Grec formé par les écrivains de la décadence latine, une sorte de Sénèque grec ? […] Celle-ci même n’essaya pas de le soutenir, et elle fut amenée par le génie et l’exemple de Calvin à prendre les formes sévères, nobles et soutenues des écrivains de Rome, plus goûtés par Calvin, comme on sait, que les écrivains grecs. […] Les grands écrivains le reconnaissent pour leur glorieux prédécesseur. […] La langue de Montaigne n’est pas une des moindres séductions de ce grand écrivain.

26. (1881) Le roman expérimental

Elle a accueilli un écrivain, c’est parfait. […] Un écrivain est un luxe qu’un seigneur se donne. […] Les grands payaient et les écrivains se courbaient. […] Que l’on compare un instant la situation d’un écrivain sous Louis XIV à celle d’un écrivain de nos jours. […] Évidemment, du côté de l’écrivain actuel.

27. (1890) Conseils sur l’art d’écrire « Principes de composition et de style — Quatrième partie. Élocution — Chapitre VII. De la propriété des termes. — Répétition des mots. — Synonymes. — Du langage noble »

Cette propriété, cette équivalence exacte de la pensée et de l’expression, font qu’on ne conçoit point que l’écrivain, pensant ainsi, eût pu s’exprimer différemment, et qu’il semble à tous que, le fond étant tel, la forme devait être telle aussi par une inévitable conséquence. […] Mais, pour ne point autoriser la négligence, Pascal a grand soin de limiter la liberté qu’il  accorde : la répétition est légitime, à condition d’être nécessaire ; il faut que le mot s’impose à l’écrivain, et reste là pour ainsi dire malgré lui. […] Les grands écrivains, et même Boileau, observent sans superstition la loi de la noblesse du langage ; Bossuet fait apparaître une poule dans l’oraison funèbre, et livre Jésus-Christ aux crachats de la canaille. […] La liberté du mot propre n’a pas été une facilité offerte à la médiocrité : la tâche de l’écrivain n’en a pas été simplifiée, et l’art n’a pas été par-là mis à la portée de tous. […] Il y a encore des mots nobles et grands ; il y en a de familiers, de bas, de dégradés : leur sens, leurs affinités, leur usage ordinaire mettent des différences entre eux, et il y en a toujours devant lesquels hésiteront les gens et les écrivains de bonne compagnie.

28. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « XIV »

Brunetière, que les meilleurs écrivains ont des qui et des que, des répétitions, des absences d’harmonie, des métaphores qui ne se suivent pas ; nous avons dit, comme M.  […] Brunetière, que cela ne les empêchait point d’être de bons écrivains, parce que tout cela n’a qu’une importance secondaire dans l’art d’écrire. […] Mais, comme on trouve aussi chez ces mêmes écrivains des métaphores qui ne se suivent pas, ce qui ne prouve rien, puisqu’ils ont beaucoup plus de celles qui se suivent, M.  […] Brunetière, Saint-Simon, Molière, Sévigné survivent, bien que leur style n’ait pas les qualités qu’il nous blâme d’exiger ; et nous devrions, d’après lui, ne les point compter comme de bons écrivains. […] Mais les écrivains de cette époque en ont vraiment abusé.

29. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre VII. La littérature et les conditions économiques » pp. 157-190

Des libéralités, des pensions encouragent les écrivains à se lancer dans la carrière, dégagés du souci de gagner leur pain. […] Les grands écrivains de la période précédente disparaissent sans être remplacés. […] Une véritable anarchie grammaticale où se perdent les écrivains et encore davantage les copistes. […] Il dit à l’écrivain que l’on presse : — Le temps ne fait rien à l’affaire. […] Certes les écrivains sont plus indépendants qu’autrefois.

30. (1902) Le culte des idoles pp. 9-94

Sainte-Beuve, Saint-Victor, Renan, Flaubert et quelques autres écrivains dînaient de temps en temps avec M. de Goncourt. […] Il aimait fort recevoir des écrivains ; il se comparait à eux et se trouvait supérieur. […] Un délicieux écrivain, M.  […] C’est une drôle de façon d’être un grand écrivain. […] C’est le caractère d’un écrivain, sa nature, qu’il faut considérer, et non pas sa pensée.

31. (1856) Les lettres et l’homme de lettres au XIXe siècle pp. -30

À Memphis, à Babylone, tous les écrivains sont prêtres, ou subordonnés aux prêtres. […] Les écrivains pressés de réussir prendront pour ligne chacune de ces bordées. […] Le talent de nos écrivains porte la peine de ce défaut de moralité. […] La richesse n’est guère moins nuisible à l’écrivain que la misère. […] Je dirai à l’écrivain : Ne rougissez pas de travailler pour vivre ; mais choisissez votre travail.

32. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre second. Philosophie. — Chapitre V. Moralistes. — La Bruyère. »

Les écrivains du même siècle, quelque différents qu’ils soient par le génie, ont cependant quelque chose de commun entre eux. […] Ainsi les écrivains de Port-Royal se distinguent des écrivains de la Société ; ainsi, Fénélon, Massillon et Fléchier se touchent par quelques points, et Pascal, Bossuet et La Bruyère par quelques autres. […] Quoi qu’il en soit, La Bruyère est un des beaux écrivains du siècle de Louis XIV. […] Il croirait sans doute que les nouveaux esprits forts sont des hommes très supérieurs aux écrivains qui les ont précédés, et que devant eux, Pascal, Bossuet, Fénélon, Racine, sont des auteurs sans génie. […] Ne serait-ce point que nous exprimons des pensées communes en style recherché, tandis que les écrivains du siècle de Louis XIV disaient tout simplement de grandes choses ?

33. (1914) Boulevard et coulisses

Et nous verrons dans quelles conditions un jeune écrivain de vingt-cinq ans débutait dans ce milieu-là. […] Je fis encore la connaissance, pendant cette période, d’un très jeune écrivain, M.  […] Est-ce un écrivain que l’on loue ou un aviateur que l’on acclame, ou un boxeur ? […] Elles viennent à la fois du côté du public et du côté de l’écrivain. […] L’autre, l’écrivain, subit des tentations analogues.

34. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Milton, et Saumaise. » pp. 253-264

Mais quelle différence de l’écrivain qui les combattit avec l’écrivain qui prit leur défense ? […] Croiroit-on qu’un écrivain obscur & mauvais patriote ait osé, depuis quelques années, s’élever à Londres contre le culte qu’on y rend à l’Homère Anglois ? Cet écrivain a donné différens ouvrages, dans lesquels il prétend démontrer que Milton a tout puisé dans je ne sçais quelles rapsodies Latines d’un professeur de rhétorique Allemand. […] Les factieux récompensèrent l’écrivain qui les servoit si bien. […] Ils voulurent que cet écrivain fût compris dans l’amnistie que Charles II leur donna.

35. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « Μ. Ε. Renan » pp. 109-147

Car ils n’osent pas dire : un grand écrivain ! […] Tel le philosophe et tel l’écrivain dans M.  […] Tout le mérite d’écrivain de M.  […] J’avoue que je n’ai jamais été frappé de ce talent de grand écrivain et de peintre qu’on octroie à M.  […] Seulement, comme ils ont dit qu’il y avait un écrivain et un grand écrivain au fond du philosophe et que le sujet de l’Antéchrist prêtait à l’écrivain, je l’en ai ôté, je l’ai regardé… Et j’ai dit ce simple mot sur le grand écrivain, — ce mot qui ne voulait être qu’un mot, car il ne méritait pas plus !

36. (1889) Écrivains francisés. Dickens, Heine, Tourguénef, Poe, Dostoïewski, Tolstoï « Conclusions »

Nos analyses ont porté sur six écrivains de race et de talent divers. […] De là le pessimisme habituel de la plupart des écrivains français modernes, de Chateaubriand à Gautier, de Flaubert à M.  […] Quelques écrivains, parmi les plus grands, présentent une sensibilité également partagée entre l’optimisme et le pessimisme. […] Assurément le public était romantique comme ses écrivains favoris en 1830, et il est aujourd’hui, à un plus faible degré, naturaliste. […] Ce puissant et magnifique écrivain dont les œuvres sont traduites en France depuis plus de trente ans, n’a jamais été populaire.

37. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre V. De la littérature latine, pendant que la république romaine durait encore » pp. 135-163

Il résultait de cette séparation presque absolue, entre les études philosophiques et les occupations de l’homme d’état, que les écrivains grecs cédaient davantage à leur imagination, et que les écrivains latins prenaient pour règle de leurs pensées la réalité des choses humaines. […] Le peuple romain était une nation déjà célèbre, sagement gouvernée, fortement constituée avant qu’aucun écrivain eût existé dans la langue latine. […] L’écrivain qui compose a toujours ses juges présents à la pensée ; et tous les ouvrages sont un résultat combiné du génie de l’auteur, et des lumières du public qu’il s’est choisi pour tribunal. […] Le caractère romain était un modèle auquel tous les grands hommes adaptaient leur nature particulière ; et les écrivains moralistes présentaient toujours le même exemple. […] Avant Ennius, il y avait eu beaucoup d’écrivains en prose chez les Romains.

38. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Madame Sand »

Devant ce public qu’elle n’oublie jamais et qui lui donnait sa tenue littéraire, elle est, après tout, un écrivain d’un certain ordre, qui a droit à un classement quelconque. Mais entre amis et dans l’intimité des relations et des sentiments, elle n’est plus un écrivain du tout, et elle a sa plume à la main ! […] je conçois le bégaiement de l’écrivain quand il s’agit de parler sa pensée, son idéale pensée, au lieu de l’écrire. […] Il n’y a pas si petite et chétive lettre d’écrivain de talent où le talent ne roule quelque paillette de son or. […] Vers la fin du volume, l’Écrivain, qui n’avait touché qu’un mot de ces deux succès : Indiana et Valentine, l’Écrivain envahit la femme qui se dérobe et le bas-bleu s’étend sur sa vie.

39. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre VIII. Les écrivains qu’on ne comprend pas » pp. 90-110

Les écrivains qu’on ne comprend pas Il faut lire avec satisfaction un petit manifeste de Marcel Proust contre les écrivains « qu’on ne comprend pas ». […] Lesquels des écrivains d’hier résument la gloire ou le succès ? […] par Fénelon, — l’écrivain lettré de 1896 joue d’un clavier plus étendu que le collaborateur du Petit Journal, ou que M.  […] Dans cette conjoncture, le devoir des écrivains, de quiconque tient une plume, comme dit M.  […] Le devoir des écrivains est d’écrire de leur mieux, sans se soucier après eux du déluge.

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