. — Les Érinyes, tragédie (1872). — Œuvres d’Horace, trad. (1873). — Œuvres de Sophocle, trad. (1877) […] Eschyle et il en a traduit ou imité les deux premières parties : L’Agamemnon et les Choéphores ; il a laissé de côté les Euménides qui étaient le couronnement de cette tragédie. […] Eschyle et à créer une Orestie française, Leconte de Lisle se promenait, en causant avec le vieux combattant de Salamine et de Platée, dans le pays idéal de la Tragédie, tout à coup il s’aperçut que son compagnon de voyage était chauve à ce point, que les tortues pouvaient prendre son crâne pour un rocher poli.
Depuis que la Lucrèce a gagné le gros lot, les tragédies sortent de terre. Chacun a sa tragédie romaine, grecque, ainsi vont les flots.