Barbier, se déploie librement dans les plus hautes régions de la poésie. […] Ils partagent notre avis et n’osent l’avouer ; ils demandent s’il est utile de dire tout haut ce qu’on pense tout bas. […] Le projet est beau, et digne assurément de tenter les plus hautes ambitions. […] L’histoire de la peinture et de la statuaire parlerait plus haut que l’orgueil blessé. […] Le passé dont il se détourne parle plus haut que son orgueil, et sait bien le contraindre au regret et au repentir.
Cela n’est pas conforme au sens de la vie pour qui voit les choses d’un peu haut. […] Ils se font de l’essence même de la poésie une idée à la fois très haute et très juste. […] De hautes tours qui font de l’ombre. […] On a humilié devant lui les gloires les plus hautes de la littérature de tous les temps. […] Il a de même, au plus haut degré ce qu’on appelle le « sentiment de la nature ».
Burty me fait voir un rouleau de peintures japonaises du plus haut intérêt. […] » Je suis hélé du haut d’une voiture qui rentre. […] De ces anecdotes, la conversation s’envole bientôt plus haut. […] Au haut de la colonne, le Génie brandit son drapeau rouge ; à son pied des marchandes débitent des pommes de terre frites et du café au lait, au milieu d’un étal de vieille ferraille. […] Dans l’encaissement des deux hautes façades de pierre enfermant le boulevard, les chassepots tonnent comme des canons.
. — Ces écrivains dont je parle, ils faisaient de nos plus grands hommes une proie ; ils faisaient de nos dieux une ironie ; ils bouleversaient toutes choses, du haut de cette tribune éclatante, élevée à leur génie. […] Son imagination lui parle plus haut que sa raison. […] Don Juan, seigneur du mont et de la plaine, qui avez haute et basse justice sur vos possessions féodales, ce n’est pas, à vous, à enseigner au pauvre qu’il n’y a pas de Dieu ! […] On n’a pas voulu te croire ; il est vrai que tu n’as pas parlé assez haut et d’une voix assez ferme ; enfin, toi aussi, tu as passé devant le pauvre, sais lui rien donner ! […] toi Lauzun, gentilhomme de haute naissance, d’éclat et de scepticisme (scepticisme !
Tous s’élancent du premier coup aux plus hautes conclusions ; c’est un plaisir que d’avoir des vues d’ensemble ; ils en jouissent et ne songent que médiocrement à construire une bonne route solide ; leurs preuves se réduisent le plus souvent à des vraisemblances. […] Il n’est point, comme les cathédrales du moyen âge, serré, étouffé par les files des maisons, dissimulé, à demi caché, inaccessible à l’œil, sauf dans ses détails et ses parties hautes. […] Quoi de plus différent que deux vies, l’une au niveau du sol avec toutes les portes ouvertes sur la campagne, l’autre juchée et enfermée dans les compartiments étroits d’une haute maison moderne ? […] Il semble même qu’à ce moment l’étude de la grammaire et de la musique cessait pour laisser entrer le jeune homme dans une classe plus spéciale et plus haute. […] s’il voulait se dépouiller, le visage ne paraîtrait plus rien, tant toute sa forme est belle. » Dans cette petite scène qui nous reporte bien plus haut que sa date et jusqu’aux plus beaux temps du corps nu, tout est significatif et précieux.
Chaque génération à son tour est au haut de l’arbre, voit tout le pays au-dessous et n’a que le ciel au-dessus d’elle. […] De Vigny demanda la parole et déclara que cette action lui paraissait d’un plus haut prix et, pour ainsi dire, une perle d’une plus belle eau que les autres. […] Le bon Musset-Pathay, père d’Alfred, ne le prenait pas de si haut, et on ne l’aurait pas cru un fils des croisés. […] Sauzet est un homme d’une haute portée… » Ainsi jugent ces grands historiens, de près et à bout portant. […] Elle manquait aussi de ce que j’appelle la moralité d’artiste et qu’avait à un si haut degré Talma.
Ces quelques points subsistent seuls, comme les têtes des plus hauts rocs dans un continent submergé. […] Certainement il nous fait la leçon et de haut. […] Nulle nation et nul âge ne l’a possédée à un si haut degré que ces Allemands. […] Les Français ne peuvent atteindre du premier coup, comme les Allemands, les hautes conceptions d’ensemble. […] Nous découvrons en nous « quelque chose de plus haut que l’amour du bonheur », l’amour du sacrifice.
Et l’on se demande l’effet produit dans les hautes et sages régions littéraires, par ce démasquement inattendu dans Le Figaro d’une petite levée de plumes, railleuses, blagueuses, batailleuses. […] Ce soir chez Daudet, répétition de la pantomime de Margueritte, où Invernizzi fait la Colombine rose, montée sur de hautes bottines noires. […] Les femmes, un peu fiévreuses, un peu grisées, parlant haut ou chantonnant. […] Prenons la question de plus haut. […] Enfin, Monsieur, vous pontifiez, toutes les semaines, du haut de vos douze colonnes du Temps, comme si vous prêchiez la vraie esthétique théâtrale, la grandissime esthétique de l’École normale.
Néanmoins Votre esprit transcendant n’est étranger à aucun sujet philosophique, et Vous voyez de trop haut pour que rien puisse Vous échapper. […] On veut que l’amour subjugue les plus hautes puissances de l’âme, et qu’il n’y ait rien au-dessus de son empire. […] cette femme se confie assez dans l’action qu’elle commet pour écrire en mourant : qu’elle veillera du haut des cieux sur sa fille . […] Les lumières de la raison sont bien vacillante dans des questions si hautes, et je m’en tiens au dogme du sacrifice, c’est celui-là dont je ne puis douter. […] Guilford a levé les yeux vers ma prison, puis il les a portés plus haut, je l’ai compris : il a continué sa route.
L’auteur, à contre-cœur, admirait les corrections tout bas, et tâchait tout haut d’en rabaisser l’importance, jusqu’à ce qu’enfin sa vanité, blessée de tant devoir à un si jeune homme et de rencontrer un maître dans un écolier, finit par le retirer d’un commerce où il profitait et souffrait trop. […] Encore est-il bon de sentir et de penser avant d’écrire ; il faut une source pleine d’idées vives et de passions franches pour faire un vrai poëte, et à le voir de près on trouve qu’en lui, jusqu’à la personne, tout est étriqué ou artificiel ; c’est un nabot, haut de quatre pieds, tortu, bossu, maigre, valétudinaire, et qui arrivé à l’âge mûr ne semble plus capable de vivre. […] Ils ont saisi ces vérités universelles et limitées qui, étant situées entre les hautes abstractions philosophiques et les petits détails sensibles, sont la matière de l’éloquence et de la rhétorique, et forment ce que nous appelons aujourd’hui les lieux communs. […] La conception n’est pas bien haute : ce Dieu écourté, qui fait son apparition au commencement du dix-huitième siècle, n’est qu’un résidu ; la religion éteinte, il est resté au fond du creuset, et les raisonneurs du temps, n’ayant point d’invention métaphysique, l’ont gardé dans leur système pour boucher un trou. […] Un plébéien génevois, protestant et solitaire, que sa religion, son éducation, sa pauvreté et son génie avaient mené plus vite et plus avant que les autres, vint dire tout haut le secret du public, et l’on jugea qu’il avait découvert ou retrouvé la campagne, la conscience, la religion, les droits de l’homme et les sentiments naturels.
Jamais guerriers d’une âme plus haute ne se rendirent chez un roi en plus superbe façon. […] Il fixa au haut de sa lance une banderole rouge. […] Il porte le cœur haut: quel que soit son père, il est certes un bon guerrier ! […] On voyait des rois puissants la précéder, portant la couronne, puis maints hauts princes et d’illustres guerriers rendre de grands honneurs à la Reine. […] Au moment même où Dancwart se présentait à la porte, on portait çà et là, de table en table, Ortlieb, le prince de haute lignée.
Oublié du roi, sans ressources, il accepta la place de secrétaire et d’aumônier de lord Berkeley, nommé à de hautes fonctions en Irlande. […] Pour le peuple même, la religion n’est pas inutile ; il n’y croit pas plus que les hautes classes ; mais il s’en sert pour faire tenir les enfants tranquilles, et s’en amuse pendant les longues soirées d’hiver. […] est-elle restée, pour plaire à son adorateur, dans ces hautes régions romanesques, ou descend-il pour elle à agir avec une fin moins séraphique, ou pour tout concilier, associent-ils les livres et l’amour ? […] Il avait été question d’une union des Whigs et des Tories contre Walpole ; le prince y semblait disposé, et c’est ce que Swift avait indiqué en donnant à l’héritier du trône de Lilliput un talon haut et un bas talon. […] C’est de plus haut qu’il faut juger de telles existences, puisqu’elles laissent des traces qui intéressent le genre humain.
C’est par ces chemins creux que les bois de la contrée, sa seule richesse, descendent, après les coupes, sur la rive gauche de la rivière d’Ouche, qui roule plutôt qu’elle ne coule des hauts plateaux de la Bourgogne vers la ville de Bossuet. […] Ce monticule, taillé en gradins très larges, était ombragé d’une forêt régulière d’arbres minces et à haute tige, tels que des frênes, des saules, des peupliers. […] » Pénélope, ravie en secret d’admiration, retourne dans sa chambre haute avec ses servantes ; elle y pleure, en souvenir de son époux absent, jusqu’à ce que le sommeil pèse enfin sur ses paupières. […] « Cependant Télémaque descend dans le vaste et haut cellier de la maison de son père, où étaient déposés les habits dans des coffres, et l’huile odorante (la richesse d’Ithaque) dans de nombreuses jarres. […] Ce soir je les prendrai au moment où ma mère montera dans ses chambres hautes pour retrouver sa couche.
Ce problème que nous abordons est donc de la plus haute importance ; malheureusement, il est encore très imparfaitement connu. […] Il suit de là que des modifications de structure, considérées par les classificateurs méthodistes comme étant d’une haute valeur, peuvent être entièrement dues aux lois de la corrélation de croissance, sans être, autant du moins que nous pouvons en juger, du plus léger service à l’espèce. […] Je puis seulement formuler ma conviction que c’est une règle de haute généralité. […] Lorsqu’un organe présente chez une espèce un développement considérable ou en quelque chose anormal, il y a grande présomption qu’il est de haute importance à cette espèce ; néanmoins il est encore en pareil cas éminemment sujet à varier. […] Quoique l’Âne n’ait que quelquefois des raies sur les jambes, que l’Hémione n’en ait point, et n’ait pas même la raie scapulaire, cet hybride avait néanmoins les quatre jambes rayées, et trois courtes raies scapulaires comme celles du Poney gallois et du Poney du Devonshire dont j’ai parlé plus haut.
L’individu a son expression la plus haute et exerce son action la plus forte dans une discipline librement consentie. […] Or il est vrai que l’art n’a qu’un seul but : la beauté ; l’art n’a pas à se préoccuper de la morale ; c’est une vérité qu’il faut proclamer bien haut ; pour ma part je la défends depuis vingt ans. […] Croce reproche à D’Annunzio, dans les termes que j’ai cités plus haut, a donc des origines plus profondes et des conséquences beaucoup plus graves que M. […] Aujourd’hui encore je la crois non pas nécessaire, mais du moins fort utile à la concentration dramatique ; pour les raisons pratiques énoncées plus haut, et pour une raison psychologique bien plus profonde. […] Quand nous nous réveillons d’entre les morts (1899) ; trois actes : une station de bains sur la côte de Norvège — un sanatorium de haute montagne — la montagne.
A défaut de dérangements physiques, ce sont les douleurs morales qui arrivent comme une condition de la haute pensée, du sentiment profond et du génie. […] Une doctrine de conciliation si haute en des instants si irrités ne fut que peu saisie, comme bien l’on pense, et, auprès du petit nombre de ceux qui la comprirent, elle ne fut accueillie ni dans un camp ni dans un autre. […] … » Tout ce morceau est d’une haute vigueur de pensée et d’une belle effusion de cœur : je me figure le geste clément de Fénelon s’il avait béni le cercueil de Bossuet et proféré son oraison funèbre. […] Son Orphée dut résumer les quinze siècles de l’humanité, qui, en dehors du cercle de nos traditions religieuses, sont placés en avant des temps historiques : Orphée dut être une espèce de Genèse du haut paganisme. 2° Si M. […] Je l’avais rencontré quelquefois chez Mme de Souza, et il se prévalait de cette circonstance pour obtenir de moi haut la main l’insertion de la lettre dans la Revue.
« Plaines cultivées, collines arrondies, ondes limpides, rives ombreuses, molles prairies, bosquets de jeunes tiges de lauriers-roses, cèdres, palmiers, orangers chargés de fruits et de fleurs, groupés et entrelacés en formes diverses, mais toutes gracieuses, faisaient un dais contre les ardeurs de l’été avec leurs épaisses ombrelles, et parmi les branches s’abritaient en pleine sécurité, chantaient et voletaient les rossignols… « Près de là, auprès d’une fraîche source entourée de cèdres et de palmiers féconds, Roger dépose son bouclier, découvre son front de son casque, et, tantôt vers la plage de la mer, tantôt vers la montagne, il tourne son visage pour se faire caresser les joues par les brises fraîches et embaumées qui, sur les hautes cimes, font frissonner avec de gais murmures les feuilles des hêtres et des chênes. […] « En parcourant des pas et du regard les alentours de la grotte, il vit des caractères gravés sur l’écorce de tous les arbrisseaux qui croissaient auprès de la source, et aussitôt qu’il y eut attaché les yeux avec attention, il fut trop convaincu que ces caractères étaient gravés par la main de sa divinité terrestre ; cet antre et cette source étaient un des sites que j’ai décrits plus haut, que la belle reine du Cathay avec son cher Médor fréquentaient le plus souvent, parce que c’était le lieu de repos le plus voisin de la cabane du berger. […] XI Tout à coup Arioste redevient grave en faisant parcourir à Bradamante la galerie d’un château enchanté dans lequel des tableaux prophétiques font apparaître d’avance à ses yeux toute l’histoire de la maison d’Este, mêlée à l’histoire de l’Europe moderne ; il s’élance de là à la suite d’Astolphe monté sur l’hippogriffe, et qui jetait du haut des airs un coup d’œil géographique sur l’univers. […] Un petit bois descendait en pente douce jusqu’à la mer ; le laurier, le myrte, le genièvre, le palmier chargé de dattes, et des arbres fruitiers, y croissaient sans culture, et leur fraîcheur était entretenue par une fontaine pure qui, du haut du rocher, se distribuait en filets et tombait en petites cascades entre ces arbres féconds. […] Veuillez agréer, avec l’expression de mes regrets, l’assurance de ma haute considération.
Il est tout occupé à demander pardon de sa haute fortune. […] Il est fils d’un bâtard de Henri IV, de haute mine comme de haute lignée, avec une chevelure blonde qui encadre son visage de boucles superbes ; mais ce Phébus-Apollon écorche le français ; il bavarde à tort et à travers ; il est coutumier des quipropos les plus saugrenus. […] Un d’entre eux obtint cependant un jour l’insigne faveur d’être écouté et le roi avoua qu’il n’avait jamais ouï parler si bien ; mais cela ne l’empêcha pas, quelques mois plus tard, de donner quinze jours aux ministres de la religion prétendue réformée pour quitter le royaume, de faire condamner aux galères ou à mort ceux qui s’obstinaient à rester, et de faire couvrir par le roulement des tambours la voix de ceux qui, du haut de l’échafaud, essayaient de haranguer la foule. […] On comprend avec quel soin il faut noter les changements de direction qui se produisent dans la politique du : groupe ou de l’homme qui gouverne ; le relâchement ou le resserrement des liens qui garrottent la presse ou le théâtre ; les mille fluctuations de l’atmosphère dans ces hautes régions dont la littérature, comme un baromètre très sensible, subit et reproduit les moindres variations. […] Le drame, la comédie de mœurs, longtemps humiliés au profit de la tragédie, prennent le haut du pavé.
La salle est un vaste amphithéâtre, oblong ; trente rangs de stalles (1345 places) se succèdent, et aboutissent à une galerie de cent places, la galerie des Princes ; au dessus de cette galerie, une autre, très petite, la galerie Haute, a deux cents cinq places : ni l’une ni l’autre ne sont publiques. […] C’était le même Esprit corrupteur que nous avons considéré et jugé déjà plus haut, apportant à la Musique, à ce seul art exercé en Autriche, une conformation et une tendance vraiment abaissantes. […] Et de cette Mélodie vivait, aussi, notre musique instrumentale, dont nous avons, plus haut, fait voir la destination exclusive pour une société brillante, mais nullement artistique. […] Et cette Mélodie naturelle ne pouvait être empruntée, aussi, aux sphères plus hautes de la Société ; car là régnait, souverainement, la Mélodie des chanteurs d’Opéra et danseurs de Ballet, endurcie, et enchaînée, et chargée de tout péché. […] Ce qui caractérise au plus haut degré le Drame Musical, dans chacun de ses éléments composants, c’est le calme majestueux, les proportions monumentales ; seules, les situations décisives nous sont présentées, en de grands traits, sans épisodes accessoires.
Vous ne reconnaîtriez pas que l’étendue convient à tel objet, l’intensité à tel autre, le temps à tel autre, ou que l’étendue convient sous tel rapport, dans telle relation, dans telle mesure, s’il n’y avait pas déjà dans les sensations mêmes ce que vous voulez faire descendre en elles, comme une grâce divine, du haut d’une intuition pure de l’espace infini, homogène et indifférent. Si nous regardons le ciel bleu, les sensations ont toutes la même qualité sous le rapport de la couleur, et cependant nous distinguons ce qui est à droite de ce qui est à gauche, ce qui est plus haut de ce qui est plus bas, etc. […] La grande objection des rationalistes, c’est que la position ne peut jamais être une sensation, parce qu’elle n’a rien d’intrinsèque ; elle ne peut exister qu’entre un point, une ligne, etc., et des coordonnées extérieures. — Sans doute, comme nous l’avons remarqué plus haut, une seule sensation ne peut donner aucune idée de place ; mais nous avons vu aussi qu’un ensemble de sensations, rétiniennes ou cutanées, enveloppe des relations d’abord confuses de places, dont on peut abstraire par l’attention des positions déterminées. […] La série des efforts et résistances dans le sens vertical, bas et haut, se distingue nettement d’une série d’efforts horizontale, d’arrière en avant par exemple. […] Lachelier distingue trois idées pures de l’être, dont « la plus haute, naît d’un libre vouloir et n’est réellement que liberté ». « Cette idée, ajoute-t-il, n’a pas, à proprement parler, d’image sensible ; mais elle se réalise dans la pensée appliquée ou empirique, qui réfléchit sur la conscience sensible et affirme l’existence des éléments qui la constituent. » Ainsi naissent les formes à priori.