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1866. (1927) Quelques progrès dans l’étude du cœur humain (Freud et Proust)

sans sortir de Combray, cette première partie de Swann, qui est, en même temps qu’un des plus merveilleux poèmes que je connaisse, une sorte de Discours de la méthode, — j’entends de la méthode que Proust se fabrique à son usage, — sans sortir de Combray, nous trouvons un autre passage dont notre ami Charles Du Bos a été le premier, dans sa remarquable étude sur Marcel Proust, à souligner l’importance.

1867. (1873) Molière, sa vie et ses œuvres pp. 1-196

Je m’étonne qu’avec cette connaissance approfondie des langages divers de nos provinces — patois dont la Convention devait abolir l’usage — Molière n’ait pas donné et les acteurs d’aujourd’hui ne songent pas, soit dit en passant, à rendre à M. de Pourceaugnac cet accent limousin, si spécial et si amusant.

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