Vers ce temps (1647), le roi tomba malade de la petite vérole ; sa mère en conçut les plus vives inquiétudes ; il lui en témoignait une tendre et touchante reconnaissance : Dans cette maladie, le roi parut à ceux qui l’approchaient un prince tout à fait porté à la douceur et à la bonté.
C’était en hiver, dans les Ardennes, en allant à Stenay, le temps était affreux et les chemins impraticables ; le cheval de Gourville et celui du postillon qui l’accompagnait ne marchaient plus : J’avais mis mon manteau sur mes épaules, dit notre voyageur, à cause qu’il tombait de la neige fondue, qui le rendait fort pesant.