Ils continuent leur vie habituelle, mais ne tendent vers aucun but déterminé. […] Si M. de Chateaubriand a vraiment traduit Milton, s’il s’est occupé personnellement de ce travail, et je n’ai aucune raison plausible pour le nier, s’il n’a pas signé de son nom des pages écrites par une autre plume, je suis forcé de lui dire qu’il a imité en maint endroit les interprétations latines de l’antiquité grecque dont se servent les écoliers paresseux, et que les paroles françaises alignées par lui en regard des vers de Milton sont un piège tendu à l’ignorance et à la paresse.
Nous doutâmes un moment si elle se reformerait, si la force vitale de ce grand corps, atteinte au point même du cerveau où réside le sensorium commune, serait suffisante pour l’emporter, sur la pourriture qui tendait à l’envahir, L’œuvre des Capétiens parut compromise, et on put croire que la future formule philosophique de notre histoire clorait en 1871 le grand développement commencé par les ducs de France au ixe siècle.