Ces sons de voix, ces mots, ces sourires de femme Où l’âme d’une mère est visible à l’enfant ; Quand vous voudrez rêver du ciel sur cette terre, Que de pleurs sans motif vos yeux déborderont ; Quand vous verrez des fils sur le sein de leur mère, Qu’un père entre ses mains vous cachera le front, Venez sur cette tombe, où l’herbe croît si vite, Vous asseoir à ses pieds pour prier en son nom, Appeler Léontine, et du ciel qu’elle habite Implorer son regard, dont Dieu fasse un rayon !
C’est bien dommage qu’on ne puisse pas nous prôner ce tintamarre de quinze voix proférant les mêmes paroles sur des tons divers, avec plus ou moins de rapidité.