Est-ce qu’il n’y a plus d’amour, de gloire, de travaux ? […] Les lettres de Flaubert sont écrites après son travail de la journée, très tard dans la nuit, à un moment où il n’est plus bon à une œuvre littéraire et où le travail l’a depuis des heures usé, vidé, abruti. […] Tout le labeur de la journée apparaît sous les couleurs d’un travail de forçat. […] Il me manque énormément : l’innéité d’abord, puis la persévérance du travail. […] Galère ancrée sur le sable libyque, elle s’y maintenait à force de travail.
Cependant les années d’application et de travail allaient commencer pour lui. […] Les moyens qu’il en embrassait étaient de se rendre fort capable et de s’exercer à un grand travail. Il avait ce qu’on appelle l’esprit travailleur ; j’ai des preuves de ses travaux, des remarques sur des lectures, dissertations dans le grand et politiques, extraits historiques, études du droit public et particulier ; j’ai des volumes de pareils travaux.