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542. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre IV. De la philosophie et de l’éloquence des Grecs » pp. 120-134

Cicéron a craint les présages tirés des songes. […] Le penseur sait tirer des conséquences d’une idée principale ; mais le premier mot de toutes choses, c’est le hasard, et non la réflexion, qui le fait découvrir à l’homme.

543. (1800) De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (2e éd.) « Première partie. De la littérature chez les anciens et chez les modernes — Chapitre XI. De la littérature du Nord » pp. 256-269

Les grands effets dramatiques des Anglais, et après eux des Allemands, ne sont point tirés des sujets grecs, ni de leurs dogmes mythologiques. […] La religion protestante ne renferme dans son sein aucun germe actif de superstition, et donne cependant à la vertu tout l’appui qu’elle peut tirer des opinions sensibles.

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