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1226. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Lettres inédites de la duchesse de Bourgogne, précédées d’une notice sur sa vie. (1850.) » pp. 85-102

Je ne reproduirai pas ici les divers portraits de la duchesse de Bourgogne, qu’il faudrait transcrire de maint endroit et surtout copier chez Saint-Simon ; on les retrouve heureusement encadrés et entourés de traits fins dans la Notice de Mme de Noailles (oh ! […] En admettant que le trait de La Fare soit un peu forcé, la remarque garde encore de sa justesse.

1227. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « La reine Marguerite. Ses mémoires et ses lettres. » pp. 182-200

Elle nous raconte quelques traits d’elle et de ses reparties d’enfant, qui annoncent un esprit précoce. […] Cette beauté était moins encore dans les traits particuliers du visage que dans l’ensemble et la grâce de toute la personne, dans le mélange de séduction et de majesté.

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