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383. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « La Femme et l’Enfant » pp. 11-26

L’économiste semble si sûr de son résultat scientifique que son émotion y perd, et qu’avec de l’émotion il aurait fait, peut-être, un livre éloquent, ce qui vaut toujours mieux qu’un livre didactique.

384. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XVIII. Lacordaire »

D’ailleurs, il y a l’émotion et la voix transfigurant cette langue qui passe et dont il ne reste dans le souvenir qu’un écho ! […] Mais sur ces pages qui restent là, qu’on peut reprendre et qu’on peut relire pour les juger, ce traître style écrit, qui n’a ni la voix, ni le geste, ni l’émotion de la chaire qu’on a sous les pieds, ni les mille yeux attentifs du public qu’on a devant soi, ce traître style écrit dénonce la médiocrité, ou le néant, ou les défauts de l’écrivain.

385. (1869) Philosophie de l’art en Grèce par H. Taine, leçons professées à l’école des beaux-arts

Pour eux, cet « enthousiasme » est la piété, et, après avoir débordé par la tragédie du côté des émotions grandioses et solennelles, il s’épanche encore dans la comédie du côté des bouffonneries folles et de la licence voluptueuse. […] Un méridional, un Grec, est naturellement vif d’esprit, bon et beau parleur ; les lois ne se sont pas encore multipliées, enchevêtrées en un Code et en un fatras ; il les sait en gros ; les plaideurs les lui citent ; d’ailleurs, l’usage lui permet d’écouter son instinct, son bon sens, son émotion, ses passions, au moins autant que le droit strict et les arguments légaux. — S’il est riche, il est imprésario. […] Concevons dans un climat semblable, sous un ciel encore plus beau, en de petites cités où chacun connaît tous les autres, des hommes aussi Imaginatifs et aussi gesticulateurs, aussi prompts à l’émotion et à l’expression, d’une âme encore plus vive et plus neuve, d’un esprit encore plus inventif, plus ingénieux, plus enclin à embellir toutes les actions et tous les moments de la vie humaine. […] C’est ce genre particulier d’émotions et de croyance qu’il faut se représenter lorsqu’on veut pénétrer un peu avant dans l’âme et dans le génie de Polyclète, d’Agoracrite ou de Phidias. […] Suivons une de leurs processions, celle des grandes panathénées, et tachons de démêler les pensées et les émotions d’un Athénien qui, mêlé au cortège solennel, venait visiter ses dieux.

386. (1890) Causeries littéraires (1872-1888)

Je ne reçois jamais un volume de vers sans éprouver une émotion toute particulière. […] Je m’associe à ses joies et à ses douleurs ; je m’abandonne sans réserve à l’émotion que fait naître en moi son émotion toujours franche. […] Le contraste entre le supplice des victimes et la nonchalance apathique du bourreau ajoute encore à mon émotion. […] Il ne traduit que les vibrations intérieures, les impressions du cœur, les émotions de l’âme. […] Un seul suffit pour exprimer l’émotion qu’a produite la vue des choses du dehors ; c’est à nous, en présence de cette émotion, de reconstituer le tableau.

387. (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxiiie entretien. Littérature russe. Ivan Tourgueneff »

Zverkoff détourna la tête et s’enveloppa chaudement dans son manteau, en comprimant avec courage l’émotion qui l’agitait. […] Quelles douces émotions tu ressentais à la lecture d’une pièce de vers ou d’une nouvelle attachante ! […] Lorsque tu pris congé de tes amis, ton émotion était profonde ; de tristes pressentiments t’agitaient. […] Sa voix ne tarda pas à se développer, et il entonna une chanson mélancolique. « Plus d’un sentier traverse la plaine. » Ces paroles produisirent une émotion générale. […] Sa voix ne tremblait plus ; elle n’accusait plus que l’émotion de la passion, cette émotion qui se communique si rapidement aux auditeurs.

388. (1898) Émile Zola devant les jeunes (articles de La Plume) pp. 106-203

Grâce à lui notre conception du monde deviendra plus haute et plus forte ; nous sentirons en notre être éperdu se clarifier nos émotions amoureuses : une brume se dissipe entre la terre et nous. […] C’est ainsi qu’après le Romantisme, qui fut essentiellement un art d’émotion, de lyrisme et de liberté, nous voyons naître l’école parnassienne affirmant surtout des principes restrictifs, subordonnant le culte de l’émotion à celui de la forme, répudiant le désordre lyrique, et qui préfère, pour tout dire, la règle au génie. […] Et la lutte qu’eut à soutenir le Naturalisme présente cette particularité, par quoi elle se distingue des précédentes querelles littéraires, que son retentissement immédiat fut considérable, et que, dans cette circonstance, à l’émotion des lettrés se mêla le grondement populaire. […] Or cette émotion permanente, renouvelée et avivée à chaque ouvrage, suffirait déjà à dénoncer la présence réelle d’un génie créateur, à révéler sa puissance et à nous affirmer que le grand auteur de l’Œuvre et de Germinal demeure, en vérité, la plus vivante incarnation de cette seconde moitié du xixe  siècle, bouleversée par les découvertes scientifiques, par la montante marée des foules en rumeur, par le tragique fracas des industries ; et la haine qu’il provoqua suffirait à démontrer l’éternité de cet homme, émouvant et splendide comme une époque faite chair. […] En attendant, accoudés à nos fenêtres hautes, nous regardons, avec une émotion religieuse, poindre l’aube là-bas, l’aube de la justice humaine, l’aube d’une humanité plus grande.

389. (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1895 » pp. 297-383

Il ne voyait rien de ce qui se passait, et avait seulement l’écho de l’émotion populaire par des gamins, montés sur des arbres. […] une vilaine soirée, cette soirée dans l’émotion de l’incendie, et cependant j’ai fait tout de même dans cette soirée, les trente lignes sur les pointes-sèches d’Helleu, qu’il m’a demandées pour une exposition à Londres, et qu’il doit venir chercher dimanche. […] Jeudi 21 février Cette vie d’émotion ne vous donne pas une souffrance mais une anxiété physique, dont le sommeil et les digestions se ressentent. […] M. le Président de la République a bien voulu, sur ma proposition, vous conférer le grade d’officier de la Légion d’honneur, et vous accepterez que je vous en remette cordialement, les insignes. » Et l’émotion que j’ai ressentie, a été partagée par l’assemblée, dont les applaudissements ont été frénétiques. […] Je suis revenu, un superbe panier de fleurs à la main, un panier mis devant moi, pendant le repas, et que, dans mon émotion, je n’avais pas regardé attentivement, ayant pris seulement connaissance du billet de Mme Mirbeau, qui me l’avait envoyé.

390. (1903) Articles de la Revue bleue (1903) pp. 175-627

Des mots sublimes, des phrases d’une ampleur somptueuse ou d’un pittoresque amusant, mais rarement de l’émotion vraie, et plus rarement encore de ces visions d’absolu comme on en trouve chez Shelley par exemple, qui est de tous les poètes celui qui existe le plus dans l’avenir. […] Une idée ou une émotion très fortes sont données ; il se produit aussitôt, dans la conscience, un travail d’organisation des images et des idées, ce que Stendhal a appelé d’un mot heureux : une « cristallisation ». […] Certaines émotions demandent à s’énoncer de préférence dans le vers régulier qui convient admirablement à la pensée philosophique ou au grand lyrisme soutenu. […] Le verbe eurythmique, qui est la traduction directe de l’émotion intérieure, est un instrument excellent pour le lyrisme élégiaque, pour la rêverie et aussi pour le théâtre. […] Une seule chose apparaît nécessaire : c’est d’énoncer pour le mieux des émotions vraies et profondes, ou des vérités nouvelles.

391. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Manuel, Eugène (1823-1901) »

Bien que l’une de ces inspirations domine, elles se rencontrent, à plusieurs reprises, sans se confondre, dans l’émotion du poète : chacune a son contrecoup distinct dans l’âme du lecteur.

392. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Pommier, Amédée (1804-1877) »

Jules Barbey d’Aurevilly Il est des poètes comme, par exemple, M. de Lamartine, dont je serais au désespoir de diminuer la grandeur, qui n’ont pour ainsi dire qu’une âme de profil ; mais celle du poète qui a osé écrire l’Enfer après Dante et qui vient de chanter Paris, est une âme de face, largement ouverte à toutes les émotions et à tous les contrastes, qui sait rire jusqu’aux lapines et pleurer jusqu’au rire, comme pas un de bous !

393. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Henriette d’Angleterre » pp. 7-9

La tragédie de cette mort, que Bossuet raconte avec des éclats de tonnerre, madame de La Fayette nous la dit avec cette émotion contenue de grande dame de son temps, où le cœur ne rompait pas le busc, et où la Convenance, sœur de l’Opinion et reine comme elle, n’empêchait pas les larmes de naître, mais les empêchait de tomber.

394. (1860) Cours familier de littérature. IX « XLIXe entretien. Les salons littéraires. Souvenirs de madame Récamier » pp. 6-80

Un frisson en courut sur ma peau ; j’étais encore jeune, et le souvenir d’une voix pareille, depuis peu à jamais éteinte, ajoutait à mon émotion ; cette voix faisait tinter les dents comme les touches d’ivoire d’un clavier mouillé par les lèvres ; on l’entendait au fond de la poitrine. […] maintenant je comprends l’émotion que cette céleste figure a donnée au monde dans sa fleur, et tout ce qui m’étonne c’est que cette émotion ne se prolonge pas jusque dans sa maturité ! […] XXVI Il y avait plus de bienséance que d’émotion dans ces applaudissements ; les mains battaient sans le cœur ; on payait en complaisance pour madame Récamier et en respect pour un grand écrivain le privilège qu’on avait eu d’assister à cette demi-publicité d’initiés dans un salon tenu par la beauté et décoré par le génie. […] On se retira avec une émotion factice, mais avec un respect réel ; on laissa M. de Chateaubriand, peu satisfait, se consoler avec madame Récamier et avec ses familiers les plus intimes des petits déboires de la soirée.

395. (1868) Cours familier de littérature. XXVI « CLIIIe entretien. Madame de Staël. Suite. »

Nulle part elle ne fut plus femme que dans Delphine ; elle ne perdit pas un enthousiasme, elle conquit des émotions. Elle méditait dès ce moment Corinne, son œuvre la plus lyrique, où elle voulait fondre ensemble l’émotion et l’enthousiasme pour éblouir à la fois l’imagination par le génie et pénétrer le cœur par l’amour. […] Il avait singulièrement bonne grâce à cheval, et son émotion ajoutait encore à la noblesse de sa figure. « Savez-vous, me dit-il, que le duc d’Enghien a été enlevé sur le territoire de Baden, livré à une commission militaire, et fusillé vingt-quatre heures après son arrivée à Paris ?  […] De beaux vers ne sont pas de la poésie ; l’inspiration dans les arts est une source inépuisable qui vivifie depuis la première parole jusqu’à la dernière : amour, patrie, croyance, tout doit être divinisé dans l’ode, c’est l’apothéose du sentiment ; il faut, pour concevoir la vraie grandeur de la poésie lyrique, errer par la rêverie dans les régions éthérées, oublier le bruit de la terre en écoutant l’harmonie céleste, et considérer l’univers entier comme un symbole des émotions de l’âme. […] « Il serait plus aisé de décrire les symptômes du talent que de lui donner des préceptes ; le génie se sent comme l’amour par la profondeur même de l’émotion dont il pénètre celui qui en est doué ; mais si l’on osait donner des conseils à ce génie, dont la nature veut être le seul guide, ce ne serait pas des conseils purement littéraires qu’on devrait lui adresser ; il faudrait parler aux poëtes comme à des citoyens, comme à des héros, il faudrait leur dire : — Soyez vertueux, soyez croyants, soyez libres, respectez ce que vous aimez, cherchez l’immortalité dans l’amour, et la divinité dans la nature ; enfin, sanctifiez votre âme comme un temple, et l’ange des nobles pensées ne dédaignera pas d’y apparaître. » Ne croit-on pas entendre la poésie elle-même devenue ce que Dieu l’a faite, la sibylle de la nature et la prêtresse du cœur humain ?

396. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome premier — Livre premier. La sensation, dans son rapport à l’appétit et au mouvement — Chapitre premier. La sensation »

En vertu de cette loi, c’est le rapport des sensations aux émotions agréables ou pénibles, d’une part, et, d’autre part, aux mouvements correspondants, — mouvement en avant ou mouvement de recul, — qui a déterminé, parmi toutes les sensations possibles, le triage des plus avantageuses à l’individu : celles-ci, par une série de différenciations et d’intégrations, sont parvenues à un degré d’intensité, de durée et de qualité capable de les rendre distinctes dans la conscience. […] Ces sensations enveloppent, encore aujourd’hui, des formes d’émotion agréable ou pénible ; seulement, la vivacité du plaisir et de la douleur s’y étant émoussée peu à peu, elles ont acquis un caractère plus voisin de l’indifférence, une physionomie moins affective et plus représentative. La fusion en un tout d’une multitude de plaisirs ou de peines à l’état naissant a fini par paraître étrangère au plaisir et à la peine, mais ne vous laissez pas prendre à cette apparence : toute sensation de chaleur ou de fraîcheur est du plaisir ou de la peine qui commence, c’est de l’émotion qui s’apprête et sollicite la volonté, c’est un ébranlement qui se prépare à passer de l’état moléculaire à l’état massif. […] Nous nommons donc sensation tout état complexe dans lequel domine l’élément de réceptivité, quoiqu’il y ait toujours en même temps émotion et motion. […] Il se répand d’abord par diffusion, et c’est, nous le verrons plus loin, le moment qui correspond à l’émotion.

397. (1857) Cours familier de littérature. III « XIVe entretien. Racine. — Athalie (suite) » pp. 81-159

Or, souvenez-vous de la définition que nous avons admise en commençant ces Entretiens : La poésie est l’émotion par le beau. […] Ces hérésiarques ne veulent que l’émotion, ils oublient que l’émotion par le laid s’appelle tout simplement l’horreur. Nous voulons, nous, de l’émotion et du beau. […] Quand nous ne voudrons qu’être émus, nous irons au pied d’un échafaud, et nous regarderons tomber la tête d’un supplicié sous le couteau qui glisse et qui tue ; mais quand nous voudrons de l’émotion par le beau, nous irons assister à Athalie, écrite par Racine, récitée par Talma ou par Mlle Rachel.

398. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Deuxième partie. — Chapitre XVIII. »

Avec l’attrait de curiosité qui nous fait épier et réunir les mille rayons épars, à longues distances, dans les vastes cieux de l’imagination, il nous serait aisé d’apercevoir un rapport d’émotions entre ces élans de mystique amour et les prières de plus d’un pieux sectaire moderne. […] Il la confondra presque dans la même croyance, l’embrassera du même amour ; et une veine inconnue d’émotion et de poésie naîtra de ce culte de l’âme, qui n’est pas l’orgueil idéal du stoïcien s’égalant à Dieu, mais qui se compose de foi, d’amour et d’espérance. […] Partout la pensée semble subtile, les distinctions presque insaisissables ; et pourtant le sentiment est vrai, l’émotion, intime et profonde : le philosophe naguère attaché à la terre, y souhaitant, y croyant trouver encore la gloire et la paix, n’aspire plus qu’aux béatitudes éternelles. […] Quelque chose de leurs accents altiers ou gracieux semble se retrouver ici, pour un ordre de croyances et d’émotions si peu soupçonné de ces poëtes et si nouveau pour le monde. […] Il appartient à l’art, en quelque sorte, plus qu’à la religion ; et cependant cet art, qu’il aimait, et auquel les épreuves et les émotions de sa vie le ramenaient sans cesse, ne nous a laissé que des chants religieux : ni les maux de sa patrie ni ses douleurs privées ne se retrouvent dans ses vers.

399. (1920) Essais de psychologie contemporaine. Tome I

L’émotion a été si douce et si forte, qu’une fois partie, elle n’a plus laissé de place à des substitutions d’une intensité inférieure. […] D’ailleurs les dispositions de Flaubert adolescent ont été dépeintes par lui dans une des rares pages où il ait confessé publiquement quelque chose de ses émotions personnelles. […] Il cherche avec angoisse la fontaine d’émotions pieuses qui jadis s’épanchait du ciel dans son cœur. […] Un monde intérieur s’agite en nous : idées, émotions, volitions, qui nous suggère des images d’un ordre entièrement distinct de l’autre. […] De même pourtant que l’imagination philosophique est la maîtresse pièce de son intelligence, de même l’émotion philosophique est la maîtresse pièce de sa sensibilité.

400. (1876) Romanciers contemporains

Les moyens qu’il a d’exciter l’émotion sont infinis. […] L’émotion y est communicative. […] L’art, en effet, s’adresse uniquement à l’intelligence ; l’art est le langage de l’âme ; l’art n’existe, l’art n’est vraiment divin, comme l’ont fait les anciens, que s’il subordonne l’émotion des sens à l’émotion de l’esprit. […] Et, ces effets extraordinaires obtenus, l’auteur nous refuse sa pitié, son émotion, sa passion ! […] Oui l’émotion est dans « la conception ».

401. (1911) Psychologie de l’invention (2e éd.) pp. 1-184

Il est probable que tous les auteurs éprouvent à divers moments ces émotions agréables et ces émotions pénibles, mais les unes ou les autres prédominent d’une manière visible chez certains d’entre eux. […] Tarde, en faisant remarquer toutefois que l’émotion en ce cas n’a pas été, sans doute, purement intellectuelle. […] George Eliot semble bien, d’après le fait que je rapportais tout à l’heure, avoir dû le germe d’Adam Bede à une émotion d’ordre sympathique. […] « L’indignation crée le vers » et l’on trouve que bien d’autres émotions ont pu déterminer la production d’œuvres très différentes. Bien souvent les œuvres strictement scientifiques ne peuvent guère profiter de ces émotions que d’une manière assez indirecte, ce sont surtout les émotions d’ordre intellectuel que nous pouvons remarquer en étudiant leur genèse.

402. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Gille, Valère (1867-1950) »

Paul Laur Je mets au défi tout cœur de vingt ans que la vie n’a pas encore racorni de lire la Cithare sans une émotion profonde.

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