Le grand roman de l’époque, Le Rouge et le Noir, est le roman de la volonté. […] Je dis des perfections et non des volontés. […] Il y a en lui une volonté de domination, une puissance d’absorption comparables à ceux de la race anglo-saxonne. […] Une volonté de douleur, nous la trouvions bien dans l’Alissa de La Porte étroite. […] Cette volonté de souffrance que je crois y discerner, M.
Il nous a semblé que l’esprit de liberté n’est pas de sa nature et nécessairement plutôt négatif qu’affirmatif, qu’il n’est autre chose que la volonté de ne décider qu’après examen : ce qui ne peut pas préjuger d’avance le résultat de cet examen.