Il y avait l’élément romanesque qui m’empêchait de manger à ma faim… Et j’avais des remords d’avoir trompé ma maîtresse… Oui, je ne me nourrissais pas assez… le remords, vous savez, n’est qu’une faiblesse physique.
Les contemporains d’ailleurs ne s’y sont pas trompés. — Il vint un moment — à partir du ve siècle — où les habitants de la Gaule ne furent plus mentionnés par les annalistes ou les juristes que sous l’appellation de « Romains ». […] Ce serait donc au plus haut point une œuvre de solidarité humaine, les mieux pourvus d’intelligence et de bonne volonté tendant aux simples, jusque-là trompés et pervertis, la main qui les conduirait à la vie vécue dans la pleine conscience de leur valeur humaine, en dehors de l’obscurité malsaine et louche des sanctuaires.