sans sortir de Combray, cette première partie de Swann, qui est, en même temps qu’un des plus merveilleux poèmes que je connaisse, une sorte de Discours de la méthode, — j’entends de la méthode que Proust se fabrique à son usage, — sans sortir de Combray, nous trouvons un autre passage dont notre ami Charles Du Bos a été le premier, dans sa remarquable étude sur Marcel Proust, à souligner l’importance.
Je m’étonne qu’avec cette connaissance approfondie des langages divers de nos provinces — patois dont la Convention devait abolir l’usage — Molière n’ait pas donné et les acteurs d’aujourd’hui ne songent pas, soit dit en passant, à rendre à M. de Pourceaugnac cet accent limousin, si spécial et si amusant.