/ 2093
1206. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre X. Première partie. Théorie de la parole » pp. 268-299

La beauté est, pour la femme, la grâce unie à un sentiment moral ; pour l’homme, la grâce unie à la force et à un sentiment généreux : la vertu, pour les deux sexes, est la poésie en action : le sublime dans les arts est une des vues les plus élevées du génie : le goût, résultat d’une civilisation avancée, est le tact des convenances et des proportions. […] L’homme tout seul peut bien avoir des sentiments nobles et généreux, puisqu’il y a des vertus obscures, des sacrifices ignorés ; mais comment l’homme aurait-il conçu de tels sentiments s’il n’eût pas vécu avec ses semblables ?

1207. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « V. M. Amédée Thierry » pp. 111-139

Il y a les Saints, ces pères du monde moderne, qui créaient une civilisation inconnue de miracles, de foi et de vertus ! […] Voilà la vertu des Barbares !

/ 2093