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1028. (1888) Épidémie naturaliste ; suivi de : Émile Zola et la science : discours prononcé au profit d’une société pour l’enseignement en 1880 pp. 4-93

Et si je vais chercher où se produit le plus fréquemment la bestialisation du type humain, c’est dans la fabrique et dans l’usine que je la trouverai plus qu’aux champs. […] Dans cet ouvrage, il franchissait les limites qu’avait respectées l’auteur de la Comédie humaine. […] Certes, lui aussi, il se targuait de connaître la nature et le cœur humain en particulier. […] L’idéal, comme un phare resplendissant, apparaît sur l’océan des âges et marque le but de l’évolution humaine. […] Là, une végétation luxuriante, noire, grasse par excès d’engrais humain, envahit le soi.

1029. (1875) Premiers lundis. Tome III « De la liberté de l’enseignement »

Il y a trois siècles environ (c’est un fait), l’esprit humain, dans notre Occident, la pensée humaine, en se dégageant des débris et de la décadence du moyen âge finissant, en brisant les liens de la scolastique et d’une autorité pédantesque à bout de voie, s’est enhardie, et en même temps que d’un côté on affirmait la figure véritable de la terre et qu’on découvrait un nouveau monde, en même temps que de l’autre on perçait les sphères étoilées et qu’on affirmait le véritable système planétaire, en même temps on regardait, on lisait d’un bout à l’autre les livres dits sacrés, on traduisait les textes, on les discutait, on les jugeait, on commençait à les critiquer ; on choisissait ce qui semblait le plus conforme à la religion qu’on n’avait point perdue, et à la raison qui s’émancipait déjà. […] Mais, à travers les fautes et les erreurs des gouvernants, la raison humaine marchait, et avec elle la tolérance. […] Sans donc aller jusqu’à nier qu’il y ait telle ou telle opinion, conviction ou croyance, qui puisse ajouter quelque chose dans les âmes à la sanction morale des prescriptions légales, je maintiens que le meilleur et le plus sûr principe et fondement de la légitimité des lois qui régissent les sociétés humaines est encore et sera toujours dans leur nécessité, dans leur utilité même. […] Son grand crime, disait-on, était denier et de supprimer le libre arbitre, la liberté humaine, la moralité des actions et ce qui s’ensuit. […] D’un côté, je l’ai dit et j’en ai la ferme conviction, le bon sens humain monte, s’accroît, s’aguerrit, recrute chaque jour de nombreux esprits vigoureux, sains, robustes, positifs et qui ne marchandent pas.

1030. (1895) Histoire de la littérature française « Quatrième partie. Le dix-septième siècle — Livre II. La première génération des grands classiques — Chapitre III. Pascal »

Il serait long de l’expliquer : mais j’ai déjà fait remarquer que toutes les doctrines qui ont demandé le plus à la volonté humaine ont posé en principe l’impuissance de la volonté ; elles ont ôté le libre arbitre et livré le monde à la fatalité. […] Par une contradiction qui n’est qu’apparente, ces contempteurs de l’esprit, humain, et qui rangeaient l’amour de la science parmi les concupiscences mortelles, donnaient aux enfants la plus solide instruction. […] Seule de toutes les doctrines philosophiques et religieuses, la doctrine de la chute explique le contraste incompréhensible de grandeur et de bassesse, qui est le trait caractéristique de la nature humaine. […] Pascal, après cela, a donc bien le droit de s’adresser dans la quatrième partie à la raison, et de lui proposer des preuves, qui fourniront une évidence rationnelle, pareille, et non supérieure, à celle que l’homme obtient par ses méthodes humaines dans toutes les parties de ses sciences. […] Il faut voir avec quelle force d’observation et de logique Pascal réduit à la fantaisie, au préjugé, à l’habitude, toute l’œuvre de l’esprit humain, hors de lui et en lui-même.

1031. (1880) Les deux masques. Première série. I, Les antiques. Eschyle : tragédie-comédie. « Chapitre II, grandeur et décadence de Bacchus. »

Ses aventures sont innombrables, ses transformations égalent les avatars du Vischnou indien : non moins que lui mobile et nomade, prenant et rejetant toutes les formes de la vie divine et humaine, comme les costumes changeants d’une fête éternelle. […] Il fut le dernier dieu, en Grèce, à exiger des victimes humaines pour le rachat des fautes commises envers lui. […] » — Souvent aussi il se montrait en bête fauve : une pierre gravée le représente sous la figure d’un lion à face humaine, comme une idole ninivite. […] Plus élevé qu’Hercule dans la hiérarchie olympienne, mais rattaché aussi à la race humaine par sa mère, Bacchus, comme le fils d’AIcmène, tient du héros autant que du dieu. […] Il l’initie, par le sang de la vigne, à la grande communion humaine ; il lui donne des lois et lui révèle des dieux plus cléments.

1032. (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Deuxième partie. L’évolution des genres — Chapitre II. La poésie lyrique » pp. 81-134

Nietzschéen, il a subi à l’excès l’influence de Humain, trop Humain. […] Gregh a voulu opposer la poésie humaine. — Cette poésie humaine, caractéristique des tendances de la jeunesse, de l’écrivain qui le premier avait voulu concilier les rythmes nouveaux avec l’expression de la vie, M.  […] La Maison de l’Enfance, la Beauté de Vivre, les Clartés Humaines, l’Or des Minutes, réalisent heureusement le noble programme de l’auteur. […] Paul Briquel dont les Soirs d’Automne avaient quelque mélancolie artificielle, dont les Joies Humaines tressaillent d’une force mal dirigée mais réelle et qui promettent un poète vigoureux.

1033. (1909) Nos femmes de lettres pp. -238

La Forêt, les étangs, et la plaine féconde, Ont plus touché mes yeux que les regards humains. […] Plus sûrement qu’Amphitrite, dans cette âme obstinément païenne, l’amour humain devait produire le résultat attendu. […] Maintenant nous sommes fixés sur elle, et nous avons pris sa mesure qui l’apparente aux plus grands des humains. […] La grande loi de la Liaison des Idées commande tous les cerveaux humains, celui de l’artiste avec une rigueur plus évidente encore. […] que les mots sont donc étroits, et dans leur brutale précision expriment insuffisamment les nuances dont se compose une âme humaine, fût-elle en formation !

1034. (1864) Cours familier de littérature. XVII « CIe entretien. Lettre à M. Sainte-Beuve (1re partie) » pp. 313-408

Il avait compris que tout ce qui est humain a droit au respect de l’homme, et que tout ce qui console est bon au malheureux. […] relève ton courage ; N’use point ta jeunesse à sécher dans le deuil ; Il est pour les humains un plus noble partage        Avant de descendre au cercueil ! […] Tous les maux humains ne se traduisent-ils pas en douleurs ? […] ” Il ne reste rien à dire, après saint Augustin, sur les charmes décevants et les illusions fabuleuses de l’amitié humaine. […] « La plupart des amitiés humaines, même des meilleures, sont donc vaines et mensongères, ô mon ami ; et c’est à quelque chose de plus intime, de plus vrai, de plus invariable, qu’aspire une âme dont toutes les forces ont été brisées et qui a senti le fond de la vie.

1035. (1910) Rousseau contre Molière

De plus, cette contemplation continuelle des désordres de la société le détache de lui-même pour fixer toute son attention sur le genre humain. […] Il a pris son parti des imperfections humaines, non en leur pardonnant, mais en les reconnaissant pour incorrigibles. […] Mais cette vérité sur le genre humain, est-il vraiment utile de la montrer et de l’étaler ? […] La sagesse humaine consiste donc à s’arranger de manière à n’être pas ridicule. […] Sa mécanique à elle est plus forte que la nôtre ; tous ses leviers, vont à ébranler le cœur humain.

1036. (1895) La comédie littéraire. Notes et impressions de littérature pp. 3-379

Peut-être manque-t-il à son œuvre ce qu’un Guy de Maupassant y aurait mis, un certain souffle d’émotion et de pitié pour les misères humaines. […] Il m’a semblé que ce petit volume était humain, très humain ; j’y ai trouvé des idées très raisonnables, traduites en une langue très claire, sinon très forte. […] Il semble planer au-dessus des passions humaines. […] L’excellent Gaspard suffirait, à lui seul, à réhabiliter l’espèce humaine. […] Ce Daniel est un mémorable exemple des infortunes humaines.

1037. (1888) Études sur le XIXe siècle

Sous quel aspect nous apparaissaient alors la vie humaine et le destin ! […] » (Histoire du genre humain). […] Mais, — et voici où il est bien du Nord, — ce n’est pas l’homme physique qui l’attire, l’« animal humain », comme dit M.  […] Capuana est bien plus près de nier la réalité du monde extérieur que celle de la personnalité humaine. […] nulle parole humaine ne pouvait l’exprimer — nulle action, si dévouée qu’elle te parût, n’était l’ombre de ce que ce cœur désirait produire pour toi.

1038. (1887) Discours et conférences « Discours prononcé à Tréguier »

Quarante ans, quel long espace dans la vie humaine ! […] Je songe souvent que c’est votre adhésion, en apparence tardive, qui donnera l’existence définitive à ces délicates choses que l’on perd par trop de zèle : un état légal, où l’ordre soit aussi assuré que la liberté ; un état social, où la justice ne soit pas trop violée ; un état religieux, qui donne à l’âme humaine son aliment idéal, sans contrainte officielle ni chimères superstitieuses.

1039. (1900) Taine et Renan. Pages perdues recueillies et commentées par Victor Giraud « Renan — I »

De telles satisfactions auraient pu entraver la réussite de la tâche qu’il s’est fixée et qui est d’établir les origines purement humaines du christianisme.‌ […] S’il accepte le divin en marge de sa philosophie historique, c’est pour avoir un plus bel air d’impartialité quand il contestera à l’Église autre chose qu’une origine humaine.

1040. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre second. De la sagesse poétique — Argument » pp. 93-99

Philosophie de la propriété, histoire des idées humaines, critique philosophique, histoire idéale éternelle, système du droit naturel des gens, origines de l’histoire universelle. […] L’étude du développement de la civilisation humaine prête une certitude nouvelle aux calculs de la chronologie.

1041. (1923) Paul Valéry

Comédie qui extrairait et abstrairait les racines de la pensée comme Balzac a essayé d’extraire et de concrétiser les types humains. […] Il n’y a de création humaine, de réalité efficace, que mécanicienne. […] Il prélève sur la récolte humaine les graines de semence. […] Chances parce qu’en droit humain, utilitaire, elles ne devraient pas être et paraissent à chaque fois des hasards. […] Valéry ne personnifie pas, comme Vigny, la divine larme humaine en une Eloa, il la réalise dans le corps même et la matière qui lui ont donné naissance.

1042. (1860) Cours familier de littérature. X « LXe entretien. Suite de la littérature diplomatique » pp. 401-463

» Je vais mettre en scène ce dialogue du mort avec les vivants, et faire parler cet oracle du fond de son sépulcre, autant du moins que ma faible intelligence et ma sagesse bornée peuvent interpréter les pensées présumées de cette forte tête et de cette grande vue sur les affaires humaines. […] Si la diplomatie civilisée n’a point ce principe dirigeant dans ses conseils, ce n’est plus la diplomatie : c’est la barbarie, la violence, l’astuce, l’ambition, l’égoïsme national, bouleversant partout et sans cesse les sociétés humaines, et ne reconnaissant de juste que son intérêt, de morale que la victoire. […] Cet athéisme à ce qu’on appelle le droit public, ce défi à la conscience du genre humain, ce mépris de l’honnêteté en diplomatie, cette lâcheté devant ce qui est fort, cette oppression de ce qui est faible, ce Væ victis jeté impudemment à tous les droits, ce Sauve qui peut de tous les traités, cette déroute de toute diplomatie, ont un succès de scandale pour un jour, et amassent des charbons dévorants sur les cabinets qui les osent. […] Demandez à tous les États constitués de l’Europe s’ils reconnaissent ce principe des nationalités dans ces innombrables annexions de nations ou de fragments de nations qui, de gré ou de force, ont composé, avec le laps du temps, la puissance dont ces nationalités forment aujourd’hui le bloc national ; demandez-le à l’Écosse, demandez-le à l’Irlande, demandez-le à la Pologne, à la Galicie, à la Silésie, à la Hongrie, à l’Ukraine, à la Crimée, à tous ces démembrements de races, de tribus, de provinces, de peuplades, de familles humaines agglomérées aux noyaux des grands empires, des grandes républiques, des grandes monarchies. […] Il faut être très hardi pour oser le dire ; mais, du fond du sépulcre ou du fond de la retraite, hors des choses humaines, on est très hardi.

1043. (1863) Cours familier de littérature. XV « XCe entretien. De la littérature de l’âme. Journal intime d’une jeune personne. Mlle de Guérin (3e partie) » pp. 385-448

Mais rien d’humain ne console. […] Je voudrais le salut de tous, que tous profitent de la rédemption qui s’étend à tout le genre humain. […] Me faire un oreiller d’une poitrine humaine, hélas ! […] Au lieu de cela, c’est moi qui pleure ; c’est moi qui vois une tombe, où est renfermé tout ce que j’ai eu d’espérance, de bonheur en affection humaine. […] On voudrait que la raison humaine tempérât davantage ces pieuses crédulités du couvent ; mais, à mesure qu’elle avance dans la vie, cette foi, au lieu de s’isoler et de s’aigrir, s’adoucit visiblement.

1044. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 juillet 1886. »

(Camille Saint-Saëns : la France du 23 mars 1885)   La vie humaine, que l’Art Wagnérien doit recréer, est faite d’éléments en apparence très divers, mais issus tous de la sensation, et produisant, dans leur complexité croissante, les deux modes de la notion et de l’émotion. […] Comme le langage des arts plastiques, et comme celui des arts littéraires, le langage de la Musique fut d’institution purement humaine. […] Certaines relations de sons conviennent, plus aisément que d’autres, à la disposition du larynx humain : de là, une tendance à signifier, par ces relations, des états de repos ou d’apaisement. […] On touche aux catastrophes ; on est en pleine réalité humaine. […] Richard Wagner est le maître de ces conclusions toutes puissantes, qui vivent de leur seule beauté, qui résument supérieurement l’intensité d’une œuvre et qui sont poignantes par cela simplement qu’elles emportent l’esprit des auditeurs aux plus hautes sphères de l’idéal humain.

1045. (1895) Les règles de la méthode sociologique « Chapitre II : Règles relatives à l’observation des faits sociaux »

En effet, les choses sociales ne se réalisent que par les hommes ; elles sont un produit de l’activité humaine. […] Il part de cette idée qu’il y a une évolution continue du genre humain qui consiste dans une réalisation toujours plus complète de la nature humaine et le problème qu’il traite est de retrouver l’ordre de cette évolution. […] Puisque, d’ailleurs, on ne conçoit pas que l’évolution sociale puisse être autre chose que le développement de quelque idée humaine, il paraît tout naturel de la définir par l’idée que s’en font les hommes. […] Ils se sont, eux aussi, formés historiquement ; ils sont un produit de l’expérience humaine, mais d’une expérience confuse et inorganisée. […] C’est seulement ensuite qu’il sera possible de pousser plus loin la recherche, et, par des travaux d’approche progressifs, d’enserrer peu à peu cette réalité fuyante dont l’esprit humain ne pourra jamais, peut-être, se saisir complètement.

1046. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Villemain » pp. 1-41

L’inspiration du poète thébain n’est plus qu’une lettre morte, d’un fini vraiment grec ; mais elle est finie dans un autre sens : elle est finie comme tout ce qui ne fut que grec, comme tout ce qui ne s’appuie point à la grande nature humaine, la seule chose qui ne périsse pas ! […] La statuaire, cet art suprême des Anciens, avec sa nudité impassible et ses impudiques perfections, réprouvées par toute société spirituelle, est moins morte que la poésie de Pindare ; car la statuaire c’est de la nature humaine prise, il est vrai, et divinisée par son côté inférieur, mais c’est de la nature humaine, tandis qu’il n’y a plus que du convenu et de l’officiel dans les vers mythologiques de Pindare en l’honneur, qu’on me passe le mot, de boxeurs ou de basques grecs. […] c’est précisément à Bossuet, au biblique et à l’homérique Bossuet, c’est-à-dire à un grand écrivain de nature humaine, qu’il ose comparer ce Pindare qui, hors de son rythme et de son haillon de couleur locale, disparaît et n’existe plus. […] Pour lui, cela est trop évident, l’important n’est pas, comme il devrait être, de déterminer souverainement et une fois pour toutes, avant d’arriver à ce genre de poésie qui s’appelle la poésie lyrique, l’influence de la moralité sur la pensée, et des idées religieuses, ou pour mieux dire d’une religion vraie, sur la moralité humaine. […] … En Angleterre, c’est Fox et Grey qui l’ont séduit et qui l’entraînent, Grey, un homme médiocre qui n’eut qu’une idée et une attitude, — il n’en faut pas plus en politique, — une idée qui a triomphé moins par la force du talent que par la force d’une situation, dans un pays aristocratiquement organisé, comme l’Angleterre, et Fox, comme lord Grey, parce qu’il représentait le wighisme, qui est le libéralisme anglais, cher à tous les libéraux de France, et non pas pour les raisons humaines tirées de l’âme de Fox, et qui, eût-il tort dans ses opinions politiques, ce qu’il eut souvent, faisaient cependant de son âme une toute-puissance d’orateur !

1047. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « Ernest Feydeau » pp. 106-143

Il a oublié que partout où le sentiment baisse, le paganisme, qui n’est pas de l’histoire et de l’archéologie, mais bel et bien de la nature humaine éternelle, le paganisme remontait ! […] Il fallait peindre le paradis de l’adultère, ce paradis qui est un enfer ; et, pour qu’on en comprît mieux la secrète horreur, les transes et les ignominies, il fallait choisir des créatures d’élection, l’une comme force et l’autre comme pureté, et les rouler dans cet enfer jusqu’à perte de conscience humaine, afin que ceux qui rêvent à la poésie des amours illégitimes et des intimités qui tremblent sussent une fois pour toutes ce qui en est !! […] Il est une règle dans l’observation du cœur humain et de l’art qui l’exprime ; il est une règle qu’il ne faut jamais perdre de vue. […] la faire plus réelle, ne lui donnant que la beauté physique, des trois beautés humaines la moins admirable, et encore, dans la beauté physique, la moins grande, la beauté charnelle et rosé des femmes de Rubens. […] Feydeau, et nul d’entre eux n’y donne l’intérêt élevé, l’intérêt d’art ou de nature humaine que doit avoir toute œuvre qui a la prétention de vivre.

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