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582. (1882) Études critiques sur l’histoire de la littérature française. Deuxième série pp. 1-334

Était-ce un si grand malheur d’avoir été trompé par une amie ?  […] Ils se trompaient ? […] Si je ne me trompe, cela doit tenir uniquement à l’effet poétique des noms et du décor italiens. […] » C’est ici, dans sa simplicité, l’accent profond, et qui ne trompe pas. […] Je signalerai, par exemple, aux savants éditeurs une notule qui s’est évidemment trompée de page.

583. (1908) Jean Racine pp. 1-325

Mais parmi tout cela, ne vous y trompez point, il n’est nullement dissipé. […] Et elles étaient courageuses, ne vous y trompez pas. […] … Ne vous y trompez pas. […] Quand elle ne peut plus douter, quand elle sait qu’il aime Atalide et que tous deux la trompaient, elle lui fait cette étonnante proposition : « Je vais faire étrangler ma rivale sous tes yeux. […] Vous m’auriez donc trompée !

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