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212. (1890) Dramaturges et romanciers

Il résulte de tout cela cette fâcheuse conséquence que les pièces de M.  […] nous ne nous en plaignons pas, car la pièce de M.  […] Les pièces de M.  […] Pauvrement conçue, la pièce a été composée sans souci aucun de la variété. […] Il n’y en a pas moins dans cette pièce des parties excellentes.

213. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Ajalbert, Jean (1863-1947) »

. — La Fille Élisa, pièce tirée du roman d’Ed. de Goncourt (1891). — En Auvergne (1898) […] Dans les Paysages, il n’éprouve plus autant le besoin réaliste de préciser, il range ses courtes pièces de vers comme des pensées qu’il extrairait de mémoires intellectuels secrets. […] Quelques titres de pièces feront assez connaître la manière du poète : Square, Petites ouvrières, Lumière crue, Gennevilliers (un bon Raffaëlli), etc….

214. (1911) Nos directions

Sa première pièce révélait une esthétique unanimiste, et un don merveilleux de créer de la vie. […] De là l’austérité d’une pièce en somme scabreuse, qui déconcerta tant de gens. […] Un apôtre est buté, sans détours psychologiques, tout d’une pièce. […] Là résidait le défaut capital de l’œuvre, comme de toutes les anciennes pièces de M.  […] Je n’ai rien dit du spectacle ; il pouvait sauver la pièce : la musique de scène de M. 

215. (1895) Impressions de théâtre. Huitième série

Du temps de Hardy, on payait les pièces de théâtre quelques écus. « Hardy put vivre en faisant huit cents pièces », dit Scudéry. […] La pièce a fait grand effet et a été beaucoup applaudie. […] La pièce, telle qu’elle est, n’est pas ennuyeuse un seul instant. […] pièce en quatre actes, de M.  […] Vous croyez la pièce finie ?

216. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « III — II » pp. 14-15

On siffle : Hugo ne veut pas du mot, et dit devant les acteurs : « on trouble ma pièce. » Les acteurs, qui sont malins, disent depuis ce jour troubler au lieu de siffler. Il faut espérer que Judith (ou toute autre pièce) réussira, qu’elle ne sera pas troublée. […] La Préface, comme toutes les Préfaces de Hugo, surpasse la pièce : les premières pages sur l’antique Thessalie mythologique sont pleines de talent.

217. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — C — Coolus, Romain (1868-1952) »

. — L’Enfant malade, pièce en quatre actes (1897). — Cœurblette, comédie en deux actes (1899). — Le Marquis de Carabas, comédie-bouffe en trois actes et en vers (1900). — Exodes et ballades (1900). — Les Amants de Sazy (1901). […] Coolus est une pièce ni fort neuve, ni bien faite ; l’auteur y fait preuve cependant d’une certaine vigueur. […] Coolus a été de ne pas développer davantage ce Gorgeron et en faire le personnage principal de la pièce.

218. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Le président Hénault. Ses Mémoires écrits par lui-même, recueillis et mis en ordre par son arrière-neveu M. le baron de Vigan. » pp. 215-235

Le sujet est une passion pour une vestale, et l’auteur, qui appelle cette pièce un accident de l’amour, avait dû y peindre quelque ardeur réelle qu’il éprouvait alors, et à travers peut-être une grille de couvent. […] On me flattait sur les détails de cette pièce : en effet, c’était le premier essor d’une âme tout étonnée des sentiments qu’elle éprouve la première fois, la pure fleur du sentiment qui paraît exagéré quand on ne l’a pas connu, et qui est pourtant l’amour. […] Hénault, sur son siège, pouvait sourire et jouir à bon droit du succès de sa pièce : elle avait mieux réussi cette fois que Cornélie, et les acteurs étaient de première qualité. […] La préface m’en avait plu, j’ai voulu lire la pièce : le livre m’est tombé des mains. […] Moyennant toutes ces conditions, et « un peu de cette hardiesse et de cette liberté anglaise qui nous manque », Voltaire promettait au François II de valoir mieux que toutes les pièces de Shakespeare : c’était là une pure gaieté.

219. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Seconde partie. De l’état actuel des lumières en France, et de leurs progrès futurs — Chapitre V. Des ouvrages d’imagination » pp. 480-512

L’auteur a saisi, je crois, dans sa pièce, le point de vue sous lequel il faut présenter désormais la comédie : ce sont les vices pour ainsi dire négatifs, ceux qui se composent de la privation des qualités, qu’il faut maintenant attaquer au théâtre. […] Ce qui est vraiment beau, c’est ce qui rend l’homme meilleur ; et sans étudier les régies du goût, si l’on sent qu’une pièce de théâtre agit sur notre propre caractère en le perfectionnant, on est assuré qu’elle contient de véritables traits de génie. Ce ne sont pas des maximes de morale, c’est le développement des caractères et la combinaison des événements naturels qui produisent un semblable effet au théâtre ; et c’est en prenant cette opinion pour guide, qu’on pourrait juger quelles sont les pièces étrangères dont nous pouvons nous enrichir. […] La pièce de Fénelon est fondée sur un fait qui est entièrement du genre du drame : cependant il suffît du rôle et du souvenir de ce grand homme pour faire de cette pièce une tragédie. […] Les romans, la poésie, les pièces dramatiques, et tous les écrits qui semblent n’avoir pour objet que d’intéresser, ne peuvent atteindre à cet objet même qu’en remplissant un but philosophique.

220. (1823) Racine et Shakspeare « Chapitre premier. Pour faire des Tragédies qui puissent intéresser le public en 1823, faut-il suivre les errements de Racine ou ceux de Shakspeare ? » pp. 9-27

Ces pièces font beaucoup de plaisir ; mais elles ne font pas un plaisir dramatique. […] C’est par cette raison ignorée de lui-même, car à vingt ans, quoi qu’on en dise, l’on veut jouir, et non pas raisonner, et l’on fait bien ; c’est par cette raison secrète que le jeune public du second théâtre français se montre si facile sur la fable des pièces qu’il applaudit avec le plus de transports. […] Toute la dispute entre Racine et Shakspeare se réduit à savoir si, en observant les deux unités de lieu et de temps on peut faire des pièces qui intéressent vivement des spectateurs du dix-neuvième siècle, des pièces qui les fassent pleurer et frémir, ou, en d’autres termes, qui leur donnent des plaisirs dramatiques, au lieu des plaisirs épiques qui nous font courir à la cinquantième représentation du Paria ou de Régulus. […] Or, cette pièce, qui, chaque année, est applaudie un nombre infini de fois en Angleterre et en Amérique, commence par l’assassinat du roi et la fuite de ses fils, et finit par le retour de ces mêmes princes à la tête d’une armée qu’ils ont rassemblée en Angleterre, pour détrôner le sanguinaire Macbeth. […] Et cependant la pièce qu’il applaudit a déjà duré plusieurs heures.

221. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208

La pièce italienne avait été traduite ou plutôt imitée du drame espagnol, de frà Gabriel Tellez, par Onofrio Giliberti de Solofra. Il n’est pas probable toutefois que cette pièce fut récitée au Petit-Bourbon ; elle dut servir simplement de canevas à ces acteurs qui jouaient d’habitude à l’impromptu. […] Après ce bizarre prélude, qui se rapporte au sujet comme la tabatière de Sganarelle, comme l’éloge du tabac, figurant au début de la pièce de Molière, arrive Don Juan. […] N’oubliez pas que tout le reste de la pièce était en prose improvisée. […] Ce succès fut, du reste, égalé, sinon surpassé, par une pièce à grand spectacle, une prodigieuse féerie intitulée La Rosaure, impératrice de Constantinople, et représentée le 20 mars 1658.

222. (1900) Molière pp. -283

Son procédé n’est pas de bâtir des caractères de pièces et de morceaux. […] C’était une pièce assez mal faite. […] Cette morale de la pièce, grande et élevée, je la trouve exprimée à plus d’un endroit. […] Toutes les pièces de Scribe, pour ne parler que de lui, en sont remplies. […] C’est le Clavijo de Goethe, pièce qui a fait époque dans l’histoire des mœurs, et que je pourrais presque appeler une pièce française, car elle a été découpée dans les Mémoires de Beaumarchais.

223. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XXXIX » pp. 164-165

De madame Mélingue, cette énergique et superbe actrice qui a donné son âme à ma pièce ? […] Si, par malheur pour l’art et le Théâtre-Français, une telle menace s’accomplissait, la représentation de ma pièce se lierait au souvenir le plus triste de ma vie. […] Pourquoi n’est-il pas possible de n’écrire une pièce qu’après l’avoir fait jouer par les grands artistes que j’ai nommés ?

224. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Du Camp, Maxime (1822-1894) »

La plus remarquable pièce du recueil est incontestablement la pièce intitulée : Malédiction, et dont le dernier cri est : Qu’il soit maudit ! […] Dans ses vers À Aimée, sa vieille servante, dans la pièce sur la Maison démolie, M. 

225. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Gille, Philippe (1831-1901) »

. — Ceux qu’on lit (1897) ; un assez grand nombre de pièces de théâtre. […] Puis ce sont des pièces d’une grâce familière et simple, où la mélancolie, comme avec une pudeur, sourit encore. […] Le volume se termine par une pièce d’une plus haute envergure, Claudion, l’aventure d’un désespéré moderne qui a, à la fois, peur de la mort et horreur de la vie.

226. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Monsieur de Latouche. » pp. 474-502

Mais ce qui manque à toutes ces pièces, c’est l’invention d’abord, puis le dessin, la composition, même cette toute petite et bien courte composition qui est celle d’une idylle ou d’une élégie. […] Je recommande la pièce intitulée Rupture et qui commence ainsi : « Brisons des nœuds dont l’étreinte vous blesse… » ; mais j’aime mieux citer la pièce qu’il a appelée Dernière élégie. […] M. de Latouche, en quelques-unes de ses pièces, a des éclairs de flamme et un sentiment vif de la beauté physique (voir l’élégie intitulée Apparition). […] L’auteur fit imprimer sa pièce avec une préface, où il accentuait douloureusement son amertume. […] Puis, tout à coup, il y comparait orgueilleusement la chute de sa pièce à celle de Varsovie, et le procédé du public à celui de l’empereur Nicolas.

227. (1867) Nouveaux lundis. Tome VII « Histoire de Louvois et de son administration politique et militaire, par M. Camille Rousset. »

Les deux derniers volumes sont dignes des premiers, et l’auteur dans sa méthode originale et sûre, qui consiste à ne marcher qu’avec des pièces d’État, et, en grande partie, des pièces toute neuves, n’a point faibli un seul instant. […] Camille Rousset, dans son impartialité, nous indique un cas particulier où la fraude matérielle put bien ne pas être étrangère, et où il put ÿ avoir production de pièces faites après coup. […] Louvois écrivait donc à l’intendant, pour ne pas rester démuni de pièces dans son dire : « Il est important que si vous n’avez point fait d’impositions sur ce lieu, ou que vous n’en ayez pas gardé de copies, vous ne laissiez pas de m’envoyer des copies d’ordres et d’impositions faites sur la seigneurie de Traerbach et sur quelques autres lieux de la seigneurie de Sponheim, dont le roi est en possession, lesquelles vous daterez d’entre le Ier mai 1681 et le 10 juillet, et me les enverrez par le retour de ce courrier, avec cette lettre que vous me renverrez aussi en même temps, observant de faire en sorte que personne ne puisse avoir connaissance de ce que je vous mande. » Cela fait et les pièces réelles ou fictives obtenues, il était tout naturel que Louvois pût écrire à M. de Croissy, son collègue des Affaires étrangères, et qui ne voyait, de tout ce manège, que la surface : « Vous trouverez dans ce paquet les pièces nécessaires pour mettre M. de Crécy (le ministre qui représentait la France près de la Diète) en état de faire voir aux députés à la Diète de Ratisbonne que le roi a été en possession de Traerbach auparavant le 1er août 1681. Les procès-verbaux sont ci-joints en original, lesquels sont signés des officiers des lieux, afin que l’on ne puisse point dire que ces pièces aient été faites après coup. » Avait-on retrouvé heureusement ces pièces réclamées par Louvois, ou bien, en cas de défaut et de manque, y avait-on suppléé, comme il l’avait désiré ?

228. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1859 » pp. 265-300

Notre pièce, annoncée par les journaux comme reçue, est au panier. […] La porte de cette pièce, qui était mansardée, a tout au plus la hauteur d’un homme un peu grand. […] La pièce commence, une pièce comme toutes celles que les rhétoriciens serrent dans leur commode. […] » Mais la pièce n’est pas sur le théâtre, elle est dans la salle. […] » La pièce est finie.

229. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Le maréchal de Villars — V » pp. 123-131

La maréchale de Villars, qui y assistait, demanda quel était ce jeune homme qui voulait faire tomber la pièce ; on lui dit que c’était l’auteur : elle le voulut connaître ; il lui fut présenté, et il l’aima bientôt d’une passion vive et sérieuse. […] Voltaire lui avait adressé une pièce de vers pour s’excuser de ne pouvoir aller à Villars au printemps de 1722 ; sa mauvaise santé l’avait engagé à se mettre dans les remèdes, entre les mains d’un empirique appelé Vinache : Je me flattais de l’espérance D’aller goûter quelque repos Dans votre maison de plaisance ; Mais Vinache a ma confiance, Et j’ai donné la préférence Sur le plus grand de nos héros Au plus grand charlatan de France. […] Mes nièces, au lieu de prière, Et mon janséniste de frère, Riraient à mon enterrement… C’est à cette pièce que Villars répond d’abord dans sa lettre, que je donnerai en entier. […] C’était un jeune homme qui, dès l’âge de dix-huit ans, se trouva le plus grand poète de son temps, distingué par son poème de Henri IV, qu’il avait composé dans ses premiers voyages à la Bastille, et par plusieurs pièces de théâtre fort applaudies. […] Bien que Villars semblât suffisamment connu, j’ai pensé qu’il y avait lieu de se servir, en sa faveur, des pièces positives et authentiques imprimées depuis quelques années, pour rétablir et maintenir les grandes lignes de son mérite réel, dans lequel laissaient comme une brèche ouverte les jugements de Saint-Simon et de Fénelon20.

230. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Histoire de la querelle des anciens et des modernes par M. Hippolyte Rigault — I » pp. 143-149

Dans son jugement de Rhadamiste, qui parut en brochure, le critique, après avoir reconnu qu’il y a dans la pièce des traits hardis, heureux, et des situations intéressantes, se met à la suivre scène par scène et à démontrer les invraisemblancesk, les incohérences du sujet, l’action peu liée, les caractères peu soutenus ; il n’en laisse à peu près rien subsister : Enfin, dit-il, je n’ai pas d’idée d’avoir jamais lu une tragédie plus embarrassée, plus fausse, et moins intelligible ; j’ai l’avantage de pouvoir dire ici tout ce que je pense, sans crainte de faire tort à l’auteurl ; car, ou je m’égare dans le jugement que j’expose, et en ce cas le public le vengera de moi, ou le public déférera à mes remarques, et en ce cas même il en rejaillira beaucoup de gloire à M. de Crébillon : on estimera à la vérité un peu moins sa pièce, mais il paraîtra d’autant plus grand, qu’il aura mieux trouvé l’art de fasciner les esprits, en leur cachant les défauts de sa tragédie à force de splendeur et de magnificence. […] Il y convenait de tous les défauts qu’on trouvait à sa pièce. […] Celui-ci lui ayant lu sa pièce du Lot supposé avant la représentation, il l’avait approuvée, et il se croyait comptable devant l’auteur et devant tous de son premier jugement : Il me semble, disait-il, que lorsqu’un ouvrage livré à notre censure nous a semblé bon, nous devons à l’auteur l’hommage public du jugement avantageux que nous en avons porté… Quand il me serait arrivé de trouver bon un ouvrage que le public aurait ensuite jugé mauvais, il n’y aurait pas grand mal à cela, et j’ose assurer que je serais en ce cas moins mécontent de moi, que si, dissimulant lâchement mon estime, je m’étais épargné cette espèce d’humiliation. […] [NdA] J’ai cherché si La Motte n’avait nulle part fait mention de l’ami si dévoué qui s’était donné à lui ; j’ai rencontré au tome iv (page 196) des pièces intéressantes et peu connues, publiées par de La Place, six vers impromptu de La Motte sur lui, mais qui ne méritent pas d’être rapportés.

231. (1888) Impressions de théâtre. Première série

Relisez la pièce espagnole, elle est fort belle. […] Et la morale de la pièce ? […] La pièce m’avait fort amusé ; mais, qui sait ? […] Et le titre modeste de la pièce de M.  […] Mais, telle qu’elle est, la pièce de M. 

232. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Les Chants modernes, par M. Maxime du Camp. Paris, Michel Lévy, in-8°, avec cette épigraphe. « Ni regret du passé, ni peur de l’avenir. » » pp. 3-19

J’ai souvent admiré, pendant la lecture des pièces de poésie, avec quelle attention, avec quel désir de trouver le bien, sans acception de genre ni d’école, on écoutait jusqu’au bout des choses qui, à nous autres critiques de profession, eussent paru dès l’abord impossibles à admettre et dignes d’un prompt rejet. […] La plus remarquable pièce du recueil est incontestablement la pièce intitulée « Malédiction », et dont le dernier cri est : « Qu’il soit maudit ! […] Dans ses vers à Aimée sa vieille servante, dans la pièce sur La Maison démolie, M. du Camp exprime avec cœur des sentiments affectueux ; il y porte toutefois la marque de l’imitation. […] Mais les pièces où l’auteur me semble avoir le mieux réussi, ce sont celles de voyage ; l’une, par exemple, qui a pour titre « En route !  […] Ce n’est là qu’un commencement d’une pièce fort longue et qui a pour sujet la métempsycose.

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