Quelqu’un reproche à la comédie qu’on vient de voir, de manquer précisément d’action, et de consister toute en des récits que vient faire ou Agnès ou Horace.
Au moment où le cœur se passionne pour un de ses paladins ou pour une de ses paladines, il rompt lui-même le charme qu’il vient de créer, il ajourne à un autre chant la fin de l’aventure, il prend un autre fil de sa vaste trame, et il l’embrouille encore dans un autre épisode.