que, disons-nous, il prendra de Baudelaire de mêmes thèmes d’inspiration, imités même, tel le poème du « Guignon », et que, dans la « Brise marine », c’est l’exotisme de « l’Invitation au Voyage », qui à son tour requiert l’admiration éparsement vibrante de Mallarmé hanté des mâtures en les ports des îles entrevues !
Franchet, et elle m’avait dénoncé à celle de l’Allemagne pendant un voyage que je fis alors au-delà du Rhin.