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1524. (1914) Note conjointe sur M. Descartes et la philosophie cartésienne pp. 59-331

Ce qui implique aussi et par là même que quand elle n’atteint pas, quand elle ne pénètre pas, c’est qu’elle ne touche pas. […] Et que l’un touchait presque l’autre. […] Et qu’il n’y a plus qu’à attendre et à toucher les rentes. […] — Nous y sommes enfin, monseigneur, et nous touchons nous-mêmes à notre point d’arrivée, à notre point d’aboutissement. […] Et nous touchons ici par exemple à un des points de discrimination, à un des points qui marquent, à un des points où les protestants ne se représentent pas ce que c’est qu’un catholique.

1525. (1890) La bataille littéraire. Deuxième série (1879-1882) (3e éd.) pp. 1-303

Sa touche est légère, c’est celle d’un véritable écrivain, d’un Parisien qui n’écrasera pas un papillon dans ses doigts pour nous le montrer, et qui nous peindra aussi bien et mieux les choses par leur esprit que par leur corps. […] « Merci, ma fille… » murmura-t-il, très touché. […] Comme on cherchait à le consoler en lui disant qu’il n’était pas coupable d’un accident involontaire : « Vous direz tout ce que vous voudrez, mais ce pauvre homme est toujours mort, et mort d’un coup qui est parti de ma main ; non, je ne me pardonnerai jamais. » Son désespoir fut tel que, depuis lors, il ne voulut plus toucher un fusil et renonça pour toujours à la chasse. […] Je ne cacherai donc pas que, tout en faisant de mon mieux pour attirer ceux qui ne lisent pas, je ne néglige rien pour m’attacher ceux qui lisent ; et l’éloge que je reçois de celui qui a lu mon œuvre me touche beaucoup plus que le compliment de celui qui l’a vu représenter. […] Après cela elle ne fut plus à moi, je ne devais plus la toucher, mais je la vis encore.

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