Le lendemain de la victoire, une femme de la haute société et de beaucoup d’esprit disait à M. de Molènes : « C’est fort heureux, monsieur, que vos petits monstres n’aient pas tourné. » Cela tint à peu de chose, en effet. […] On l’envoya rédiger des journaux en province, à Rouen, à Périgueux ; il s’y fit la main, il s’y forma l’esprit, il y connut les hommes, et conçut d’emblée fort peu d’estime pour l’espèce en général, sauf un petit nombre d’exceptions. […] Il éprouva tout d’abord pour ce guerrier, alors très-impopulaire, un sentiment qu’il ne prodiguait pas, lerespect ; et, dans la suite, engagé au plus fort des luttes, on l’a entendu dire : « Il y a deux hommes dont je ne dirai jamais de mal, le maréchal Bugeaud et M. […] C’est ici que ma querelle sérieuse avec lui commence, et qu’avant de louer l’écrivain, l’excellent prosateur, et d’admirer le peintre vigoureux de la réalité, j’ai besoin absolument de m’expliquer sur le fond des choses, de marquer mes réserves ; car tout ce qui n’est pas croyant et convaincu à sa manière, gallicans, protestants, à plus forte raison déistes, naturistes ou panthéistes, comme on dit, tout y passe ; il les raille, il les crible d’épigrammes flétrissantes (car il a la touche flétrissante) ; il les traite même, en ses heures d’indignation, comme des espèces de malfaiteurs publics. […] Il s’y montre fort réconcilié avec l’état militaire, qu’il avait moins honoré avant de levoir à l’œuvre et en action.
La Cour de Sceaux, même en son meilleur temps, fut toujours un peu arriérée sans doute, cantonnée dans son vallon, fermée aux lumières et au souffle du dehors, obstinément cartésienne par M. de Malezieu ; mais ce Malezieu était un homme de savoir, nourri de premières études très fortes, qui lisait Sophocle dans le texte, et chaque jour il passait là, dans ce cercle de la princesse, des personnes du premier ordre par l’esprit : Voltaire, Mme du Châtelet, Mme du Defland ; Mlle de Launay, ce témoin exquis qui fait loi devant la postérité, y était en permanence. […] Il avait été chargé, l’année, précédente, du siège de Mahon, entrepris fort à la légère, et il y avait réussi par un de ces coups de main où excelle la valeur française. Rochambeau, qui servait sous lui, a rapporté fort exactement ce premier exploit avec tous ses risques, et il a cité un propos chevaleresque du maréchal : « Il n’y a personne dans l’armée qui ne pense comme moi qu’il vaut mieux se faire moine au haut du Monte del Toro que de rentrer en France sans avoir pris Mahon. » Le succès répondit à l’audace. […] Je ne saurais rendre, même après une étude fort légère, tout ce qu’inspire le spectacle d’une telle impéritie, d’une telle insouciance. […] Il n’a pas été général, quoique ayant assez bien fait la guerre au début. — Il n’a pas été bon académicien, quoique ayant consenti à se faire nommer, et il n’a pas eu le courage du discours de réception. — En trempant aussi avant que personne dans les mœurs et dans les licences du jour, il n’a pas su soutenir la gageure ni être jusqu’au bout un hardi viveur comme Maurice de Saxe, ou un libertin de bel air comme Richelieu. — Mélange peu relevé d’homme d’Église, d’homme de guerre, d’homme de plaisir et finalement de dévot ; au demeurant, fort bonhomme, mais un Condé dégénéré.
À plus forte raison s’il s’agit d’un journaliste. […] Naturellement ils en sont plus choqués que moi, qui ne la considère que comme un problème moral fort intéressant. […] On doit être fort tenté de croire aux idées qui vous donnent le plus d’esprit. […] V Quelqu’un me dit : « Quand ce serait une comédie (et ce n’en est pas une), ce pourrait être une comédie fort excusable, pour des raisons qui nous échappent. […] Et ces plaisirs doivent être d’une espèce assez rare et délicate pour qu’il soit fort éloigné d’y renoncer jamais.
Sans doute il peut arriver que les qualités développées par cette éducation coïncident avec une personnalité vigoureuse, une volonté forte, une intelligence pénétrante, une sensibilité vive et originale ; mais c’est par un accident heureux que cette rencontre a lieu. […] Nous allons voir, en l’étudiant brièvement, que l’antinomie entre la discipline éducative et la diversité individuelle, exacte en principe, est fort atténuée en fait par le peu d’influence de l’éducation sur le développement futur de l’individu. […] L’enfant apporte des dispositions innées que l’école ne peut modifier que dans une mesure fort limitée. […] L’idée abstraite a fort peu d’influence sur la conduite. […] L’Église à laquelle l’école d’aujourd’hui se substitue et dont on apprend par cœur le catéchisme avant d’être admis à la communion ne procède pas autrement pour retenir ses fidèles ; les liens sont de nature fort voisine ici et là. » « L’école nous demande non de nous enquérir de ce que sont les idées, mais de les acquérir ainsi. » Voilà un enseignement qui ne fait guère de place à la spontanéité de l’élève et dont l’idéal semble bien être de faire de lui une machine à répétition.
Mais, pour être littéraire} il faut qu’une œuvre, quelle qu’elle soit, provoque ce genre de plaisir particulier qu’on a nommé le plaisir esthétique ; il faut qu’elle éveille, de façon forte ou légère, un sentiment qui a mille formes et mille degrés, le sentiment du beau. […] Sont-ils tempérés ou violents, forts ou faibles, éphémères ou durables ? […] Prenez les nouvelles et les romans de Mérimée : ce ne sont au contraire le plus souvent qu’émotions fortes, violentes, éclatant en actes brusques, imprévus et sanglants. […] La Fontaine trahit une certaine antipathie pour l’enfance, « cet âge sans pitié », en même temps qu’une sympathie profonde et fort rare de son temps pour les bêtes. […] Nous savons à n’en pas douter, par ces conflits violents de devoirs et de passions autant que par ses aveux formels, qu’il a prétendu frapper fort, faire couler des flots de larmes, tendre les nerfs jusqu’au paroxysme.
Mais après les heures publiques les préfets sont en usage de donner encore des leçons particulières pour une rétribution qui n’est pas forte ; et cet usage est bon à conserver, parce qu’il ménage au préfet le moyen d’améliorer son sort par son travail, et qu’il est juste que les enfants qui jouissent d’un peu de fortune en usent pour rendre leur instruction plus complète. […] Il en est d’autres encore qu’on appelle stipendia ; car, en tout, on a cherché à décorer l’éducation publique et littéraire de termes militaires : ce sont des pensions plus ou moins fortes qu’on paye aux étudiants pendant les années de l’université, afin de les aider à subvenir aux frais de leur séjour et de leurs études. […] En Allemagne l’étude du droit de la nature et des gens est fort cultivée. […] Elles ont ordinairement une juridiction fort étendue sur leurs citoyens. […] Insensiblement la masse des connaissances devient trop forte pour l’étendue de l’esprit humain ; la confusion et la barbarie ont leur tour.
Ce fut une Théroigne épargnée… Et de l’être dut certainement redoubler par un dépit humilié, le courroux et le ressentiment de ce violent bas-bleu contre le sexe fort, qu’elle repoussait et détestait en masse, mais qu’elle admettait très bien et qu’elle ne haïssait pas en détail… Le sexe fort de ce temps-là se contentait de rire de ses airs terribles de Méduse, trouvant drôle cette union, pittoresquement claudicante, d’une Gorgone et d’une madame Trissotin ! […] Le tempérament de Mirabeau devait faire rêver cet autre tempérament… Le début, dans la prose de Mme Louise Colet, fut une Étude sur la jeunesse de Mirabeau ; mais le Mirabeau de cette étude, fort peu savante, n’est pas le Mirabeau historique ; c’est le Mirabeau romanesque, et ce livre n’est guère qu’un roman. […] Elle avait le catarrhe de Facino Cane, dont sa poésie rappelait la clarinette ; mais sa vanité de bas-bleu rouge était plus forte que tous les rhumes, et elle se mit à promener majestueusement le sien, de Turin à Florence et de Rome à Naples et à Palerme, — poétique Ducantal de la liberté ! […] Il n’y a dans son livre que les opinions du parti auquel elle appartient probablement depuis le berceau… À cela près d’un fort petit nombre d’esprits, chez qui la réflexion domine et pousse à la recherche de la vérité, on n’a guère communément que les opinions de sa naissance ou de son milieu.
Rien de pareil, sous la forte institution des premiers Romains, sous cette institution sévèrement gardée par la pauvreté, le travail et la guerre. […] C’est ainsi que ce mont Albain, où, selon la plaisanterie d’Horace159, les Muses avaient dicté de vieilles prédictions dont il trouvait le style fort barbare, voyait chaque année le retour de fêtes religieuses favorables du moins à l’inspiration poétique. […] C’était, à part la pompe si réduite du chœur, l’emploi de certains monologues, ou passages d’un rhythme plus fort et plus varié, qui par moment dominaient la scène : on les nommait Cantiques 163. […] Ainsi, cette rude poésie des vieux âges de Rome, quoique imitée en partie de la Grèce, était une voix vivante qui parlait aux âmes romaines, voix trop forte pour être soufferte, quand viendrait l’empire. […] Cette liberté diminua fort sous Auguste, et on peut croire qu’il n’en resta rien sous Tibère.
Godefroy, président de la Chambre des comptes de Lille, qui paraît très bien instruit, et qui dit des vérités fort nues et même un peu cyniques. […] À toutes les attaques, en partie justes et fondées, dirigées contre votre tour d’esprit et votre manière, écrivains de tous les temps, à quelque genre que vous apparteniez, vous n’avez qu’une réponse à faire : renouvelez de mérite, fortifiez-vous dans la partie déjà forte de votre talent. […] Et puis, le corps des avocats dont il faisait partie, et qui était « fort glorieux », se souciait peu alors que ses membres fissent des visites de sollicitation, quand même elles ne devaient pas aboutir à un refus. […] Marais se tient fort au courant de cette candidature et de toutes les vicissitudes qu’elle eut à subir : « M. de Montesquieu n’est pas encore nommé. […] À la séance de réception dans laquelle Montesquieu s’était résigné à fort louer Louis XIV, le directeur M.
L’émancipation du pays de Vaud et sa nationalité constituée ont assuré aux générations actuelles des études plus fortes et plus d’élan. […] A l’enterrement d’un professeur fort aimé, on vit s’avancer au bord de la tombe un jeune homme (c’était M. […] Il en faudrait dire autant, à plus forte raison, de plusieurs brochures de lui sur le même sujet, et dont une polémique de charité et de justice animait l’accent13. […] La thèse qu’il soutient, et qui serait fort à défendre à Paris même (qu’il importe d’étudier les classiques français pas à pas et dans un esprit scientifique), est surtout d’application rigoureuse aux lieux où il écrit. […] Nisard a également traité dans un fort bon morceau, où pourtant il s’est attaché plutôt à quelques principales figures, et où il s’est donné plus de carrière.
Ferdinand Fabre a déjà écrit une vingtaine de volumes, presque tous fort compacts. […] Par là-dessus il existe contre le clergé un préjugé très fort et extrêmement répandu. […] Le prêtre doit à Dieu plus qu’un autre homme et se sent plus qu’un autre sous la main de Dieu ; mais en même temps il est ministre de l’Éternel ; il est élevé par l’onction sacerdotale fort au-dessus des laïques, même au-dessus des grands de l’esprit et des puissants. […] … Moi, pécheur (tu le sais, je péchai souvent en ta présence, Malum coram te feci, comme dit le roi David)… » Le sentiment d’une vie surnaturelle, se mêlant intimement aux passions humaines, produit ainsi chez les prêtres des états d’esprit fort singuliers. […] Un honnête homme selon le monde est déjà fort éloigné d’être un vrai catholique.
A cause de cela, plusieurs m’ont traité de pygmée, ce qui est fort juste mais aussi de cuistre, de zoïle et même de batracien, ce qui est bien sévère. […] Ils sont fort beaux. […] Or, si l’on jouait au même jeu avec Lamartine et Musset (que j’ai beaucoup moins lus, les aimant depuis moins longtemps), je me ferais fort de gagner presque à tout coup. […] Ce qu’il y a de sûr, c’est que Hugo ne pouvait être l’incomparable ouvrier de style qu’il a été, sans être par là même un fort grand poète. […] Chose singulière, les jeunes poètes se détournent de cet Espagnol retentissant, de celle espèce de Lucain énorme, et le respectent fort, mais l’aiment peu.
Aussi convient-il à toute époque d’étudier avec soin la vie familiale, de savoir si elle est forte ou faible, sévère ou relâchée, de noter les différences et les ressemblances qu’elle présente d’une classe, d’une région et presque d’une ville à une autre. […] Elle est restée gardienne d’une place forte ; Guillaume blessé, vaincu, mis en fuite par les Sarrasins et déguisé lui-même en Sarrasin pour mieux leur échapper, se présente aux portes de la ville. […] Le marquis d’Argenson, un fort honnête homme, l’appelle « un droit furieux ». […] Polyeucte, le futur martyr, s’écrie : Sur mes pareils, Néarque, un bel œil est bien fort. […] Il est clair qu’en ces moments-là poètes et poètereaux, romanciers et conteurs, littérateurs de tout genre écrivent surtout en vue du soi-disant sexe faible qui a su adoucir et amollir à son image le prétendu sexe fort.
À part cette idée de gouvernement fort, dont il abuse et qu’il pervertit au gré de ses sophismes et de sa passion ; toute la doctrine politique de Saint-Just n’est qu’un délire. […] Il a gardé de son premier métier de poète la faculté des images : seulement les siennes sont sobres, d’une nature sombre et forte ; on dirait qu’il les a trempées dans le Styx : « Pour vous, s’écrira-t-il, détruisez le parti rebelle, bronzez la liberté ! […] Un grand coup que vous frappez retentit sur le trône et sur le cœur de tous les rois ; les lois et les mesures de détail sont les piqûres que l’aveuglement endurci ne sent pas… On trompe les peuples de l’Europe sur ce qui se passe chez nous ; on travestit vos discussions, mais on ne travestit point les lois fortes : elles pénètrent tout à coup les pays étrangers comme l’éclair inextinguible. […] Biot, à dix-huit ans, soldat et canonnier, revenait de la bataille de Hondschoote : fort malade, ayant un commencement de plique, il ne pouvait se traîner. […] Je ne puis que renvoyer les curieux à l’Histoire fort étudiée et, ce semble, fort consciencieuse, de M.
Mais dans tous les cas envisagés par Flaubert, cette convergence ne se produit jamais, et il arrive toujours qu’à quelque moment l’impulsion venue du dehors, et qui se trouve la plus forte, agit dans un sens différent de celui que commandait l’impulsion héréditaire. […] Ils ont exactement les sentiments et les opinions qu’exigent leur profession, leur fortune et leur monde, et il semble bien que les uns et les autres seraient fort empêchés de penser, d’agir et d’être hommes s’ils n’étaient d’abord notaire, fonctionnaire, prêtre ou gentilhomme. […] La haine du réel est à, vrai dire si forte chez Bovary, qu’elle pourrait la contraindra à répudier son propre rêve, s’il venait, par impossible, à prendre lui-même la forme d’une réalité. […] Dénués de tout goût particulier assez fort pour courber dans un sens unique l’énergie de leur attention, pour, les absorber et les satisfaire par la perpétuité d’un plaisir toujours renaissant, ils cèdent à la fascination de l’idée qui dresse autour d’eux ses sommets et les sollicite avec une égale insistance sous toutes ses faces. […] Elle est l’effet de notre puissance et elle est plus forte que nous. » 4 Or cette croyance scientifique que nous avons créée comme la précédente, en est à cette période de jeunesse et de prospérité où une croyance est plus forte que celui qui la crée.
En nos jours de vocalises musicales et de poésie toute de sensations, le vieil alexandrin classique, fruste et fort de sens, étonne presque comme une audace et charme comme un souvenir. […] Il n’est pas un poète positiviste ; il appartient à une autre doctrine et avec une trop forte conviction pour se laisser accaparer.
» II n’y a pas de mot plus fort et il est parfaitement naturel. […] Il ne l’a pas poussé très loin ni très fort ; mais il l’a connu. […] Ce pourrait être d’un fort honnête homme ; mais ce peut être aussi d’un scélérat. […] C’est elle qui sera ridicule de s’attaquer à gens tellement plus forts qu’elle. […] Je répète qu’il y a doute et forte raison de douter.
Lysidas d’un autre progrès fort important. […] La structure de la tragédie est simple et forte : donc le nœud de la comédie doit être lâche ou embrouillé. […] Cette lacune dans sa théorie est fort remarquable ; elle suffit pour nous faire voir que sa détermination de l’idée du comique n’est point a priori. […] Tout cela est fort ingénieux ; mais tout cela repose sur deux assertions qui ne sont ni évidentes ni démontrées : 1º le comique est le contraire du tragique ; 2º le tragique est le conflit de deux puissances morales. […] Car, remarquez-le bien, elle ne se borne pas à dire : Cette comédie est fort belle ; je la trouve fort belle ; n’est-elle pas en effet la plus belle du monde ?
Ce sont les mots essentiels de la phrase qui sont accentués par les parties fortes du rythme, souvent par des notes longues ; les autres se contentent de ce qu’il nommait les petites notes ». […] Les deux autres accents tombent sur la syllabe appuyée des mots Minne et Liebe, qui tous les deux signifient Amour ; c’est chaque fois une noire et demie sur la partie la plus forte du rhythme. […] La sonorité d’abord faible, augmente, et à la y mesure les syncopes disparaissent, le rythme se carre dans un forte qui se répartit en deux chefs : un sur le premier temps ; un sur le troisième, où il est appelé par la division inégale et attractive du second temps. […] Le commencement, ressemblant à 42, évoque l’idée de sa grande et forte jeunesse. […] Il a été successivement augmenté et enrichi de plusieurs acquisitions fort intéressantes et précieuses, entre autres : le Ring des Niblungen, imprimé en 1853 à petit nombre d’exemplaires et seulement pour les amis de Wagner.
Au plus fort de sa première misère, il écrivait à sa sœur : « Ah ! […] La liberté fort grande du style contemporain et parisien ne lui suffisait pas. […] Vous devez surtout éviter les mauvais gestes et les cris trop forts. […] L’impression est maladive, mais si forte qu’on ne l’oublie plus. […] En même temps les révélations pleuvaient, et fort à propos, en toute circonstance et sur tout objet.
Il les avait fort noirs, les ongles. […] On touche encore à son temps, et très fort, même quand on le repousse. […] Sur ces entrefaites, comme il m’arriva d’écrire sur M. de Bonald un article fort respectueux d’ailleurs, mais qui parut à M. […] L’entrevue fut fort agréable, et l’on se promit de se revoir, ce qui était d’autant plus facile que M. […] L’entrevue fut fort agréable en effet, mais il n’est pas exact de dire que je sois venu lui offrir de mettre Le Globe à sa disposition.