Lequel valait le mieux pour toi d’être l’appui de ton vieux père qui se meurt de douleur, de ta femme qu’on cherche à séduire depuis vingt ans quoiqu’elle n’en vaille pas la peine, de ton fils que les princes voisins vont dépouiller, de gouverner tes sujets avec sagesse, de nous rendre heureux en nous laissant pratiquer sous nos cabanes des vertus que tu aurais pratiquées dans ton palais ? Lequel valait mieux de goûter tous ces avantages de la paix et de la vertu, ou de t’expatrier, toi et la plus grande partie de tes sujets, pour aller restituer une femme fausse et perfide à son imbécille époux, qui a la constance de la redemander pendant dix ans ? […] Il vaut mieux l’entendre que moi. […] Qu’il aimait mieux un trait d’amour, Que quatre pages de louanges ; Ce mot seul vaut mieux que tout ce que dit ici La Fontaine à cette dame et à madame de Mazarin.
On ferait, des prétentions et querelles de ces deux pieds inégaux, un apologue qui vaudrait celui des Membres et de l’Estomac. […] Nisard, et il était homme à en faire valoir les avantages. […] Comme critique praticien, il vaut moins que quand il raisonne sur le passé, et il est loin d’avoir le premier diagnostic sûr. […] Nisard ; il rappelle le mot de Chaulieu à Voltaire successeur de Villon, qui vaut mieux et prouve plus, dans sa légèreté. […] C’est bien, et cela vaut la peine d’être pratiqué.