Les leçons qui composent la première et la seconde section de ce troisième volume, ont été publiquement prononcées en 1815 et 1816.
Pour mon compte, quand j’aurai fini ce volume que je commence, je ne manquerai pas de relire Platon tout entier, ce qui sans doute me dégoûtera de mon livre, mais me fera prendre un tout nouveau plaisir aux siens. […] Il faudrait écrire une Imitation de Socrate en autant de volumes qu’il sera nécessaire ou expédient.