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1744. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre troisième. Découverte du véritable Homère — Chapitre VII » pp. 278-283

La sagesse poétique avec ses fables fournit seulement aux philosophes l’occasion de méditer les plus hautes vérités de la métaphysique et de la morale, et leur donna en outre la facilité de les expliquer.

1745. (1909) Nos femmes de lettres pp. -238

Tout écrivain fortement raciné se manifeste tel dès le premier abord, et ses héros ont un accent par où se révèle la saveur du terroir : vérité tellement frappante que l’on rougirait d’y insister, elle nous permet d’embrasser d’autant mieux le point de vue contraire. […] Il faut donc se défier des extrêmes et dire simplement : voici un document incomparable, tout débordant de naturel et criant de vérité, sur la plasticité féminine. […] Autre part3 nous l’avons exprimée cette vérité d’âme, comme le plus cher article de notre credo littéraire, et avec une rigueur qui nous fut reprochée : « Savoir n’est rien… Sentir est tout !  […] Elle demeure toujours exacte en effet, elle enferme une part de vérité profonde, la réplique de M.  […] Un des amis de Mme de la Sablière disait d’elle : « Elle n’a jamais pensé, elle n’a fait que sentir. » Paradoxe évident, où il nous fait voir l’exagération du mot qui s’ingénie à souligner une vérité.

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