Jean Racine, le doux Jean Racine, avait été, de par le roi, chargé de corriger sa première tragédie, et il l’avait caressée. […] Accablé par la méprisante clémence du duc d’Orléans, qu’il avait platement invoquée, souffert en France après son exil, il écrivit quatorze tragédies illisibles maintenant, et c’est de dessous ces quatorze blocs, roulés par lui sur sa mémoire, qu’il décocha, vieillard, çà et là, quelques flèches satiriques encore, qui n’atteignirent pas plus que le trait du vieux Priam épuisé… Il avait quatre-vingt-un ans quand il mourut.
Ont-ils, comme conspirateurs, plus de physionomie que des confidents de tragédie comme confidents de tragédie ?