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343. (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376

Arlecchino creato re per ventura (Arlequin roi par hasard), novembre 1672. […] Mezzetin s’acquitta si bien de cette mission que le roi le nomma camérier intime, trésorier des menus plaisirs, et l’anoblit. Mezzetin, enhardi par ces faveurs, s’éprit de la favorite du roi et lui déclara son amour. […] Le roi avait été averti de l’insolence du comédien ; et, caché, il le vit insulter la Majesté Royale ; il sortit de sa cachette le sabre à la main, et voulait tuer le traître. […] Il se jeta aux pieds du roi ; mais, bien que la dame joignît ses supplications aux siennes, Auguste demeura inexorable.

344. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Bossuet, et Fénélon. » pp. 265-289

Il obtint un ordre du roi pour qu’elle fût enfermée. […] Elle connoissoit l’horreur du roi pour toute ombre de nouveauté. […] Le livre des Maximes est dénoncé au roi. […] Il porta lui-même au roi ces signatures. […] En le quittant, le roi dit : J’ai entretenu le plus bel esprit & le plus chimérique de mon royaume.

345. (1862) Cours familier de littérature. XIII « LXXIVe entretien. Critique de l’Histoire des Girondins (5e partie) » pp. 65-128

Ce parti tomba de faiblesse et d’indécision, comme le roi qu’il avait renversé. […] Le 10 août leur avait arraché le trône, dont ils rêvaient encore la conservation dans le décret même où Vergniaud proclamait la déchéance du roi. […] Paris eut cependant moins d’émotion de ce meurtre que du meurtre du roi. […] Il voulut de bonne foi se réconcilier avec le roi et soutenir la constitution. Le roi l’accueillait, mais les insultes des courtisans et les antipathies de la cour le repoussèrent.

346. (1824) Notes sur les fables de La Fontaine « Livre sixième. »

Tranche du roi des airs, pleut, vente, etc. […] Ce sont de ces verbes que les grammairiens appellent impersonnels, parce que personne n’agit par eux ; mais La Fontaine a si bien préparé ces deux expressions, par ce mot tranche de roi des airs ; ces mots, pleut, vente, semblent en cette occasion si naturels et si nécessaires, qu’il y aurait de la pédanterie à les critiquer. […] Les animaux restent sans roi. […] On ne cesse de s’étonner de trouver un pareil vers dans La Fontaine, lui qui dit ailleurs : On ne peut trop louer trois sortes de personnes, Les dieux, sa maîtresse et son roi. […] De par le roi des animaux, …………..

347. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre XI. Mme Marie-Alexandre Dumas. Les Dauphines littéraires »

Mais ceux-là mêmes qui nient le plus dru l’héroïsme de par la race, sont les premiers et les plus obstinés à admettre que le talent, cet héroïsme de l’esprit, cette gentilhommerie du talent, qui ne s’est donné pourtant, comme l’autre, que la peine de naître, peut se transmettre de père en fils, — et même en fille, — et qu’en littérature, il y a des races, il y a des dynasties, il y a des Rois et des Dauphins, et, ce qui est plus fort, des Dauphines ; et, chose entièrement inconnue à cette vieille bête de monarchie qui ne connaissait que les Dauphines par mariage ! […] Alexandre Dumas et Théophile Gautier sont, en effet, des rois littéraires de ce temps, sinon de droit divin, du moins de suffrage universel. Ce sont des rois populaires. Ces rois doivent avoir leurs Dauphins ; et ils les ont. […] Alexandre Dumas a Dauphin et Dauphine, — plus heureux en cela que l’autre roi littéraire, M. 

348. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — E. — article » pp. 238-247

Le Traité signé, Mlle d’Eon, que personne n’avoit reconnue à la Cour de Russie, fut chargée d’en porter la nouvelle au Roi. […] Le Roi ordonna à son Chirurgien de prendre un soin particulier de Mlle Déon, qui ne put se servir de sa jambe qu’après avoir gardé plus de trois mois le lit. […] Ce fut dans cette occasion que le Roi lui accorda la Croix de S. […] Tout ce que nous nous permettons de dire, au sujet de ces événemens, c’est que, malgré ses démêlés avec plusieurs Ministres de France, elle n’a pas cessé d’être fidelle à son Roi, avec qui elle a eu une correspondance secrete qui a duré près de vingt ans, & qui duroit encore à l’époque de la derniere maladie de ce Prince.

349. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Hallé » pp. 71-73

Belle leçon du roi des scythes expirant ; jamais plus belle leçon ne fut donnée ; jamais plus mauvais tableau ne fut fait. […] Cela, c’est un roi ! C’est un roi scythe ! […] Et vous croyez qu’on aura le front d’envoyer cela à un roi.

350. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre second. De la sagesse poétique — Argument » pp. 93-99

Solon, Dracon, Ésope, Romulus et autres rois de Rome, les décemvirs, etc. […] Les premiers pères furent à la fois les sages, les prêtres et les rois de leur famille. […] Les rois ne sont d’abord que de simples chefs. […] Le gouvernement de Rome fut, dans son origine, plus aristocratique que monarchique, et malgré l’expulsion des rois, il ne changea point de caractère, jusqu’à l’époque où les plébéiens acquirent le droit des mariages solennels et participèrent aux charges publiques.

351. (1913) La Fontaine « V. Le conteur — le touriste. »

« La fantaisie de voyager m’était entrée quelque temps auparavant dans l’esprit, comme si j’eusse eu des pressentiments de l’ordre du Roi. » Cet ordre du roi devait s’appliquer à lui, et il est difficile, ce me semble, de ne pas en convenir. […] Ils arrivent, Jannart, La Fontaine et le « valet de pied du Roi », ils arrivent à Port-de-Piles. […] Il faut bien que j’emploie à quelque chose le loisir que le Roi nous donne… » Cela peut s’interpréter comme je vous l’ai indiqué. « Le roi nous donne des loisirs à Jannart et à moi, à Jannart parce qu’il l’exile, et à moi parce que je me crois obligé d’accompagner Jannart. » Cela peut s’interpréter ainsi ; mais je trouve l’explication un peu tirée et il y a peu de choses qui me paraissent plus formelles que cette façon de parler : « Les loisirs que le roi nous donne. » De même encore : ils veulent s’arrêter quelque temps à un certain endroit : « Nous accordâmes à cet ami qui nous avait hébergés un jour seulement. […] Mais nous jugeâmes qu’il valait mieux obéir ponctuellement aux ordres du Roi. » La Fontaine, cette fois, a envie de rester quelque part et de laisser Jannart aller en avant, seulement il dit : « Non, il vaut mieux obéir ponctuellement aux ordres du roi. » Il semble bien qu’il doit y obéir lui personnellement, et, pour moi, je crois à un voyage forcé. […] Le bon apôtre de roi fait là le saint homme, et est bien mieux pris que quand le Bourguignon le mena à Liège.

352. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Saint-Simon »

Les bâtardises de rois font les bâtardises de peuples. […] Et pour qui sait réfléchir, jamais un crime plus grand n’avait été commis par un Roi plus grand, mais auquel la lâcheté des hommes avait trop appris que rien n’était impossible à la Royauté… Eh bien, Saint-Simon, à son tour, est aussi grand que le crime de Louis XIV ! […] mais on les ignore… L’huile du sacre qui faisait les rois ne les faisait pas nécessairement chastes. […] Louis XII, qui n’eut qu’un enfant naturel avant d’être roi, l’enterra dans la prêtrise et l’ensevelit dans un archevêché. […] Il avait encore de la pudeur de roi, ce libertin impudique !

353. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208

Le roi se contente de cette espérance flatteuse ; et, donnant un autre cours à la conversation, il invite Arlequin à lui conter quelque jolie histoire. […] Dona Anna vient demander vengeance au roi. […] “Mais, lui dit Pantalon, suppose que je suis le roi, que je t’interroge : Bonjour, Arlequin. — Serviteur à Votre Majesté. — Sais-tu qui est le meurtrier dont il s’agit ? […] Je vais te dénoncer au roi, t’accuser d’avoir tué le commandeur, je reçois les dix mille écus, et nous partageons.” […] Le roi paraît ensuite ; Arlequin se jette à ses pieds, disant : “Ô prince !

354. (1868) Cours familier de littérature. XXV « CLe entretien. Molière »

Qu’on eût gardé des chevaux à la porte de New-Market, ou fait le lit du roi à Versailles, personne ne s’en humiliait ou ne s’en glorifiait. […] Le père de Molière s’appelait Poquelin ; il était tapissier, valet de chambre du roi. […] Cette somme, équivalant à trois mille d’aujourd’hui, était surtout un honneur qui signifiait la protection assurée du roi. […] Le roi accorda alors une pension de sept mille francs à sa troupe et le titre de comédiens du roi. […] Aussitôt que Molière fut mort, Baron alla à Saint-Germain en informer le roi.

355. (1761) Salon de 1761 « Peinture —  Roslin  » pp. 149-150

Le tableau où Mr Roslin a peint le Roi reçu à l’hôtel de ville par Mr le gouverneur, le prévôt des marchands et les échevins, après sa maladie et son retour de Metz est la meilleure satire que j’aie vue de nos usages, de nos perruques et de nos ajustements. Le roi et sa suite occupent tout un côté du tableau ; la Ville et ses officiers occupent l’autre côté. […] Il couvre le roi qu’on cherche et qu’on ne distingue que parce qu’il a la tête couverte.

356. (1817) Cours analytique de littérature générale. Tome I pp. 5-537

Ladislas a commis un meurtre : Venceslas, son père et son roi, le condamne par les mêmes lois auxquelles ses autres sujets sont soumis : il le pleure, et l’envoie à l’échafaud. […] Le silence de l’homme-dieu devant Hérode, qui le jugeait insensé parce qu’il méprisait les rois de la terre, est un des traits sublimes de l’Évangile. […] Mot profondément comique, dans les temps où les rois pouvaient dormir ! […] Frédéric, adversaire de tous les rois ses voisins, eut intérêt aux nouveautés des maximes que débitait le philosophe de Ferney. […] Une femme, suivie de son enfant, la regardait, et s’écria d’un ton frénétique, qu’on aurait dû traiter de même le roi qu’elle représentait et tous ses pareils.

357. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre III. Les grands artistes classiques — Chapitre IV. Racine »

La représentation des ballets occupait une foule incohérente et bizarrement mêlée, artistes, danseurs, chanteurs, musiciens de profession, bourgeois amateurs, courtisans et princes, dames et demoiselles, Mlle de Sévigné, Mme de Montespan, Monsieur frère du roi, la reine, le roi lui-même, qui pendant vingt ans se fit honneur de figurer les Apollon et les Jupiter. Rien ne contribua plus à griser le Grand Roi que cette perpétuelle apothéose de sa grandeur et de ses faiblesses. […] Publiquement attaché à Port-Royal417, il finit par se sentir moins agréable au roi. […] Et Mithridate, c’est le vieillard amoureux, mais c’est Mithridate, le roi barbare, l’ennemi des Romains. […] Pour le mariage du roi.

358. (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre XII, les sept chefs devant Thèbes. »

Œdipe appartient à Sophocle ; c’est en parlant de Œdipe à Colone que nous raconterons le bannissement du vieux roi. […] Il y a loin des infanticides de Carthage, et du roi sémite égorgeant son fils comme un mouton d’holocauste, à ce jeune Grec qui s’offre à la mort en échange de la patrie délivrée. […] Et Poséidon, « roi équestre qui frappe les poissons de son trident redouté ». […] C’est contre lui que je combattrai ; ennemi contre ennemi, roi contre roi, frère contre frère. […] Le Chœur hésite un instant : doit-il se réjouir de la victoire qui délivre Thèbes, ou pleurer la mort de ses rois ?

359. (1860) Cours familier de littérature. X « LVe entretien. L’Arioste (1re partie) » pp. 5-80

…” » Ariodant renonce en apparence à se tuer ; mais le lendemain matin il disparut, au grand étonnement du roi et de la cour, sans qu’on entendît plus parler de lui en Écosse. […] Renaud, s’avançant vers le roi, lui dit d’interrompre le combat entre Lurcins et le chevalier inconnu. […] Le roi et le peuple font des vœux pour Renaud. […] Des acclamations de joie et de triomphe s’élèvent de la bouche du roi et du peuple autour de Renaud. […] Renaud, le roi, la cour, le peuple, touchés de sa générosité et de sa constance, avaient supplié Ginevra de récompenser tant d’amour par le don de sa main.

360. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Henri IV écrivain. par M. Eugène Jung, ancien élève de l’École normale, docteur es lettres. — I » pp. 351-368

Il n’est pas jusqu’à ce prix de la carpe et du brochet, cinq sous et trois sous, qui ne sente le roi homme de ménage, le roi de la poule au pot. […] et cette page heureuse, imprévue, transparente, échappée à un roi soldat dans une après-midi de rêverie et de loisir, n’est-elle pas une découverte pittoresque à laquelle il n’a manqué jusqu’ici qu’un cadre pour faire un tableau ? […] est-il possible qu’un grand roi se soumette sans raison et contre honneur, en requérant paix de sujets traîtres et rebelles, et de ne leur faire du commencement trancher toute commodité de s’agrandir ? […] Cette méfiance de la comtesse nous revient dans presque toutes les lettres du roi, qui est surtout occupé à la rassurer sur le chapitre de la fidélité : (1er mars 1588) J’ai reçu une lettre de vous, ma maîtresse, par laquelle vous me mandez que ne me voulez mal, mais que vous ne vous pouvez assurer en chose si mobile que moi. […] Il se représente à nous comme ayant donné à son roi les meilleurs conseils dans un sens aussi politique que généreux, ce que la comtesse ne lui pardonna jamais.

361. (1895) Histoire de la littérature française « Cinquième partie. Le dix-huitième siècle — Livre IV. Les tempéraments et les idées (suite) — Chapitre VI, « Le Mariage de Figaro » »

Le mépris de Louis XV et de ses tristes enfants est plus profond chez de grandes dames comme Mines d’Egmont et de Boufflers qui écrivent à un roi, que chez la petite bourgeoise, Mlle Phlipon. […] La « folle » comédie avait effrayé les censeurs ; le lieutenant de police, le garde des sceaux, le roi la déclarèrent impossible à jouer. […] « Le roi ne veut pas qu’on la joue, disait-il, donc on la jouera. » On va la jouer sur le théâtre des Menus, quand un ordre du roi l’interdit. […] Le Journal de Paris relevait vertement cc mélange de charité et de réclame : Beaumarchais répondait, et derrière le gazetier il atteignait le comte de Provence, frère du roi. […] Il acquiert en 1755 une charge de contrôleur dans la maison du roi. devient maître de harpe de Mesdames filles de Louis XV, puis s’anoblit en achetant le titre de secrétaire du roi (1761).

362. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Lettres inédites de l’abbé de Chaulieu, précédées d’une notice par M. le marquis de Bérenger. (1850.) » pp. 453-472

Le marquis de Béthune, qui avait épousé une sœur de la nouvelle reine, fut envoyé pour complimenter le roi son beau-frère. […] Il avait espéré être nommé résident ou chargé d’affaires de Pologne à Paris ; M. de Béthune l’appuyait auprès du roi et de la reine ; mais celle-ci protégeait un M.  […] Les régalades continuent sur toute la route au retour : l’ambassadeur et l’abbé ne se lassent pas de tenir tête aux grands seigneurs du pays et de s’enivrer à la polonaise, pour soutenir l’honneur du roi leur maître. […] Le roi alors était assez malade à la suite d’une opération, et ne le voulait point paraître. […] Monseigneur ne régna ni alors ni depuis ; le roi en voulut à Messieurs de Vendôme de cette fête, et Chaulieu eut peut-être à combler la dépense par quelques-uns de ces comptes ambigus qui font tache aujourd’hui à sa mémoire.

363. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « La reine Marguerite. Ses mémoires et ses lettres. » pp. 182-200

Et il lui expose les belles et grandes charges où Dieu l’a appelé, où la reine leur mère l’a élevé, et où le tient le roi Charles IX leur frère ; il craint que ce roi, courageux comme il l’est, ne s’amuse point toujours à la chasse, et ne devienne ambitieux de se mettre à la tête des armées dont il lui a laissé le commandement jusqu’ici. […] Un jour de fête où elle devait communier, comme elle était au lever de sa mère, celle-ci la prend à serment de lui dire si véritablement le roi, son mari, s’était conduit jusque-là avec elle en mari, en homme, et s’il n’était pas temps encore de rompre cette union. […] Ainsi, lorsqu’en 1582 on la rappelle à la cour de France, la tirant d’auprès du roi son mari et de Nérac, où elle avait été pendant trois ou quatre ans, elle y voit un projet de ses ennemis pour la brouiller avec son mari pendant l’absence ; ils espéraient, dit-elle, « que l’éloignement serait comme les ouvertures du bataillon macédonien ». […] Parlant de l’expédition projetée par son frère le duc d’Alençon en Flandre, elle le montre, en termes d’une énergique beauté, représentant au roi : Que c’était l’honneur et l’accroissement de la France ; que ce serait une invention pour empêcher la guerre civile, tous les esprits remuants et désireux de nouveauté ayant moyen d’aller en Flandre passer leur fumée et se saouler de la guerre ; que cette entreprise servirait aussi, comme le Piémont, d’école à la noblesse de France pour s’exercer aux armes, et y faire revivre des Montluc et Brissac, des Terme et des Bellegarde, tels que ces grands maréchaux, qui, s’étant façonnés aux guerres du Piémont, avaient depuis si glorieusement et heureusement servi leur roi et leur patrie. […] Pendant ce temps, la reine Marguerite ne cesse pas absolument de correspondre avec le roi son mari, devenu roi de France.

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