Dans la Correspondance de Stendhal, publiée après sa mort, nous trouvons des lettres à M.
Et si cela donnait idée de comparer aujourd’hui les deux poëtes dans leur forme actuelle de talent, on trouverait, ce me semble, que quand l’un, comme aux approches de l’embouchure, prolonge à nappes de plus en plus débordées une onde vaste, épanouie, inondante parfois l’autre au contraire distille de près une eau à qualités rares, chargée de sels précieux, et aussitôt cristallisée dans la fraîcheur de la grotte en aiguilles multiples, bigarrées, ingénieuses, étincelantes. […] C’est donc lui qui continue de parler : « Après la douce et forte et grave Étude que l’on suit avec vous dans le premier volume, je ne sais rien de plus attachant que de lire les vers de Ronsard et vos réflexions qui les suivent : cela fait qu’on trouve tout de suite à qui parler du plaisir qu’on vient d’avoir.