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691. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre second. De la sagesse poétique — Chapitre III. De la logique poétique » pp. 125-167

De la logique poétique § I La métaphysique, ainsi nommée lorsqu’elle contemple les choses dans tous les genres de l’être, devient logique lorsqu’elle les considère dans tous les genres d’expressions par lesquelles on les désigne ; de même la poésie a été considérée par nous comme une métaphysique poétique, dans laquelle les poètes théologiens prirent la plupart des choses matérielles pour des êtres divins ; la même poésie, occupée maintenant d’exprimer l’idée de ces divinités, sera considérée comme une logique poétique. […] En effet, la métonymie du nom de l’auteur pris pour celui de l’ouvrage, vint de ce que l’auteur était plus souvent nommé que l’ouvrage ; celle du sujet pris pour sa forme et ses accidents vint de l’incapacité d’abstraire du sujet les accidents et la forme. […] Par toutes ces raisons, il reste démontré que les tropes, qui se réduisent tous aux quatre espèces que nous avons nommées, ne sont point, comme on l’avait cru jusqu’ici, l’ingénieuse invention des écrivains, mais des formes nécessaires dont toutes les nations se sont servies dans leur âge poétique pour exprimer leurs pensées, et que ces expressions, à leur origine, ont été employées dans leur sens propre et naturel.

692. (1880) Une maladie morale : le mal du siècle pp. 7-419

C’était le fils d’un théologien nommé Jérusalem. […] J’ai nommé tout à l’heure Lucile. […] J’ai nommé lord Byron. […] sortir de la Russie, nous rencontrons encore un poète, qu’on a nommé le Byron polonais. […] Ce roman — il ne le nomme pas — est un bien plus mauvais livre que beaucoup d’autres.

693. (1867) Nouveaux lundis. Tome IX « Madame de Verdelin  »

— Depuis lors, soit que l’élément féminin ou femmelin (comme l’a nommé un censeur austère) ait augmenté et redoublé chez les auteurs, soit que les femmes, de plus en plus appelées à l’initiation littéraire, aient répondu de plus en plus vivement, chaque écrivain célèbre a eu son cortège nombreux de femmes ; et si l’on retranche même ce qui est de la mode, de l’engouement, ce qui ne signifie rien en soi, puisque telle femme qui se jetait à la tête de lord Byron, de Chateaubriand ou de Lamartine, à leur moment, se serait jetée en d’autres temps à la tête d’un autre, il reste bien des physionomies particulières, distinctes, bien des figures non méconnaissables, dont l’entourage et l’accompagnement aideraient à définir le génie propre de l’écrivain et du poète ; car on aime si bien un auteur et on ne le préfère si décidément à tous, que parce qu’on s’apparente par quelque côté avec lui. […] Oui, celle qui ne vous a jamais vu, qui n’a fait que vous lire, qui, sur un mot sorti un jour de votre âme, se met à croire en vous, à s’y attacher, à vous suivre dans toutes vos vicissitudes ; qui se hasarde, après des années, à vous le dire en tremblant, sans se nommer ; qui est prête, parce que vous l’avez consolée une fois, à accourir si vous souffrez, si vous êtes dans le malheur, si seulement l’ennui vous prend et le dégoût du monde, de ses flatteries ou de ses amertumes ; qui vous dit : « Le jour où vous en aurez assez des plaisirs, où vous sentirez que les bons instants sont devenus bien rares et que le dévouement d’une femme ou d’une fille vous fait défaut, ce jour-là, souvenez-vous de moi, appelez-moi, faites un signe, et je viendrai » ; celle-là, dût-on ne jamais user de ce sacrifice charmant, donne au poète, fût-il de l’âme la plus altière et un mépriseur d’hommes comme Byron, le plus flatteur des diplômes et des certificats de poésie, la plus chère conscience de lui-même et sa plus belle couronne. […] « Je crois vous avoir écrit, monsieur, que je désirais perdre avec vous le titre de connaissance ; vous m’avez fait l’honneur de me dire que vous vouliez des années pour éprouver vos amis : il y en a si peu que j’ai celui d’être connue de vous, et je suis si peu habituée à obtenir les choses que je désire, que je n’ai pas osé me nommer autrement que votre connaissance. […] L’attirail de la savanterie (comme elle la nommait) l’effrayait autant que celui de la galanterie.

694. (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « Livre deuxième. Les images — Chapitre premier. Nature et réducteurs de l’image » pp. 75-128

On a numéroté les pions et les cases ; à chaque coup de l’adversaire, on leur nomme la pièce déplacée et la nouvelle case qu’elle occupe ; ils commandent eux-mêmes le mouvement de leurs propres pièces, et continuent ainsi pendant plusieurs heures ; souvent ils gagnent, et contre de très habiles joueurs. […] Il m’est arrivé plusieurs fois de lui abaisser moi-même les paupières, et aussitôt elle me nommait une foule d’objets qui lui apparaissaient ». […] Baillarger rêva une nuit que telle personne était nommée directeur d’un certain journal ; le matin, il croyait la chose vraie et en parla à plusieurs personnes, qui apprirent la nouvelle avec intérêt ; toute la matinée, l’effet du rêve persista, aussi fort que celui d’une sensation véritable ; vers, trois heures seulement, comme il montait en voiture, l’illusion se dissipa ; il comprit qu’il avait rêvé ; ainsi le groupe réducteur n’avait repris son ascendant qu’au bout d’une demi-journée. — À cet égard, la minutie et l’intensité d’une image volontaire ont parfois la même puissance que le rêve. […] « Ces apparitions nocturnes que, le jour, je nommais de sottes illusions, le soir redevenaient pour moi d’effrayantes réalités. » 242.

695. (1859) Cours familier de littérature. VII « XLIIe entretien. Vie et œuvres du comte de Maistre » pp. 393-472

Vie et œuvres du comte de Maistre I Virgilium vidi tantum  ; ce qui veut dire ici : J’ai connu personnellement ce grand écrivain qu’on nomme le comte de Maistre ; je l’ai connu homme, et je l’ai vu passer prophète. […] Une des filles du modeste gentilhomme de Chambéry se nomme la duchesse de Montmorency en France. […] Le roi, évidemment importuné lui-même des imaginations trop grandioses du comte de Maistre, le nomma son ministre plénipotentiaire à Pétersbourg. […] Le contrat se signait dans une maison de plaisance nommée Caramagne, à quelque distance de la ville, chez la marquise de la Pierre, centre de la société aristocratique de Savoie.

696. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCVIe entretien. Alfieri. Sa vie et ses œuvres (1re partie) » pp. 413-491

Il avait deux fils, Charles-Édouard d’abord, dont il est ici question, et le duc d’York, nommé, à vingt ans, cardinal. […] Puisqu’on ne pouvait faire de Charles-Édouard un chef d’expédition capable de tenir l’Angleterre en échec, on voulait du moins qu’il laissât des héritiers, que la famille des Stuarts ne s’éteignît pas, que le parti jacobite fût toujours soutenu par l’espérance, et que ces divisions de la Grande-Bretagne pussent servir à point nommé les intérêts de la France. […] En 1772, il n’y avait plus à Rome de roi d’Angleterre reconnu par le Saint-Siège, il n’y avait plus de garde papale à la porte de son hôtel, plus de cortège militaire pour l’escorter par la ville ; le prétendu Charles III était simplement Charles Stuart, ou bien encore le comte d’Albany, comme il se nommait lui-même dans ses voyages. […] Une amie de la comtesse, Mme Orlandini, qui descendait de la famille jacobite du marquis d’Ormonde, était dans la confidence, ainsi que son cavalier servant, gentilhomme irlandais, nommé Gehegan.

697. (1864) Cours familier de littérature. XVIII « CVIe entretien. Balzac et ses œuvres (1re partie) » pp. 273-352

Après dix ans de séjour, on parla de le nommer maire, mais il refusa cet honneur pour ne pas abandonner la direction du grand hôpital dont il s’était chargé. […] À la fin de 1814, le père de Balzac fut nommé directeur des vivres à Paris. […] — Un conseil d’État nommé par lui et une armée chez un peuple militaire. […] Je me trompe ; le gouvernement parlementaire de 1849 a nommé une fois deux chefs et deux armées : l’un de la rive gauche de la Seine sous le parlement, l’autre de la rive droite sous le président de la république.

698. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1857 » pp. 163-222

Il se nomme M.  […] La phrase du nommé Massillon : « Ses opinions n’avaient pas à rougir de sa conduite », est acquittée par Flaubert et Gautier, mais la phrase de Lamartine : « Il pratiquait l’équitation… ce piédestal des princes », est condamnée sans appel. […] Louis Napoléon le sut, et quand il fut nommé président, il faisait proposer, à Planche, sans conditions aucunes, la direction des Beaux-Arts. […] Je ne nomme pas l’auteur, parce que j’aime beaucoup son talent et sa personne, et que je crois maintenant ce double sentiment partagé par lui à mon égard.

699. (1891) Journal des Goncourt. Tome V (1872-1877) « Année 1872 » pp. 3-70

Trochu, qui était avec moi, demande à lui lire la proclamation qui le nomme gouverneur de Paris. Il commence : “L’Empereur m’a nommé gouverneur de Paris…” L’impératrice interrompt : “Non, non, ne mettez pas là, la personnalité de l’Empereur.” Le curieux, c’est que la proclamation avait été rédigée au crayon, à la lueur d’un bout de bougie, et qu’avec la maladresse qu’a Trochu à écrire, il avait débuté par : “Je suis nommé gouverneur de Paris” et que c’était moi qui avais substitué la phrase qu’il lisait à l’Impératrice. […] Il trouve en arrivant à Beauvais, où il avait été nommé substitut, une femme étranglée et noyée.

700. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Mézeray. — I. » pp. 195-212

Né en 1610 au village et à la ferme d’Houay près d’Argentan en Basse-Normandie, il se nommait Eudes de son nom, et appartenait à une famille et à une race originale. […] Mézeray était le second de trois fils ; son plus jeune frère, appelé d’Houay, de la ferme de ce nom, devint habile chirurgien et accoucheur à Argentan ; il y fut nommé échevin et y soutint en cette qualité la prérogative municipale.

701. (1867) Causeries du lundi. Tome VIII (3e éd.) « Le prince de Ligne. — II. (Fin.) » pp. 254-272

Après Lacy, plus complet et qui unissait l’éclair et le sang-froid, il n’estimait rien tant que Laudon, grand homme de guerre dès qu’on était dans l’action : « J’étais tout en feu moi-même par cet être qui tient plus du dieu à la guerre que de l’homme. » Après la prise de Belgrade, le prince de Ligne, qui s’était vu quelque temps dans une demi-disgrâce, obtient une distinction due au seul mérite : il est nommé commandeur de l’ordre militaire de Marie-Thérèse. […] C’est en y songeant le moins qu’il nous la peint le mieux, et qu’il nous fait voir d’un même trait sa bonté et sa grâce : Elle s’occupait si peu de sa toilette, dit-il en un endroit, qu’elle se laissa, pendant plusieurs années, coiffer on ne peut pas plus mal, par un nommé Larceneur qui l’était venu chercher à Vienne, pour ne pas lui faire de la peine.

702. (1869) Causeries du lundi. Tome IX (3e éd.) « Le marquis de Lassay, ou Un figurant du Grand Siècle. — I. » pp. 162-179

J’en voudrais donner aujourd’hui un exemple en m’occupant d’un personnage qui a été médiocrement remarqué jusqu’ici44, qui n’a été qu’un homme de société et très secondairement en scène, qu’on a rencontré un peu partout, nommé çà et là dans les mémoires du temps, et dont la figure assez effacée n’a guère laissé de souvenir qu’à ceux qui l’ont connu de plus près. […] Il juge en curieux et parle à ravir des autres parties de la villa, de la forme et de l’intérieur de l’appartement ; il conseille à la princesse romaine, maîtresse de ce beau lieu, et qu’il ne nomme pas, d’y faire des changements qui soient propres à l’embellir encore.

703. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Montluc — II » pp. 71-89

M. de Strozzi, depuis maréchal, fut chargé de la protéger ; mais comme il avait en même temps à tenir la campagne, il demanda qu’on nommât un lieutenant de roi pour y commander durant son absence. On essaya dans le conseil à Paris de bien des noms : le connétable de Montmorency en proposait un, le duc de Guise un autre, le maréchal de Saint-André avait aussi son protégé. « Vous ne m’avez point nommé Montluc », dit le roi

704. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Charron — II » pp. 254-269

Chanet se met donc à réfuter Charron et Montaigne (sans nommer ce dernier) sur les principes de leur scepticisme ; il se sert de ses connaissances en médecine et en histoire naturelle pour rabattre de ce qu’ils ont dit des animaux et pour maintenir l’homme à son rang légitime45. […] Ce témoignage moins connu que d’autres a cela de particulier qu’il porte précisément sur le charme de la manière de Montaigne, en ce qu’elle a de plus opposé à la méthode de Charron : « Dans mon innocente et fortunée solitude, écrivait Jean de Muller (1784-1785), je travaille dix ou onze heures par jour à mon livre (sa grande histoire helvétique) ; vient ensuite une heure donnée à la correspondance, le reste à la société ; ma société du matin, c’est Moïse ou Paul, celle du soir Cicéron, Métastase et Montaigne ; parfois, quand l’horizon se trouble, vient un certain ami bien cher qui ne me quitte guère, nommé Horace ; il me dit : « Deme supercilio nubem… » Et à son frère, dans une lettre du 4 décembre 1788 : « Je te conseille de composer souvent ; cela est indispensable à un esprit comme le tien ; écris tes pensées sur les choses, les livres, les hommes ; qu’il sorte de là une collection à la Montaigne.

705. (1870) Causeries du lundi. Tome XI (3e éd.) « Préface pour les Maximes de La Rochefoucauld, (Édition elzévirienne de P. Jannet) 1853. » pp. 404-421

Tant que l’homme n’a pas, de son propre mouvement, dépouillé et disséqué sa fibre secrète à laquelle il obéit sans le savoir, ne la lui démontrez pas, ne la lui nommez pas : car il y a dans cette ignorance même une autre fibre plus délicate, si je puis dire, un nerf plus sensible, qui est précieux à ménager et qu’on ne coupe pas impunément. […] [NdA] Je puis maintenant le nommer : c’était Alexandre de Humboldt.

706. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Œuvres de Voiture. Lettres et poésies, nouvelle édition revue, augmentée et annotée par M. Ubicini. 2 vol. in-18 (Paris, Charpentier). » pp. 192-209

Au tome VIe du Grand Cyrus, Mlle de Scudéry parlant des amants qui se sont attachés à une certaine princesse Parthénie (qui n’est autre que Mme de Sablé), après en avoir décrit deux qui étaient de qualité, ajoute : Le troisième était un homme d’assez basse naissance, nommé Callicrate, qui par son esprit en était venu au point qu’il allait du pair avec tout ce qu’il y avait de grand à Paphos, et parmi les hommes et parmi les dames. […] En effet, il avait une délicatesse dans l’esprit qui pouvait quelquefois plutôt se nommer caprice que délicatesse, tant elle était excessive.

707. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Le duc de Rohan — III » pp. 337-355

Il fut nommé général des troupes de la république, avec pension et toutes sortes d’honneurs. […] Richelieu reproche à Rohan d’avoir aidé au mécontentement des Grisons par son mauvais gouvernement et par des concussions, par des profits illicites dont il va jusqu’à nommer les intermédiaires et les porteurs ; et, flétrissant dans les termes les plus durs la capitulation finale en date du 26 mars 1637, qui fut consommée le 5 mai, et par laquelle, cédant aux Grisons révoltés, le duc leur remit la Valteline contrairement aux ordres du roi, Richelieu l’accuse d’avoir été pris d’une terreur panique : Il est certain, dit le cardinal, qu’il avait jusques alors porté à un haut point glorieusement les affaires du roi en la Valteline ; mais sa dernière action, non seulement ruina en un instant tout ce qu’il avait fait de bien les années précédentes, mais apportait plus de déshonneur aux armes de Sa Majesté que tout le passé ne leur avait causé de gloire.

708. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Madame Bovary par M. Gustave Flaubert. » pp. 346-363

Charles, toujours aveugle et toujours dévoué, essaye de tout pour la guérir et n’imagine rien de mieux que de lui faire changer d’air, et pour cela de quitter Tostes et la clientèle qui commençait à lui venir, pour aller se fixer dans un autre coin de la Normandie, dans l’arrondissement de Neufchâtel, en un fort bourg nommé Yonville-l’Abbaye. […] [NdA] Je puis la nommer aujourd’hui qu’elle n’est plus, — Mme Marsaudon, qui résidait à Mézières, dans la Haute-Vienne.

709. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Correspondance de Lammenais » pp. 22-43

Il est d’un naturel, en effet, d’un sincère, d’une intrépidité sans égale, d’une imprudence à faire peur ; il justifie ce mot de l’abbé Frayssinous sur lui (seule réponse à tant d’injures) : « Cet homme d’une candeur effrayante… » Il justifie cet autre mot de son frère, l’abbé Jean, qui le nomme de son vrai nom : « Dieu l’a fait soldat !  […] J’allai immédiatement chez l’éditeur Eugène Renduel, qui consentit au premier mot, en regrettant seulement que l’auteur ne voulût point se nommer.

710. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Les Caractères de La Bruyère. Par M. Adrien Destailleur. »

On raconte que La Bruyère, encore inconnu, venait presque journellement s’asseoir dans la boutique d’un libraire de la rue Saint-Jacques, nommé Michallet, pour y feuilleter les nouveautés. […] La petite Michallet, ainsi dotée, épousa un homme de finance nommé Jully qui devint fermier général et qui sut rester honnête homme : il eut de sa femme, le jour du mariage, plus de cent mille livres argent comptant.

711. (1864) Nouveaux lundis. Tome II « Une monarchie en décadence, déboires de la cour d’Espagne sous le règne de Charles II, Par le marquis de Villars »

C’est sur ces entrefaites que le marquis de Villars, nommé ambassadeur de France, fit son entrée publique à Madrid, le 9 août 1679. […]  » Dans le courant de cette année 1680, il se fait une petite révolution de palais ; la duchesse de Terranova est destituée ; on nomme une autre camarera-mayor, la duchesse d’Albuquerque, et le régime intérieur en est modifié : « L’air du palais est déjà tout autre, et le roi aussi.

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