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935. (1857) Cours familier de littérature. IV « XXIIe entretien. Sur le caractère et les œuvres de Béranger » pp. 253-364

Ne peut-il pas, se relevant terrible, Aller mourir sur la tête des rois ? […] Son hôtel était devenu le quartier général des meneurs et des menés : je m’y rendis pour souffler la paix dans les rues, une idée dans les têtes, une initiative dans les cœurs. […] Elle s’appelait alors terreur ; elle n’avait pas montré alors, comme en 1848, qu’elle pouvait être innocente contre les têtes et les propriétés, et qu’elle pouvait se défendre contre les utopies et les démagogismes avec le bras de la France. […] » Il détourna la tête, secoua ses cheveux gris, rougit, se pinça les lèvres et ne répondit pas. […] Il faut avoir assisté cent fois comme moi à ces consultations de ce médecin des âmes, dans son antichambre, pour se faire une idée du bien qu’il avait fait à la fin de sa journée, avant de reposer sa tête sur son oreiller de bonnes œuvres.

936. (1788) Les entretiens du Jardin des Thuileries de Paris pp. 2-212

plus il y a de fermentation dans les têtes, plus on est près du calme. […] Comme cela meuble les têtes ! […] Vos têtes solides ne vaudroient peut-être pas mieux que nos têtes légeres. […] quelle tête ! […] C’est une tête exactement perdue.

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