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395. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58

Mari de Francischina ou père d’Olivette, il est généralement malchanceux, trompé et dupé, quoiqu’il ait grande envie de tromper et de duper les autres.

396. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre premier. La critique et la vie littéraire » pp. 1-18

On objecte : « S’il faut pécher, mieux vaut encore pécher par indulgence que par sévérité. » On ne se repent guère de l’indulgence le critique peut se tromper, et certains jugements sont durs à assumer. […] Sardou se trompe : il faut lui faire entendre que telle ou telle ficelle est décidément trop visible ou trop usée ; mais avec quels ménagements on l’avertira, comme on protestera du respect qu’on a pour son talent !

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