Mon intimité commençait à se former avec cette nature que j’ai tant aimée, et qui m’a payé mon culte par tant de vives jouissances : intimité qui ne s’est jamais interrompue ni affaiblie, et qui ne cessera que dans mon tombeau. […] « Aussi une joie pure et vive, une sorte de volupté paisible, embellirent-elles les années de ma jeunesse, remplies de ces observations qui préludaient à de plus pénibles travaux, et qui me ravissaient. […] « Ce fut pour moi une vive et ardente joie. […] « Mon père crut découvrir dans ce penchant si vif une aptitude naturelle pour les arts du dessin. […] Il souffrait en silence ; ses traits, malgré la vive douleur qu’il éprouvait, conservaient leur dignité fière ; il était bien fait, agile, dispos ; sa physionomie, intelligente et candide.
La bête est vive ; le cavalier la mène où il veut. […] Vive la république française ! […] Seulement, si le héros du roman nous déconcerte par quelque bizarrerie trop vive, — trop vive, à nos yeux, — nous nous désintéressons de lui, malgré nous. […] vive la République ! […] Le peintre n’a épargné ni les vives couleurs, ni les lignes hardies.