La tristesse fait maintenant partie de la langue ; c’est un don de la mort trouvé sur tant de tombeaux.
Dans cette partie du livre de Villemain qui concerne la poésie lyrique, tout autant que dans celle qui regarde Pindare, Villemain est l’homme de toute sa vie, de son organisation, et, il faut bien le dire, de quarante ans de succès, car Villemain a trempé dans le succès.
Ferrari souffre dans ses meilleures parties de cette philosophie de l’histoire qui le timbre si profondément d’inconséquence, quand ce n’est pas d’absurdité, mais en écartant même cette question de fatalité qui offusque tout de son ombre, comme dit Bossuet en parlant de la mort, les Révolutions d’Italie, cette Babel de faits entassés les uns sur les autres, n’ont ni solidité ni consistance.
Zola a donné à la plus grande partie de son histoire.
Diderot ne faisait point partie de ce ridicule candélabre à trois becs. […] L’abaissement continu et les vices du théâtre, en ce moment du xixe siècle où il n’y a plus d’esprit assez résolu et assez mâle pour aborder franchement la grande comédie et où tout tourne au drame romanesque et bourgeois, sont en partie dus à Diderot.
Je suis obligé de commencer par la partie la plus grave de mon sujet. […] Je vais plus loin : Romanciers appelés naturalistes et qui n’êtes en réalité que des romantiques effrénés, — il ne faut pas croire, parce qu’elle traîne dans le ruisseau, que la frange du manteau de Don César de Bazan ne fasse plus partie de ce manteau ! […] Mais nous, qui connaissons ses drames, ses romans encore inédits, nous croyons fermement que l’heure n’est pas lointaine où il affirmera incontestablement et dans sa plénitude les hautes facultés dont il n’a montré encore qu’une partie. […] Plusieurs de ceux qui devaient compter parmi les meilleurs d’entre nous ne faisaient pas encore partie de notre fraternel cénacle.
David (2e partie) À la fin du dernier Entretien sur la poésie sacrée nous comparions David à Pindare.
Vie du Tasse (1re partie) I De tous les hommes qui ont illustré leur nom dans les œuvres de l’esprit, le Tasse est peut-être celui dont la vie et l’œuvre se confondent le mieux dans une conformité plus complète.
Je me sentis inspirée de tomber à genoux devant elle et de lui jouer un air de montagne, afin de l’attendrir sur mon sort, mais surtout sur celui d’Hyeronimo ; je me dis : Personne ne me voit ni ne m’entend qu’elle, personne ne me donnera un pauvre baïoque ou un pauvre carlin (autre pièce de monnaie populaire dans cette partie de l’Italie) ; ce n’est donc pas pour le monde, c’est bien pour elle toute seule que je vais jouer, elle m’en saura plus gré que si c’était par vanité ou par intérêt ; elle ne pourra pas dire que c’est pour le monde.
Je continuai à en jouer tous les soirs et une partie des nuits, pour reporter, par les sons, la pensée d’Hyeronimo en haut, vers moi et vers nos beaux jours dans la montagne.
On y voyait encore des tambours, des sonneurs de clairons, et d’autres figures innombrables, leurs habits empaquetés sous le bras, qui couraient tout nus vers la mêlée, et des attitudes pittoresques s’y prêtaient à tous les jeux du pinceau, les uns debout, les autres agenouillés, ceux-ci pliés en deux, ceux-là se relevant de terre, tous formant des groupes admirablement combinés pour faire éclater la supériorité de l’artiste dans cette partie de l’art.
Un des plus grands monuments de son éloquence, c’est le discours par lequel il refusait d’admettre dans le corps électoral les avocats, les médecins, les capacités, comme on disait, qui n’avaient pas le cens obligatoire, c’est-à-dire cette partie même de la bourgeoisie qui n’avait que les lumières, le travail, sans l’argent.
Dans ce dernier genre, il y a bien force lourdauds incapables du plus petit effort intellectuel et qui d’ailleurs ne goûtent au théâtre que la partie vulgaire, niaise ou grivoise.
Il devait résulter de là que la religion, étant isolée, interceptée du cœur de l’humanité, ne recevant plus rien de la grande circulation, comme un membre lié, se desséchât et devînt un appendice d’importance secondaire, qu’au contraire la vie profane où l’on plaçait tous les sentiments vivants et actuels, toutes les découvertes, toutes les idées nouvelles, devînt la maîtresse partie.
» On passe au vote ; et tandis que les cailloux blancs ou noirs roulent dans l’urne de bronze, les deux parties interpellent violemment leurs juges.
Le vieux Sicilien, qui a entendu chanter à sa porte et qui se doute que cela ne se fait pas pour rien, sort de chez lui pour découvrir quels gens ce peuvent être ; alors notre homme apprend une partie de cette intrigue ; on en veut à sa maîtresse ; on charge de malédictions ce traître de Sicilien, ce fâcheux, ce bourreau. […] À Dieu ne plaise que je chagrine ces gloires naissantes, que je prenne à partie ces Agamemnons et ces Frontins de hasard ! […] La Néotemachie poétique du Blanc. — Paris, 1610. — 2 parties en 4 vol. in 4º.
L’Écosse, une fois protestante, comme l’était, depuis Henri VIII, l’Angleterre, un des grands obstacles à l’absorption de l’Écosse par l’Angleterre disparaissait avec la différence de religion ; le catholicisme était une partie du patriotisme écossais ; l’y tuer dans les esprits, c’était tuer la patrie dans le cœur du peuple.
Vous ordonnerez, s’il vous plaist, que, pour mon âme, je soys payée de partie de ce que me debvez, et qu’en l’honneur de Jésus-Christ, lequel je prieray demain, à ma mort, pour vous, me soyt laissé de quoy fonder un obit et faire les aumosnes requises.
La sixième partie du Miroir des lettres est consacrée à la critique.
Cette saisie nous dispensa de la seconde partie de notre tâche, inutile d’ailleurs maintenant.
On compte pour rien la désolation de l’impôt même dans une multitude d’hommes de tous les états si prodigieuse, la combustion des familles par ces cruelles manifestations et par cette lampe portée sur leurs parties les plus honteuses.