Sous des formes aussi diverses que vous voudrez, tout ouvrage d’éducation tendra à se rapprocher de l’un ou de l’autre de ces deux types. […] Prise de remords, elle tend un bâton à Socrate : — Bats-moi ! […] — mais comme humanisé et amolli par l’âme rêveuse et tendre du poète des Humbles… n’est-ce donc rien que cela ? […] Dehelly, un amour, un bébé rose, blond, blond de ce blond pâle et tendre des statuettes de Saxe, avec une jolie voix, trop jolie, la voix d’Amaury ou de Boucher. […] Un peu trop grêle encore, mais mieux que jolie ; la physionomie la plus gracieuse et la plus fine ; une voix charmante, un peu grave, souple et tendre.
La comtesse est une épouse singulièrement tendre à la tentation. […] »…, en savez-vous de plus simple, de plus jolie et de plus tendre, même dans le théâtre d’Alfred de Musset ? […] Elle est si jolie, si modeste et si tendre, cette Souris ! […] Vous adoriez avec détachement le Dieu qui est Esprit ; vous tendiez vers le sanctuaire des mains pures… et pan ! […] » Et il lui tend les bras.