Les lignes imaginaires remplacent ici les lignes réelles ; vous reportez les figures en vous-même, au lieu de les reporter sur le papier : votre imagination fait le même office qu’un tableau ; vous vous fiez à l’une comme vous vous fiez à l’autre, et une substitution vaut l’autre, car, en fait de figures et de lignes, l’imagination reproduit exactement la sensation.
Autant vaudrait dire que rien ne meurt, puisqu’en effet les éléments ne meurent pas.