Mari de Francischina ou père d’Olivette, il est généralement malchanceux, trompé et dupé, quoiqu’il ait grande envie de tromper et de duper les autres.
On objecte : « S’il faut pécher, mieux vaut encore pécher par indulgence que par sévérité. » On ne se repent guère de l’indulgence le critique peut se tromper, et certains jugements sont durs à assumer. […] Sardou se trompe : il faut lui faire entendre que telle ou telle ficelle est décidément trop visible ou trop usée ; mais avec quels ménagements on l’avertira, comme on protestera du respect qu’on a pour son talent !