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783. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. BRIZEUX (Les Ternaires, livre lyrique.) » pp. 256-275

Les plus tendres de cœur à Rome apporteront Quelques fleurs des landiers pour réjouir ton front ; Mais là-bas, près des mers, sous ta sombre chapelle, Fête-les au retour, bon Saint, et souris-leur Quand sur ton humble autel ils mettront une fleur De la Ville éternelle. […] La pièce du Vieux Collège nous raconte un touchant retour en quelque ville de Flandre (Arras ou Douai), où le poëte fut élevé, et qu’il n’avait pas revue depuis longtemps.

784. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « GLANES, PÖESIES PAR MADEMOISELLE LOUISE BERTIN. » pp. 307-327

Il était difficile, il pouvait sembler téméraire, après André Chénier, d’aborder dans un même cadre le mendiant sublime ; car, chez mademoiselle Bertin comme chez André, c’est tout simplement l’antique légende, l’Aveugle harmonieux, errant, arrivant dans quelque ville ou bourgade, et payant l’hospitalité par des chants. […] » Et nous, en retour, nous porterons votre renom aussi loin que nous pourrons aller sur la terre à travers les villes populeuses ; et l’on nous croira, parce que c’est vrai. » Dans l’Aveugle de Chénier, le procédé composite, que j’ai tant de fois signalé, se décèle particulièrement.

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