Telle est l'Epître qu'il adresse au Cardinal de Lorraine, où l'on trouve ces Vers très-sensés : Il ne faut pas toujours languir embesogné Sous le souci public, ni porter refrogné Toujours un triste front ; il faut qu'on se défâche, Et que l'arc trop tendu quelquefois on délâche.
Mais cette inscription si courte fait faire les plus serieuses reflexions à deux jeunes garçons et à deux jeunes filles parées de guirlandes de fleurs, et qui paroissent avoir rencontré ce monument si triste en des lieux où l’on devine bien qu’ils ne cherchoient pas un objet affligeant.