Le duc d’Albe disait qu’une hure de saumon valait mieux que mille grenouilles. […] Travaillées de plus près, les autres pages valent moins.
Elle ne vaut pas qu’on s’y arrête. […] Chose rare, et qu’il faut savoir apprécier ce qu’elle vaut, l’émotion que le poète ressent et qu’il donne, cette émotion, contenue et continue, qui est le caractère de son poème, ne cesse pas une minute, dans ce récit en vers de plus de trois cents pages.