. — D’abord nous l’accommodons à la distance de l’objet, en le disposant de telle sorte que l’image lumineuse vienne tomber exactement sur la rétine, et non plus avant ou moins avant ; sinon la vision n’est pas distincte ; pour cela, nous changeons la courbure du cristallin, probablement en contractant le muscle ciliaire et les fibres musculaires de l’iris. — En outre, quand nous regardons le même objet avec nos deux yeux, ces deux yeux convergent plus ou moins, selon que l’objet est plus ou moins proche.
Voici que sur sa tombe les panégyriques ont retenti les oraisons et les adieux (les fleurs de deuil là-bas, gisent — maintenant — effeuillées et éparses) et déjà les générations et les écoles revendiquent l’œuvre du poète.