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195. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « DISCOURS DE RÉCEPTION A L’ACADÉMIE FRANÇAISE, Prononcé le 27 février 1845, en venant prendre séance à la place de M. Casimir Delavigne. » pp. 169-192

On le conçoit, le théâtre, c’est l’arène de tous les cœurs amoureux de la grande gloire littéraire, de tous ceux qui briguent hautement la palme et qui croient à la rémunération publique du talent. […] Chez les Anciens, chez les Grecs du moins, l’ode, c’était le théâtre encore, elle avait devant elle la Grèce assemblée et les Jeux Olympiques. […] Mais c’est au théâtre principalement, c’est là, comme à leur rendez-vous naturel et à leur champ de bataille décisif, que visent les plus nobles ambitions poétiques. […] A relire plus froidement aujourd’hui cette première moitié de son théâtre, on pourrait remarquer que, s’il se montre évidemment de la postérité de Racine par les soins achevés du style, il tiendrait plutôt de l’école dramatique de Voltaire par certaines préoccupations philosophiques et certaines allusions aux circonstances. […] Sa santé, de tout temps délicate, s’altérait déjà et se minait profondément ; il vivait plus exactement que jamais dans la famille : les jours d’action au foyer du théâtre, et le tous les jours au foyer domestique.

196. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Troisième partie. — L’école historique » pp. 253-354

Après une journée de plaisir, on s’assembla sur le théâtre. […] Voltaire, Du théâtre anglais. […] et Du théâtre anglais. […] Voltaire, Du théâtre anglais. […] Lettre sur les affaires du théâtre.

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