À certaines heures, les soirs de juin, les nuits d’hiver, à travers la campagne, au bord des océans, dans le silence de la chambre éteinte, tombent sur l’âme errante comme des gouttes de mystère.
Il tomba sur des radicaux-socialistes. […] Dans la troisième partie ce même Français et ce même Allemand se retrouvent sur un bateau qui doit les mener, je crois, en Amérique : un enfant qui tombe a la mer provoque chez l’Allemand un mouvement de générosité sur lequel épilogue longuement Barrès ; et au cours de cette tentative de compréhension de l’âme allemande, il donne la plus large intelligence du nationalisme, qu’il vide en quelque sorte du sens agressif dont on l’a si souvent envenimé.