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408. (1889) La bataille littéraire. Première série (1875-1878) pp. -312

Personne ne parle mieux des arbres, des animaux, de la terre que M.  […] Toutes deux, par terre, se dévoraient avec des grognements. […] Il se leva sur son séant, regardant par terre, dans les coins d’ombre de la pièce. […] Vous avez failli me jeter à terre. […] Pouvait-on « en cas de besoin » s’en retourner par terre ?

409. (1884) Propos d’un entrepreneur de démolitions pp. -294

Il y a du cœur malade, du cœur mourant, du cœur qu’on porte en terre et qui bat contre son cercueil. […] Il n’a pas encore tout donné, j’en réponds, quoiqu’il ait empoisonné la terre. […] Dieu ne fait donc plus pousser de bâtons sur la terre ? […] A-t-il donc l’ambition d’avoir été procréé par des goujats, ces futurs maîtres de la terre ? […] Le plus beau diadème de la terre posé sur la plus noble des têtes n’égalerait pas en splendeur cette largesse inutile.

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