/ 1946
497. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Guillaume Favre de Genève ou l’étude pour l’étude » pp. 231-248

Ce jeune homme se trompait de siècle ; il était né pour être un commentateur amateur comme Girac ou Méziriac, ce Méziriac qui avait relevé plus de deux mille contresens ou méprises chez Amyot, qui a tout dit sur les Héroïdes d’Ovide, et de qui l’on a écrit : « Il n’y avait point de science à laquelle il ne se fût attaché durant quelque temps, point de bel art qu’il ne connût. […] Il n’eut pas su plus tôt de quoi il s’agissait, qu’il leur prouva qu’ils se trompaient tous les deux.

498. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Correspondance diplomatique du comte Joseph de Maistre, recueillie et publiée par M. Albert Blanc » pp. 67-83

J’ai vu les apparences toujours trompeuses et le bon sens ordinaire toujours trompé. […] Ou je suis fort trompé, ou cette expérience découvrirait une grande vérité.

/ 1946