personne n’attendait de M. […] — Ils avaient pour lui un respect qu’ils n’avaient pour personne. […] Il n’est pour ni contre personne. […] La Terre ne se tait jamais devant personne. […] Je ne sais personne qui ait discuté M.
Un jour d’Aubigné brûla ces papiers de peur d’être jamais tenté d’en faire usage, surtout à l’égard de L’Hôpital qui avait depuis désavoué le parti : « J’ai brûlé ces pièces, disait-il, de peur qu’elle ne me brûlassent. » Mais il les avait montrées auparavant à plusieurs personnes de marque. […] Le premier faisait part de cette pesanteur et de ses maladies à son armée, n’entreprenant qu’au prix que sa personne pouvait supporter ; l’autre faisait part aux siens de sa gaieté, et ses capitaines le contrefaisaient par complaisance et par émulation. […] à une heure si dangereuse, me penser traîner à ce qu’on n’a pu forcer tant de simples personnes, parce qu’ils ont su mourir ! […] Il a eu ces jours passés une bourrasque à cause du livre de F… (Le Baron de Fœneste), augmenté de nouveau, qui n’a pas été bien pris en ce lieu-ci, où les personnes pensent trois fois une chose avant que de la mettre en effet une.
Nous sommes avec un esprit sage, prudent, modéré, doué des qualités civiles ; il a ses préférences, ses convictions ; il ne les cache pas, il les professe ; mais nous sommes aussi avec un esprit droit qui ne procède point par voies obliques ; lui du moins, en écrivant l’histoire, il ne songe à faire de niches à personne (ce qui est indigne d’esprits éclairés et mûrs, ce qui fait ressembler des hommes réputés graves, des hommes à cheveux gris et à cheveux blancs, à de vieux écoliers malins tout occupés à jouer de méchants tours à leur jeune professeur) ; il ne pense pas sans cesse à deux ou trois choses à la fois, il ne regarde pas toujours le présent ou l’avenir dans le passé : il étudie ce passé avec scrupule, avec étendue et impartialité, et il nous permet de faire avec lui, ou même sans lui, toutes sortes de réflexions sur le même sujet. […] Monsieur, comte d’Artois, qui avait précédé son frère, était à peine installé aux Tuileries, qu’il avait (indépendamment du ministère officiel, dès lors constitué) ses conseillers à part, son comité intime, sa police secrète : Il y avait donc, nous dit M. de Viel-Castel, deux gouvernements, l’un officiel, connu de tous, conduisant les affaires, composé en général d’hommes sages et expérimentés, mais pour qui le prince n’éprouvait ni confiance ni sympathie, bien qu’il les ménageât beaucoup ; l’autre, occulte, formé pour la plus grande partie de courtisans sans lumières et d’intrigants sans conscience, n’agissant qu’indirectement sur l’administration, mais surveillant et contrariant par des voies souterraines ceux qui en étaient chargés, se préoccupant beaucoup plus des personnes que des choses, et régnant d’une manière absolue sur l’esprit du lieutenant général. […] Il avait la vanité de vouloir qu’on s’attachât à lui, à lui seul, à sa personne encore plus qu’au monarque ; il lui fallait, à toute heure, être adoré, adulé pour son esprit, cajolé pour son érudition, pour sa mémoire, pour l’irréfragabilité de son goût, échanger de petits soins, des confidences, de perpétuels témoignages, jusqu’au moment où il rejetait une habitude si chère pour une autre qui, à l’instant, la lui faisait oublier. […] On peut raisonner tant qu’on le voudra sur l’esprit des choses et la nature des institutions, mais, en fait, on ne peut séparer la Restauration de la personne des princes restaurés.
Je ne ferai que passer aussi devant vous, couple conjugal qui unissez vos deux voix31 ; qui, après avoir perdu un enfant, votre unique amour, l’avez pleuré dans un long sanglot, et qui, cette fois, inconsolés encore, mais dans un deuil apaisé, avez songé à lui en composant des chants gradués pour les divers âges, continuant ainsi en idée, d’une manière touchante, à vous occuper, dans la personne des autres, de celui qui n’a pas assez vécu pour vous. […] Voilà, me disais-je, un homme qui n’est plus de la première jeunesse, que personne ne connaissait jusqu’ici ; qu’un de ses amis, M. […] Dans un premier recueil, la Flûte de Pan, il s’est livré à des études de poésie en quelque sorte plastique et sculpturale ; il avait demandé à la nature extérieure le sens confus de ses harmonies et de ses symboles : aujourd’hui, sous le titre de la Lyre intime 46, il aborde le monde du cœur ; il se détache, non sans peine et sans effort, du grand Pan pour en venir à un sentiment plus distinct, plus défini, qui a pour objet la personne humaine. […] Il faut supposer qu’elle a été faite pour une belle personne qui, dans un bal costumé, était en lune ou en Reine de la nui t : Son corps était couvert d’un voile en gaze noire Où, sans nombre, on voyait luire des diamants ; Son front, plein du frisson magique de la gloire, Portait le croissant mince et pur des firmaments.
Boileau leur fit l’effet d’un médisant comme les autres, mais plus forcené que les autres : car il ne prenait pas un adversaire, ou deux, comme les plus enragés faisaient auparavant ; il semblait jeter aux quatre vents le défi de Rodrigue ; tout ce que les lettres nourrissaient de grands et de petits, de redoutables et de méprisables, faiseurs de sonnets et de romans, d’épopées et de petits vers, il n’épargnait personne, et chaque pièce nouvelle qu’il donnait et qui courait manuscrite sous le manteau offrait à la risée publique encore de nouveaux noms. […] Dans la IVe , Chapelain, avec Ménage ; Chapelain encore, dans le Discours au Roi, en compagnie de Charpentier et de Pelletier ; Chapelain dans le dialogue des Héros de romans, suivi de Mlle de Scudéry, de La Calprenède, Quinault et l’abbé de Pure ; Chapelain toujours dans la Satire III, et Quinault, et Pelletier, et Mlle de Scudéry, et Le Pays, et La Serre : mais voici, de plus, l’inventeur de l’énigme française, prédicateur chrétien et poète galant, l’abbé Kautain, ou Cotin, Trissotin en propre personne. […] Nommer Despréaux Desvipéreaux, lui reprocher d’avoir fait servir des alouettes au mois de juin dans son Repas ridicule, glorifier Pelletier de recevoir chaque jour vingt-cinq personnes à sa table, traiter l’auteur des Satires de « bouffon » et de « faussaire », ou de « jeune dogue » qui aboie autour de lui, et lui dire agréablement qu’il ne fait rien « que les mouches ne fassent sur les glaces les plus nettes », le menacer du bâton ou faire entendre que les cotrets ont déjà pris le contact de ses épaules, trouver dans ses vers des insultes au parlement, à la cour, au clergé, au roi, et un athéisme digne du sort de Vanini, le reprendre tantôt d’user « de quolibets des carrefours, de déclamations du Pont-Neuf qui ne peuvent être souffertes que dans un impromptu de corps de garde », et tantôt de piller Horace, Juvénal ou Molière : voilà ce que la rancune venimeuse des victimes de Boileau invente pour le confondre. […] Mais il a médit des personnes, fait de Colletet un parasite, de Saint-Amant et de Faret des ivrognes ; il a raillé la tournure de l’abbé de Pure.
J’ai pensé que quelques personnes liraient, non sans profit, ces pages ressuscitées, et surtout que la jeunesse, un peu incertaine de sa voie, verrait avec plaisir comment un jeune homme, très franc et très sincère, pensait seul avec lui-même il y a quarante ans. […] Les personnes qui me font l’honneur de lire mes écrits avec suite me pardonneront, je l’espère, ces répétitions, si la publication nouvelle leur montre ma pensée dans des agencements et des combinaisons qui ont pour elles quelque chose d’intéressant. […] Personne n’a plus de goût à servir de matériaux à ces tours bâties, comme celles de Tamerlan, avec des cadavres. […] Et puis, après tout, on n’appauvrit personne en tirant de son portefeuille les mauvaises valeurs et les faux billets.
Mais vous savez que personne n’est content de son métier, et qu’on se croit toujours plus propre à celui d’autrui. […] Après tout, je ne veux blesser ni dénigrer personne. […] Dessinons donc les traits de cet être fantastique, où personne ne se reconnaissant, on ne saurait m’accuser de manquer à personne.
Mais dans ces mœurs de cristal, — non par la pureté, mais par la transparence, qui font à présent une espèce d’aquarium de Paris, — personne n’ignora que la main, — beaucoup trop et vainement gantée, — qui avait écrit ce livre sur Byron, était, puisque la main de Byron est glacée, celle de toutes les mains qui avait le plus le droit de récrire, pour être restée dans la sienne… Si les femmes que nous avons aimées deviennent une part de nous-mêmes, c’était une part de Byron, — encore vivante ici-bas, — qui allait continuer les Mémoires et dire leur vérité dernière. […] … Je pensais alors à ce qu’aurait dû être un livre sur Byron, écrit par la seule personne qui, dans l’univers du présent, comme dans l’univers de l’avenir, eût pu l’écrire, si elle avait osé ! […] Il n’a été traversé par personne de ce rayon tout-puissant qui fixe à jamais ce qui remue et illumine ce qui est obscur. […] Avec son passé, avec ce qu’elle fut et ce qu’elle est devenue, avec ce que le monde tout entier sait d’elle, elle était — pour l’honneur de son livre, — tenue d’apporter sur Byron des notions que n’avait encore données personne.
Sa personne me faisait penser à un mot qu’on me disait l’autre jour. […] Je ne répondrais de personne. […] Personne au monde n’a des pigeons comme j’en ai. […] Je n’ai jamais parlé de ceci à personne : il m’était impossible d’en rien dire. […] Personne ne savait qui en prendrait la direction, ni par quoi commencer.
C’est de ce père déjà vieux et remarié en secondes noces avec une personne jeune, mais non plus de la première jeunesse, que naquit Saint-Simon en janvier 1675. […] Le jeune Saint-Simon fut donc élevé auprès d’une mère, personne de mérite, et d’un père qui aimait à se souvenir du passé et à raconter mainte anecdote de la vieille Cour : de bonne heure il dut lui sembler qu’il n’y avait rien de plus beau que de se ressouvenir. […] Nous en savions les noms, qui n’avaient pour nous qu’une signification bien vague : les personnes, aujourd’hui, nous sont familières et présentes. […] Reste la bourgeoisie qui fait la tête de ce peuple et qu’il voit déjà ambitieuse, habile, insolente, égoïste et repue, gouvernant le royaume par la personne des commis et secrétaires d’État, ou usurpant et singeant par les légistes une fausse autorité souveraine dans les parlements. […] Il prétend qu’il a plus contribué que personne à mettre mon père en place de ministre et que mon père ne lui a pas tenu les choses qu’il lui avait promises comme pot-de-vin du marché ; or quelles étaient ces choses ?
La jeune personne, l’Héloïse nouvelle auprès de laquelle on l’accrédita imprudemment en qualité de maître de musique amateur, n’avait que de treize à quatorze ans. […] Aussi, quand on eut l’éveil, quand les conjectures malicieuses et peut-être aussi, nous assure-t-on, l’état de la jeune personne, amenèrent les parents d’Éléonore à presser le chevalier de Parny de s’expliquer ou de rompre, celui-ci sollicita en vain de son père la permission d’épouser. […] Mais, malgré les réserves de détail que l’on savait faire, personne alors ne se rendait bien compte de ce qui manquait foncièrement à ce style, et comment il péchait par la trame même. […] Tel a été son entortillage, que ce point a paru problématique à quelques personnes ; mais ce doute seul déciderait la question, et prouverait que M. […] La personne qui se consacra à charmer ainsi ses ennuis et à consoler ses regrets était une créole aimable, déjà mère de plusieurs enfants d’un premier mariage : la douceur de la famille commença au complet pour Parny.
Rentré en France après la Terreur, il y porta dans la société renouvelée un homme nouveau ; l’austérité chrétienne de sa vie n’enlevait rien à l’émotion de son cœur et à la séduction de sa personne. […] « Ce fut un rude coup et un terrible réveil qu’une communication de ce genre pour une personne de vingt-cinq ans. […] L’anxiété de sa situation, la pensée de l’honneur de son nom compromis, la ruine possible de tant de personnes dont le sort dépendait du sien, c’étaient là des tortures que son excellente et faible nature n’était pas capable de surmonter ; il était anéanti. […] Ballanche cette fois ne put la suivre ; ses pénibles occupations de libraire, dans lesquelles il remplaçait son père mourant, retinrent sa personne, mais non son âme ; cette âme voyageait partout où allait sa nouvelle amie. […] De ce jour elle eut en lui un frère inséparable de sa personne et de ses pensées.
De même, il lui arriva d’être saisi d’un grand mépris du monde, et d’un dégoût insupportable do toutes les personnes, avant de sentir aucun attrait du côté de Dieu. […] Ainsi commence ce dialogue, qui a tour à tour la grâce d’une conversation entre des personnes du monde, la solidité d’une discussion, le piquant d’une scène de comédie. […] Pour peu qu’on le pousse, il va faire des ignominies de cette morale une affaire d’honneur ; et n’y a-t-il pas péril à offenser, dans la personne d’un de ses membres, une société qui permet de tuer pour une pomme ? […] Je n’ai besoin, par la grâce de Dieu, ni du bien ni de l’autorité de personne. […] La lettre sur l’homicide ne condamne pas moins les casuistes politiques, qui veulent tuer les personnes pour détruire les opinions, que les casuistes moralistes de 1656 qui permettaient de tuer pour un soufflet.
Le Lecteur même un peu éclairé n’y peut méconnoître, en plusieurs endroits, la touche & les idées de l’Historien du Siecle de Louis XIV : c’est sa maniere d’écrire, sa tournure d’esprit, sa façon de penser ; ce qui a fait dire à quelques personnes, qu’il avoit eu grande part à cet Ouvrage. […] Bossuet, qu’ils avoient une façon de penser toute philosophique, & que s’ils étoient nés à Londres, ils auroient donné l’essor à leur génie, & déployé leurs principes, que personne n’a bien connus, s’il n’avoit voulu grossir la Liste philosophique de deux noms, qui en seront toujours le fléau ?
On dirait avec Le Clerc De Montmercy, qui ne veut devoir l’aisance à personne : un grabat dans un grenier sous les tuiles, une cruche d’eau, un morceau de pain dur et moisi et des livres… et l’on suivrait la pente de son goût. […] Par derrière le Christ, quelques apôtres scandalisés de leur divin maître, surpris en conversation avec une femme qui faisait quelquefois son mari cocu, et révélant à cette femme ses petites fredaines qui n’étaient ignorées de personne.
Mais ils ont tellement vieilli l’un et l’autre depuis le 1er juin 1665276, qu’ils ne sont plus que l’ombre d’eux-mêmes, deux abstractions mortes, deux personnifications plutôt que deux personnes. […] La comédie doit donc nous montrer, au contraire, le triomphe de la personne humaine, conservant sa sécurité infinie au milieu même des échecs, qu’elle subit dans la poursuite d’un but contradictoire, et riant de ses propres infortunes. […] À présent, lorsqu’elle ne sent pas la beauté d’un poème vanté de tout un peuple ou seulement de quelques personnes éclairées, elle garde un silence modeste. […] Car elle sait que ces choses-là ne sont point belles, si elles ne plaisent qu’à ses sens ou ne touchent que son cœur, sans pouvoir être en même temps admirées, ni d’elle, ni de personne. […] Vous comprenez, vous goûtez, vous aimez Molière autant que personne.
Il y a chez le roi cinquante-quatre chevaux pour le grand écuyer ; il y en a trente-huit pour Mme de Brionne qui gère une charge d’écurie pendant la minorité de son fils ; il y a deux cent quinze palefreniers d’attribution et à peu près autant de chevaux entretenus aux frais du roi pour diverses autres personnes toutes étrangères au département230. […] — Quelques années plus tôt, en café, limonade, chocolat, orgeat, eaux glacées, le roi payait par an 200 000 francs ; plusieurs personnes étaient inscrites sur l’état pour dix ou douze tasses par jour, et l’on calculait que le café au lait avec un petit pain tous les matins coûtait pour chaque dame d’atour 2 000 francs par an232. […] Lisez plutôt ce haut fait de Mme de Lauzun à Chanteloup : « Savez-vous, écrit l’abbé, que personne ne possède à un plus haut degré une qualité que vous ne lui connaissez pas, celle de faire les œufs brouillés ? […] Nul ne songe à s’en scandaliser : personne n’imagine qu’un habit doive être un éteignoir, et cela est vrai de tous les habits, en premier lieu de la robe. « Quand je suis entré dans le monde, en 1785, écrit un parlementaire281, je me suis vu présenter en quelque sorte parallèlement chez les femmes et chez les maîtresses des amis de ma famille, passant la soirée du lundi chez l’une, celle du mardi chez l’autre. […] » À Basville, chez M. de Lamoignon, pendant les vacances de la Pentecôte et de l’automne, il y a chaque jour trente personnes à table ; on chasse trois et quatre fois par semaine, et les plus illustres magistrats, M. de Lamoignon, M.
Que sert telle magnifique découverte, si tout au plus une centaine de personnes en profitent ? En quoi l’humanité est-elle plus avancée, si sept ou huit personnes ont aperçu la haute raison des choses ? […] C’est le plus sûr moyen de ne duper personne. […] Plus que personne, je gémis des folies populaires et je veux qu’on les réprime. […] La masse n’a droit de gouverner que si l’on suppose qu’elle sait mieux que personne ce qui est le meilleur.
Elle s’est fait un reliquaire de gants : de gants qu’elle portait le premier jour, où elle a donné la main à une personne aimée. […] cette agonie monotone et sans événement, écrite sur le vif des souffrances, ce serait une bien belle étude que personne ne fera, parce qu’un rien de succès, l’éditeur trouvé, quelques cents francs gagnés, quelques articles à cinq ou six sous la ligne, votre nom connu par un millier de personnes que vous ne connaissez pas, deux ou trois connaissances, un peu de réclame, vous guérissent du passé et vous versent l’oubli… Elles vous semblent si loin, ces larmes dévorées, ces misères, aussi loin que votre jeunesse. […] Par exemple, sur vingt-cinq personnes qui entrent ici, il n’y en a pas trois qui discernent la couleur du papier ! […] aux environs de 1850… du temps qu’il était simplement un marchand de vin, et que derrière le comptoir en zinc, il avait un tout petit cabinet pouvant contenir, les coudes serrés, six personnes. […] Je ne nomme pas l’auteur, parce que j’aime beaucoup son talent et sa personne, et que je crois maintenant ce double sentiment partagé par lui à mon égard.
Personne n’ignore quel fut le succès du livre de La Bruyère. […] Les personnes de qualité empruntent et ne rendent point. […] Il se vante, en effet, aussi souvent que personne en son siècle, de respecter la morale et de prêcher la vertu. […] Plus que personne et dès la première heure, Prévost y a aidé. […] Jamais personne au monde n’a menti comme Voltaire.