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3671. (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre cinquième. Le peuple. — Chapitre II. Principale cause de la misère : l’impôt. »

Il y a telle élection, celle de Tulle, où il prélève 56 1/2 pour 100 du produit ; il n’en reste à l’autre que 43 1/2 ; par suite « une multitude de domaines y sont abandonnés »  Et ne croyez pas qu’avec le temps la charge devienne moins pesante, ou que dans les autres provinces le cultivateur soit mieux traité. […] Dans beaucoup de villages, ce sont des artisans, des journaliers, des métayers, qui pourtant auraient besoin de tout leur temps pour gagner leur vie. […] Qu’il suffise à la féodalité de son sceptre de fer, sans qu’elle y joigne encore le poignard du traitant729. » — Ici, et déjà depuis quelque temps, ce n’est plus le villageois qui parle ; c’est le procureur, l’avocat qui lui prête ses métaphores et ses théories.

3672. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 février 1886. »

Il maudit le mauvais temps, qui l’a rejeté à sept milles du port, au moment même où il allait revoir son pays. […] De son temps il n’y avait pas d’art national allemand, pas de formes poétiques qui répondissent à ses idées hautement artistiques : il n’avait pas en lui-même la force d’en créer : de là cette lutte funeste. […]   « La musique de Bellini, c’est-à-dire le chant de Bellini, a eu ces temps-ci un si grand retentissement et a suscité un tel enthousiasme que ce fait seul serait digne d’être examiné.

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