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436. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article »

POULCRE, [François le] Gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi Charles IX, né vers l’an 1545, au Mont de Marsan, petite ville de Gascogne, au Diocese d’Aire, mort vers l’an 1589.

437. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Histoire du Consulat et de l’Empire, par M. Thiers, Tome xix. (L’île d’Elbe, — L’acte additionnel. — Le champ de mai.) » pp. 275-284

Le premier soin de Napoléon, en débarquant à cette île d’Elbe dont on l’a fait souverain, son premier coup d’œil se porte sur la ville jadis fortifiée de Portoferraio, qu’il s’applique à remettre en état de défense ; il en fait réparer les remparts, y réunit l’artillerie dispersée dans l’île, y rassemble des dépôts de vivres, de munitions. […] Puis vient la police de l’île, l’organisation de la petite armée, de la petite marine ; les embellissements de la ville capitale auront ensuite leur tour, puis la réparation ou la construction des routes, l’exploitation des carrières de marbre et des mines de fer.

438. (1874) Premiers lundis. Tome I « J. Fiévée : Causes et conséquences des événements du mois de Juillet 1830 »

« Nous serions-nous portés vers l’Hôtel de ville pour exciter le zèle de nos échevins et nous mettre sous leur direction ? Notre Hôtel de ville est l’hôtel du préfet : au lieu de nos magistrats, nous n’aurions encore trouvé là que des hommes du pouvoir ; autant dans ce qu’on appelle nos mairies, que ne connaissent guère que ceux qui ont été s’y marier ou y demander des certificats.

439. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — R — Rostand, Edmond (1868-1918) »

Comme ces trouvères d’antan qui allaient de ville en ville, le nez au vent, plume au chapeau, il répugne aux enrôlements et aux étiquettes.

440. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XV. La commedia dell’arte au temps de Molière et après lui (à partir de 1668) » pp. 293-309

« En ce cas, je suis mort, répondit le pauvre malade, car c’est moi qui suis Arlequin. » La différence qui existait entre le bouffon à la ville et le bouffon au théâtre est curieusement caractérisée dans une anecdote relative au fameux Santeul, le fantasque chanoine de Saint-Victor. Dominique avait envie d’avoir quelques vers latins de lui, et il l’alla voir en habit de ville.

441. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Émile Augier, Louis Bouilhet, Reboul »

Reboul, ouvrier des villes, devenu bourgeois, n’est pas et ne pouvait être le Burns de la France. Indépendamment du génie très particulier, très vigoureux et très profond, qu’il fallait pour cela, il fallait de plus une aire d’observation proportionnée à ce genre de génie, c’est-à-dire une de ces vies naïves, primitives et fortes, que dans les villes on ne connaît plus.

442. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Corneille »

Levallois est Normand, mais je le crois même de la ville de Corneille, ou s’il n’en est pas, il y a beaucoup vécu, dans cette ville plus pleine à présent de Corneille, privilège de la mort et de la gloire !

443. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Chapitre VII. Dernières preuves à l’appui de nos principes sur la marche des sociétés » pp. 342-354

Qu’on voie donc combien il est raisonnable de croire que la mancipation prit naissance dans les murs de la seule ville de Rome, comme un mode d’acquérir le domaine civil usité dans les affaires privées des citoyens ! […] Par suite, les conditions (leges) auxquelles se rendaient les villes, étaient exprimées par des formules analogues, qui se sont appelées paces (de pacio) mot qui répond à celui de pactum.

444. (1866) Dante et Goethe. Dialogues

C’était partout, de ville à ville, de contrée à contrée, une émulation passionnée de savoir et de gloire. […] Il y rétablit le gouvernement des Noirs ; il livre la ville à ses soldats. […] Avec les chefs des gibelins, il erra de ville en ville. […] Comment y avait-il des conseillers impériaux dans une ville libre ? […] Francfort était politiquement une ville libre, historiquement une ville impériale.

445. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 338

le] Chanoine de Chartres sa patrie, Professeur de Rhétorique dans le Collége de la même ville, né en 173..

446. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 144

DESMARETS DE SAINT-SORLIN, [Jean] de l’Académie Françoise, né à Paris en 1595, mort dans la même ville en 1676, Poëte extravagant, aussi célebre par la fécondité, les délires & les platitudes de sa Muse, que par le prestige étonnant qui rendit le Cardinal de Richelieu son zélé protecteur.

447. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 411

GLATIGNY, [Gabriel de] premier Avocat général de la Cour des Monnoies de Lyon, de l’Académie de la même ville, sa patrie, né en 1690, mort en 1755.

448. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — H — article » p. 502

HERBELOT, [Barthelemi d’] né à Paris en 1625, mort dans la même ville en 1695.

449. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 315

Boileau, [Jacques] Docteur de Sorbonne, frere du précédent, de l’Académie Françoise, né à Paris en 1635, mort dans la même ville en 1716, ne mérite pas ce qu’en a dit l’Auteur des Querelles Littéraires, qui l’appelle un Esprit bizarre qui n’a rien donné que de bizarre.

450. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 501

Cheron, [Elisabeth-Sophie] de l’Académie des Ricovrati, née à Paris en 1648, morte dans la même ville en 1711.

451. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 68

LAMOIGNON, [Chrétien-François de] Avocat-Général du Parlement de Paris, de l’Académie des Inscriptions, fils de Guillaume, né à Paris en 1644, mort dans la même ville en 1709, n’avoit pas moins de talens que son pere, & eut plus d’occasion de les faire briller.

452. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 436

Camus, [Antoine le] Médecin, Associé des Académies d’Amiens, de la Rochelle, & de Châlons, né à Paris en 1722, mort dans la même ville en 1772 ; Auteur de plusieurs Ouvrages qui annoncent également l’homme d’esprit & l’Ecrivain élégant.

453. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 450

Catrou, [François] Jésuite, né à Paris en 1659, mort dans la même ville en 1737.

454. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 201

Ce sont des Histoires des Papes, des Cardinaux François ; des Généalogies, des Recherches sur les Antiquités des Villes de France, & quelques autres Ouvrages qui ont servi de matériaux à beaucoup d’autres Historiens qui ont su les mettre en œuvre plus habilement que lui.

455. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — E. — article » p. 237

EGLY, [Charles-Philippe de Montenault d’] de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, né à Paris en 1696, mort dans la même ville en 1749.

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