Ce silence universel des gens de Lettres seroit lui-même un jugement terrible, si l’on étoit accoûtumé à les voir se réunir pour rendre un témoignage éclatant aux actions vraiment glorieuses.
Mais le Pastorianisme aura sans doute laissé le souvenir d’une amusante panacée… Toutes ces petites bêtes, ou prétendues telles, ces spirilles, ces cocci, ces bâtonnets, ces jus, ces sauces, ces sérums, dont on discutera pour savoir si vraiment ils guérissaient en 1900, formeront un ensemble pittoresque, dont se divertiront, ou sur lequel s’attendriront (selon les humeurs), nos arrière-neveux.