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1178. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. RODOLPHE TÖPFFER » pp. 211-255

Töpffer nous paraît à ceci une contradiction heureuse, d’autant plus heureuse que ce n’est pas un romancier simplement issu de Genève et qui se soit exercé sur des sujets étrangers, mais un romancier du cru et qui a vraiment racine dans le sol. […] dans cette vie, y aurait-il lieu vraiment à la moindre rouille pour l’esprit, pour le goût ?

1179. (1859) Cours familier de littérature. VIII « XLVIIIe entretien. Littérature latine. Horace (2e partie) » pp. 411-480

Quiconque a lu cette ode vraiment pindarique ne peut refuser à Horace les ailes de Pindare, si le voluptueux Romain avait voulu livrer plus souvent ses ailes légères au souffle du lyrisme politique ou du lyrisme sacré. […] Si ton corps est sain, si tes flancs respirent librement, si tes pieds sont à l’aise, toutes les richesses des rois ne t’achèteront rien de mieux. » Une épître charmante à son jardinier d’Ustica, qui a servi de modèle à celle de Boileau au jardinier d’Auteuil, est pleine d’un charme vraiment rural.

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