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1359. (1939) Réflexions sur la critique (2e éd.) pp. 7-263

Cette image n’est pas celle d’une toile faite, mais d’un tableau qui se fait, la direction d’un regard qui vibre avec une ligne de la terre. […] Ne serait-il pas puéril de faire de lui l’Americ Vespuce d’une terre dont le P.  […] L’édition Conard nous apporte une masse précieuse de documents sur la terre riche et lyrique où poussa l’art strict et discipliné de Flaubert. […] Elles sont courtes et timides, avec des qualités scolaires, et à la moindre tentative de haute école elles tomberaient par terre. […] Déjà le jardin sur l’Oronte avait été, paraît-il, planté en terre ecclésiastique : d’où procès.

1360. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « M. de Fontanes »

Il s’arrête un moment aux projets les plus sinistres et les envisage sans effroi : Terre, où va s’engloutir ma dépouille fragile, Terre, qui l’entretiens de la cendre des morts, Ô ma mère, à ton fils daigne ouvrir un asile, ! […] Mais à l’instant la terre s’entr’ouvre, l’Ombre de son père en sort et le rappelle à la raison, à la constance, à la vertu, lui montre une sœur chérie qui lui reste, et l’invite aux beaux-arts, à la poésie noblement consolatrice. […] Cherche-t-il quelquefois ce globe de la terre, Qui, dans l’espace immense, en un point se resserre ? […] ; et dans ces pays où son genre d’études était peu goûté, il s’estimait comme Ovide au milieu d’une terre barbare. […] Pan, et la Terre, et Sylvain, En ont pu voir davantage ; Jamais ne s’égare en vain Une nymphe de ton âge.

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