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1780. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Chamfort. » pp. 539-566

Sa voix était flexible, ses modulations suivaient les mouvements de son âme ; mais, dans les derniers temps de mon séjour à Paris, elle avait pris de l’aspérité, et on y démêlait l’accent agité et impérieux des factions.

1781. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Sieyès. Étude sur Sieyès, par M. Edmond de Beauverger. 1851. » pp. 189-216

Il avait une voix charmante, « un peu faible et voilée dans la conversation, mais douce et expressive dans le chant29 ».

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